Notre Vision Du Monde Doit Elle Quelque Chose Au Langage

Edition numérique : Pierre Hidalgo La Gaya Scienza, © octobre 2011 1 Table des matières Biographie ..................................................................... 5 Chapitre 1 : La parole philosophique ............................ 8 Le langage, instrument de la pensée ................................ 8 Le logos ............................................................................ 9 Le vrai et le faux ............................................................. 12 L’étonnement admiratif

par l'auteur qui estime cette pension miteuse. Mais la pension derrière sont aspect réaliste représente aussi symboliquement la société de par son étagement des classes sociales (argent), les différentes générations qui y sont représentées et le langage propre. La pension est un univers en soi et dans cet univers comme dans Paris, le Père Goriot est rejeté. Paris est tout autant sinon plus symbolique, les descriptions complètes et réalistes nous permettent de situer la ville dans son époque mais

pouvoir voir et entendre, quoi de plus naturel? On la sait, toute notre construction d’humain a fait appel à nos sens. Si quelqu’un vous a privée temporairement de la vue, par un bandeau, si vous êtes symboliquement isolé et privée de regard sur le monde, toutes vos capacités perceptives prennent un autre relief : le son bien sûr, le toucher (n’est-il pas alors essentiel ?), …. La vue, d’abord occultée, est le sens que l’on recouvre pour ensuite pouvoir vraiment s’ouvrir à la vraie lumière de l’autre

l´au-delà. (Le spleen, le mal être) Les fleurs du mal regorgent d´exemples. C – Une exploration de l´inconscient : L´écriture automatique des surréalistes. III – Ludique et émotive. A – Rêve, émotion et sensibilité : un poème n´a jamais changé le monde, mais il peut le transfigurer, le rendre plus léger. B – Le jeu des mots : les vers, les rythmes et les sonorités. C – La sensibilité : ce qu´elle provoque à sa lecture. Conclusion : L´utilité de la poésie réside dans ce qu´elle n´a pas –

symbolique. Le genre du portrait, quelque soit l’art, témoigne d’un intérêt pour l’individu. L’Autre nous attire, nous recherchons sa proximité et ce désir nous expose à nous-mêmes. La révélation de l’autre se fait d'abord dans la vision de son visage qui nous apparaît comme différence absolue. Autrui ne correspond pas à un double de Soi. Ce n’est pas non plus seulement un représentant de la même espèce. Pour Emmanuel Levinas, cette vision n'est pas celle qui nous livre le monde des choses et qui fascine

la réalité même, sans rien interposer entre elle et lui, celui-là sera un artiste.» Questions 1 . Quelle définition Bergson donne-t-il de l'artiste? Comment l'établit-il? 2. a. Qu'est-ce qui fait obstacle, chez le «commun des mortels» à la vision de «la réalité même»? b. Pourquoi avons-nous besoin de «reconnaître l'objet»? Comment faut-U comprendre ici le mot de «pratique»? c. Pourquoi les signes «qui nous permettent de reconnaître l'objet et de le distinguer pratiquement d'un autre»

DISSERTATION N°1 : Le langage nous permet-il de tout dire ? Dans une époque où la logique d'organisation érige la mondialisation en principe souverain, les échanges doivent s'effectuer le plus rapidement possible ; les marchandises, les hommes et les idées circulant ainsi de manières aussi véloces que diverses. Les moyens de communications sont exaltés et le langage qui jusque là se concrétisait oralement et graphiquement, explore de nouvelles possibilités et combine ces deux procédés aux

années de l’enfance sont très complexes et riches en changements. C’est durant cette période que l’enfant acquiert toutes les bases dont il aura besoin plus tard. Il apprend à reconnaître l’univers qui l’entoure, le monde dans lequel il vit, ainsi que la base de la motricité et du langage. Il est très intéressant d’observer l’évolution de cet apprentissage tout en s’émerveillant devant ces petits êtres curieux et vifs qui apportent tant de bonheur à leurs parents. La perception La perception est

XVIIIe, l'Art est intimement lié au divin. L'artiste est un intercesseur entre deux mondes: l'au-delà et le réel terrifiant. Il est au service d'une vérité qui le dépasse. La notion d'auteur n'existe pas. Les artistes ne signent pas les oeuvres. Le monde ne "consomme" pas l'art. L'art a une fonction rituelle, voire magique. L'émergence du mot "artiste" apparait à la Renaissance, quand advient avec lui la notion de "spectateur". L'art est alors délivré de sa fonction utile et pratique. Le goût, l'appréciation

point à un autre, transmettre quelque chose à quelqu’un. Cette idée va s’imposer et devenir dominante aujourd’hui. Cette conception de la communication est notre conception intuitive et culturelle. C’est une conception qui a des soubassements idéologiques importants. Le monde politique utilise massivement la notion de communication. Surtout dans l’idée que la communication est utilisée pour transmettre plus efficacement un message. Si elle est bonne alors le peuple doit accepter la mesure ou être d’accord