Nuque

surtout de l’humidité. La roche au-dessus de lui, à quelque centimètre de son visage, rousselait d’eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entêté, toujours à la même place. Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque : elles battaient sa face, s’écrasaient, claquaient sans relâche. Au bout d’un quart d’heure, il était trempé, couvert de sueur lui-même, fumant d’une chaude buée de lessive. Ce matin-là, une goutte, s’acharnant dans son œil, le faisait jurer. Il

"C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le

un médecin). Le plus facile est lorsque le patient présente des tremblements. Par contre, entre 10 et 30% des personnes atteintes de la maladie de parkinson, ne développeront jamais de tremblement. Les premiers vrais symptômes sont mal dans la nuque, mal au dos, l’écriture devient difficile, l’élocution est lente et la personne est vite fatiguée. Le diagnostic peut être posé à la condition ou au moins deux ou trois de ces symptômes sont présents : * Diminution des mouvements surtout automatiques

la douleur de ces trois pauvres femmes . A l'arriére plan on remarque des meules , des gerbes , une charrette et une multitudes de moissoneurs qui s'agitent . La lumiére du soleil couchant renvoie au premier plan et fait ressortir les mains , la nuque et le dos des trois glaneuses . Au loin l'atmosphére est légere est doré ce qui accentue l'impression champêtre de l'arriére plan , a droite on voit un homme à cheval qui peut-être doit ce charger de la surveillance du travail de ces pauvres femmes

votre élan mais utiliserez toute la force de vos abdos. 2) Ne tirez pas sur la nuqueRespectez la courbure naturelle de votre dos, ne baissez pas exagérément le menton vers la poitrine et n’appuyez pas vos mains sur votre tête, ce n’est pas votre nuque qui fait l’exercice. 3) ContractezRessentez la tension des abdos et contractez-les à fond. C’est la brûlure qui montre que vos abdominaux travaillent efficacement. Si vous ne sentez rien et les faites de façon mécanique, la congestion n’aura pas lieu…

Animé → « où chante », « accrochant » C – Accueillante - Interaction Personne/cadre - Cadre paradisiaque 2 - La nature, une ambiance paisible A – Immobile Etat → « Il est étendu », « Il a froid », « pale » Partie du corps a l’abandon → « nuque », « tête nue » Soldat intégré a la nature → répétition de « dans » (Strophe 2) Nature active, accueillante ≠ Soldat inactif, pale B – Le sommeil Champs Lexical du sommeil → répétition de « dort » Le Titre induit en erreur Le personnage semble

Le dormeur du valC'est un trou de verdure où chante une rivière,Accrochant follement aux herbes des haillonsD'argent ; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement

on peut remarquer la position accentué du verbe « dormir » au v.7 qui est ici en position de rejet.Pourtant, on retrouve bien dans ces quatrains des indices qui laissent présager la fin. En effet, dans l'expression « la nuque baignant dans le frais cresson bleu » v.6, la nuque semble ici un peu trop abandonnée. Mais il y a surtout l'indice de la pâleur avec la mise en valeur du terme «  pâle » qui est détaché par un enjambement au v.8. Cette pâleur est de plus accentuée par le vert qui l'entoure

pour représenté le sang ( le sang non-oxygéné ou même séché). À la deuxième lecture nous comprenons que le soldat n'est pas étendu sur des fleurs, mais qu'il baigne dans son sang. Cet effet est accompli par l'utilisation d'une métaphore. « Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu »

DORMEUR DU VAL C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil de la montagne fière, Luit; C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le