Nuque

baisser, ramasser et ce relever. Elles glanent : elles ramassent après la moisson, les épis qui ont échappé au moissonneur pour les résidus. La lumière provient de la moitié supérieur du tableau, mais aussi elle ce projette sur le bras, la tête et la nuque. Les couleurs sont vives dans les vêtements des glaneuses. Il y a un contraste entre les glaneuses et le champ. Interprétation. Ces femmes incarnent le travail des paysannes est paysan. Elles sont obligées à passer rapidement, avant le coucher

techniques d’irrigation, un système de numérotation et des techniques médicales. Ils leurs ont aussi amené le papier, la poudre, la rose des vents, la boussole et l’astrolabe. Il a plusieurs mots en français qui sont d’origine arabe comme: alcool, algèbre, nuque, etc. La science grecque, Aristote et Platon sont redécouvert par les européens grâce à un penseur arabe Averroès. 

"blocs de houille" (l.30) et d' "un reflet de cristal" (l.31). 2/3 Le tableau ainsi suggéré permet aisément au lecteur de s'imaginer la position des mineurs : "la lampe... près de sa tête" (ligne 4), Maheu doit "tordre son cou et renverser sa nuque" (ligne 10) afin d'éviter les gouttes de sueurs dont l'effet est souligné par la gradation ascendante. Néanmoins, Lorsque les mineurs parlent de la mine, ils la décrivent comme l'enfer. Cela est en partit dû à leur environnement très humide « humidité »

(hypertonie Des muscles des membres) -sa tête est ballante par immaturité du tonus Musculaire au niveau de la nuque -je vérifie la mobilité de ses bras et ses jambes au moment Du bain -j’explique aux parents comment maintenir la tête de valentin Quand il est pris dans les bras -je conseil aux parents de le mettre sur le ventre de temps En temps quand il est bien éveiller pour muscler sa nuque Gesticulation spontanée Dormir se reposer Bébé calme qui se réveil que pour manger Il a un besoin

oreilles ou derrière la tête sans tirer sur la nuque. Les cuisses doivent forment un angle droit avec les genoux et les mollets. Faire des relevés de buste en expirant durant l'effort. Revenir à la position primaire en inspirant. Abdos avec torsion. Sollicitation musculaire : Cet exercice mixte cible le haut des abdos et les obliques. Exécution du mouvement : Coucher sur le dos, genoux fléchis à 60°. Les mains sur la tête ou derrière la nuque. Le coude gauche va chercher le genou droit et

| |Soldat |     « soldat jeune » (v.5), « bouche ouverte » (v.5), « | | | |tête nue » (v.5), « nuque » (v.6), « il » (v.7), « Pâle » | | | |(v.8) |

touchait sa poitrine »etc. … Cette « singulière créature » monopolisé tout l’attention des autres personnages avec ce physique pas des plus attirant, ils sont intrigués. La bosse que il portait sur le dos semble imposante au point de «[…]caresser la nuque »du bossu . Ses vêtements d’une décence des plus rigoureuses avec un costume noir complet avec des manchettes et des jabots de mousseline plissées d’une éclatante blancheur impose encore plus la présence d’Esope vis-à-vis des autres personnages et

val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le

val C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil de la montagne fière, Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le

caressant sa nuque avec douceur. susurrant des mots doux a son oreille. léchant sa joue sur toute la longueur. le vent lui faisait du bien. elle aimait se mettre fasse au vent pour ressentir la brise sur son corps. seulement se soir elle ne pu se résoudre a sortir. elle aurai aimer continuer ce qu'elle avait l'habitude de faire. mais elle ne le peut plus. elle assiste a une chose qui l'attriste. finalement elle se dit que c'est mieu ainsi. poru continuer ce qu'elle aime faire il n'aurai pas fallu