Nouveaux Essais sur l'entendement humain

une animal mais aussi la mission d'un espion dans son cadre professionnel en langage métaphorique. Dans l'objectif de rendre le langage clair pour que chacun se comprenne LEIBNIZ dans Nouveaux essais sur l'entendement humain ambitionne d'une langue universelle. Selon lui, définir un alphabet logique des pensées humaines permettrait une compréhension totale et parfaite. Néanmoins, c'est une utopie car une telle langue ne trouverait pas d'usage.

1) La propriété humaine 2) La propriété collective ------------------------------------------------- 3) La propriété individuelle 1) Qui peut bénéficier du droit de propriété et pourquoi ? 2) Qu’est ce qui peut faire l’objet du droit de propriété, autrement dit, quels biens peuvent être appropriés et par qui ? Quels sont les biens qui au contraire doivent rester libres de toute appropriation ? ------------------------------------------------- Le droit naturel veut que l’homme soit propriétaire

De ce fait, le sujet ne peut avoir la maîtrise absolue de lui-même. Le « moi » n'a plus qu'une perception incomplète de lui-même, le « moi », écrit Freud dans les Essais de psychanalyse appliquée, « n'est pas maître dans sa propre maison », il devient en ce sens étranger (hors de chez lui) à soi. Perdre la possibilité de contrôler ses pensées et ses actes parce qu'un autre moi agirait en moi, n'est-ce pas alors reconnaître

C’est dans ce cadre où plus rien n’est certain que le cogito («  je pense ») émerge. Pour Descartes, la preuve que l’homme pense permet d’affirmer qu’il existe « ego sum, ego existo  ». C’est la certitude de la pensée qui détermine l’existence humaine, l’homme se définissant comme une chose pensante («  res cogitans »). Descartes définit alors une chose qui pense comme étant «  une chose qui pense est une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme et qui nie, qui veut et qui ne veut pas, qui

OUSSET TS1 Pour connaître faut-il toujours se fier à la raison? Au premier abord, la raison semble être une source fiable car c’est une faculté de l’esprit humain qui fonde la connaissance, la logique et la déduction. Chaque être humain utilise sa raison en toutes circonstances. De l'avis général des philosophes et malgré des nuances introduites par divers courants de pensées, la raison est le propre de l'homme, c'est la faculté supérieure qui commande aussi bien le langage, la

n’en suis pas conscient. De même, la perception consciente d’un phénomène composé suppose que je perçoive la multitude des parties qui le composent bien que je ne sois pas conscient de chacune de ces parties. Cf. Leibniz dans ses Nouveaux essais sur l’entendement humain. Ainsi on peut supposer qu’au cours d’une journée et même d’un temps beaucoup plus long ma conscience emmagasine une multitude de perceptions dont je prends pas forcément conscience mais qui finissent par influencer ma pensée et ma

l’Extrême-Orient. L’Angleterre (James Cook) et la France (Jean-François de La Pérouse) étaient en compétition. 1 2 Révolution dans les sciences Au XVIe siècle, Montaigne faisait déjà preuve de scepticisme face au dogme dans les Essais. Le doute , né de la pensée cartésienne (« Cogito ergo sum ») et les idées de Pascal se rpolongent jusqu ‘au XVIIIe siècle. Les découvertes de Copernic au XVIe siècle, peu diffusées sur le moment, puis surtout des théories de Galilée (1564-1642)

connaissance empirique. Estelle pour autant d’ordre démonstratif ? 2. La dévalorisation de l’expérience A. La faiblesse de l’induction Si Leibniz reconnaît les mérites de l’expérience, il sait aussi tracer ses limites. Dans les Nouveaux Essais sur l’entendement humain, Locke estime que le savoir empirique est commun aux bêtes et aux hommes. La raison est la suivante : l’expérience procède toujours à partir d’exemples, de cas particuliers d’où elle tire par induction des vérités générales. Toutefois

suppose c’est qu’un homme ne peut pas être définit indépendamment de son corps et ce qui fait son identité ce n’est pas l’âme mais le corps. De ce fait, l’homme possède une double identité : celle générique dans la mesure où il appartient à un genre humain, et une personnelle qui le diffère de ses congénères. Et ce qui fait l’unité de la personne qu’il est ce n’est ni l’existence ni la vie mais la conscience en soi[12]. Ceci nous ramène à la troisième sorte de l’identité qui est la plus importante

domaine de la réflexion est un complément aux sens pour acquérir nos connaissances. Tout d'abord nous pouvons nous demander s'il existe des connaissances non tirées de l'expérience sensible. L'allemand Leibnitz dans son oeuvre "Nouveaux essais sur l'entendement humain" affirme cette interrogation. Il prend pour exemple les mathématiques. En effet les mathématiques sont une science ou les vérités s'imposent elles mêmes à l'esprit, non démontrables mais indiscutables. Par exemple 1+1 = 2. De plus