Ni Nu Ni Vêtu

[Zwe] [E] lait [lE], jouet [ZwE], mère [mE:{] [a] plat [pla], patte [pat] [A] bas [bA], pâte [pA:t] [ç] mort [mç:{], donner [dçne] [o] mot [mo], dôme [do:m], eau [o], gauche [go:S] [u] genou [Z´nu], roue [{u] [y] rue [{y], vêtu [vety] [O] peu [pO], deux [dO] [ø] peur [pø :{], meuble [møbl] [´] le [l´], premier [p{´mje] [E)] matin [matE)], plein [plE)], cintre [sE)_:t{] [A)] sans [sA)], vent [vA)], centre [sA) :t{] [o)]

|Illustration 1.2 | |« (…) vint le capitaine vêtu d’une vieille peau d’ours noir , dans une | « Aller tout nu durant l’été, me servir de vaisselle de bois? et | |barque avec trois de ses fils et de son frère(…)il nous fit une grande |tu n’auras que faire d’or ni d’argent pour être heureux » | |harangue , nous montrant ladite croix (…)il nous montrait la terre , |

intrigué, comme le montrent ses oreilles relevées. Il semble prêt à aboyer. C'est le chien que l'observateur remarque en premier: en effet, son poil clair attire le regard, même s'il est situé dans le coin gauche de la photo. L'homme au premier plan est vêtu de sombre. Son manteau et son chapeau situent bien la photo dans les années 50. Nous comprenons aussi que la photo a été prise en hiver, ce que confirment les arbres à l'arrière- plan, dénués de feuilles. La position du personnage conduit l'observateur

la Terre devaient produire du bonheur comme une plante particulière au sol et qui pousse mal tout autre part. Que ne pouvait-elle s’accouder sur le balcon des chalets suisses ou enfermer sa tristesse dans un cottage écossais, avec un mari vêtu d’un habit de velours noir à longues basques, et qui porte des bottes molles, un chapeau pointu et des manchettes ! Peut-être aurait-elle souhaité faire à quelqu’un la confidence de toutes ces choses. Mais comme dire un insaisissable malaise

composition, ce poème fait de multiples emprunts aux Fables de La Fontaine. A- L’intrigue Pour brosser ce portrait satirique, Hugo reprend l’intrigue d’une Fable de la Fontaine : « L’âne vêtu de la peau du lion » (V, 21), qui commence par ces quatre premiers vers : « De la peau du lion l'âne s'étant vêtu, Était craint partout à la ronde; Et bien qu'animal sans vertu, Il faisait trembler tout le monde. » Au personnage de l’âne, il substitue le singe, animal également

passage, celui de l’accouchement après l’épreuve de la Terre. C’est là, sous la surveillance du Couvreur et conduit par le Maître des Cérémonies, que l’Expert nous fait pénétrer dans le temple avec fermeté, bienveillance et fraternité. C’est là, ni nu, ni vêtu et "pour autant qu’un homme puisse se mettre à la place d’un autre", que l’Expert se porte garant de nous auprès de l’atelier, garant de nos valeurs morales, de l’accomplissement victorieux de notre épreuve de la terre. C’est là, que l’Expert

l'esprit cherchant à tendre vers une perfection, que le philosophe nomme « ascèse », vise non à acquérir des vertus ( qui sont dans notre nature) mais au contraire, à chasser les passions (venues du dehors). On ne peut être vraiment prudent, ni vraiment juste, ni vraiment fort, si l’on ne possède pas cette qualité et plus particulièrement celle de la tempérance. La vertu de tempérance conditionne indirectement toutes les autres vertus, ces dernières sont indispensables pour que l’homme soit tempérant

statuts » Paul VERLAINE. « La musique souvent me prend comme une mer » Charles BAUDELAIRE. L’ELLIPSE : procédé syntaxique ou stylistique consistant à omettre un ou plusieurs mots à l’intérieur d’une phrase, leurs absences ne nuisant ni à la compréhension ni à la syntaxe. Exemples : « Pierre mange des cerise, Paul des fraises » « Je t’aimais inconstant, qu’aurais-je fais fidèle ? » Jean RACINE. L’EUPHEMISME : figure permettant d’atténuer une image déplaisante. Exemples : « Demandeur

tous ses détails !.. En le relisant à fond, j’ai donc découvert que ce fameux Boiteux apparaissait dans l’Instruction de l’Apprenti (du Rituel Cerbu, qui a, malheureusement, été modifié depuis), dans la réponse à la question suivante : Q : « Ni nu ni vêtu ! Pourquoi dans cet état ? » R : « …. Le pied gauche déchaussé, à l’imitation et en souvenir du héros antique, qui boitait dans les ténèbres … » Je me suis donc renseigné !... Tout d’abord, qui était ce héros antique ? L’origine du nom

simulacra fugacia captas? quod petis, est nusquam; quod amas, avertere, perdes! Traduction : Il y avait une source limpide d’eaux brillantes et argentées, que n’avaient touché ni les bergers, ni les chèvres qui passent sur la montagne ni aucun autre troupeaux ; aucun oiseau ni une bête sauvage ne l’avaient troublée, ni un rameau tombé de l’arbre. Elle était entourée de gazon, que l’humidité très proche entretenait, et l’ombre de la forêt ne permettait pas au lieu d’être réchauffé par quelque rayon