Nicolas Boileau Victor Hugo

Habsbourg) 1661 : Mazarin meurt, Louis XIV est au pouvoir. 1682 : La Cour s’installe à Versailles. 1683 : Colbert meurt. 1685 : l’édit de Nantes est révoqué. Baroque Honoré d’Urfé Théophile de Viau François de Malherbe Classicisme Nicolas Boileau Pierre Corneille Jean Racine Molière La Fontaine Jean de La Bruyère F. de La Rochefoucauld Madame de La Fayette René Descartes Blaise Pascal Bossuet XVIIIe siècle 1715 : Louis XIV meurt, régence de Philippe d’Orléans.

| |Auteurs : |Auteurs : |• Choderlos de Laclos |Auteurs : |• 1945 : Conférence de Yalta.| |Grands Rhétoriqueurs |• Nicolas Boileau |• L’Abbé Prévost |• Victor Hugo |Capitulation allemande. | |• Clément Marot |• Pierre Corneille |• Pierre Marivaux |• A. de Lamartine |[pic]

|Siècle des lumières |• Victor Hugo |• Paul Valéry | |« L’école lyonnaise » |Classicisme |Auteurs : |• A. de Lamartine |• Marcel Proust | |• Louise Labé |Auteurs : |• Voltaire |• Alfred de Musset |• Paul Claudel | |La Pléiade |• Nicolas Boileau |• C. de Montesquieu

les pléonasmes significatifs, les mystérieuses ellipses, l'anacoluthe en suspens, tout trop hardi et multiforme ; enfin la bonne langue – instaurée et modernisée –, la bonne et luxuriante et fringante langue française d'avant les Vaugelas et les Boileau-Despréaux, la langue de François Rabelais et de Philippe de Commines, de Villon, de Ruteboeuf et de tant d'autres écrivains libres et dardant le terme acut du langage, tels des Toxotes de Thrace leurs flèches sinueuses. Le Rythme : l'ancienne

roc ! » (Edmond ROSTAND, Cyrano de Bergerac, 1897) 2/ Les figures d'opposition • L'antithèse oppose deux réalités contradictoires. → « Tout lui plaît et déplaît, tout le choque et l'oblige. Sans raison il est gai, sans raison il s'afflige. » (Nicolas BOILEAU, Satires, VIII, 1668) • L'oxymore associe deux mots de sens inconciliables dans le même groupe syntaxique. Elle permet de créer un effet de surprise. → « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles. » (Pierre CORNEILLE, Le Cid, 1637) • Le chiasme

caractéristiques du classicisme : • Clarté du vocabulaire • Rigueur des règles d’écriture • C’est Boileau, au début du XVIIème siècle qui définit les règles du classicisme et les formes : • Tragédies avec comme exemple : Racine • Epopées ( + allégories) • Comédies avec comme exemple : Molière Principaux auteurs : Corneille, Jean Racine, Molière, Pascal, La Rochefoucauld, La Fontaine, Nicolas Boileau, La Bruyère, Mme de La Fayette, Mme de Sévigné, Le Cardinal de Retz. XVIIIème siècle : Les Lumières

Espagnol), L'Histoire de la vie du filou don Pablo, exemple des vagabonds et miroir des fourbes. La Satire Ménippée (1594, ouvrage politique collectif). Jean de La Fontaine (1621-1695), Fables. Molière (1622-1673), Les Précieuses ridicules. Nicolas Boileau (1636-1711), Satires. Jean de La Bruyère (1645-1696), Les Caractères. John Arbuthnot (1667-1735, Écossais), Le Procès sans fin ou Histoire de John Bull. Jonathan Swift (1667-1745, Anglais), Les Voyages de Gulliver. Joseph Addison (1672-1719

exemple : « Amitié fidèle », Nicolas Boileau, Poésies diverses (1654) c) Omniprésence des thèmes de la nature, de l’amour, du beau → Mais l’harmonie n’est pas seulement présente dans la forme du poème, elle se retrouve aussi dans le fond, on peut voir cela grâce aux thèmes fréquemment abordés qui sont souvent en rapport avec la beauté du monde et de la vie en elle-même → Parle par exemple de la jeunesse, du premier amour – exemple : « la coccinelle », Victor Hugo, les contemplations(1856)Partie

naturel. Le « chant I » d’« Art poétique » de Nicolas Boileau paru en 1674 est un texte où apparaît une véritable analyse morale et psychologique de l’écrivain. « Art poétique » est un manifeste du mouvement classicisme. Pour se rebeller, les poètes se libèrent comme les poètes du romantisme dont Victor Hugo est le chef de file incontesté ! Le romantisme

Nicolas Boileau, écrivain du XVIIe siècle, c’est illustré comme fervent défenseur de l’esthétique classique, prenant parti pour les Anciens lors de la querelle des Anciens contre les Modernes. Dans son ouvrage, Art poétique publié en 1674, il définit une règle fondamentale de la tragédie classique, celle de la bienséance et plus particulièrement le cas de la représentation de la mort sur scène, ce qui est pour lui «ce qu’on ne doit pas voir». Pour l’écrivain la mort du héros rapportée serait «art