New Balance

l’excédent de la balance commerciale, c’est-à-dire de la différence entre la valeur des exportations et celle des importations, devient un événement attendu, de portée nationale, dans le cas de la balance française, mais internationale, voire mondiale, lorsqu’il s’agit des États-Unis ou du Japon. La crise boursière de l’automne 1987 fournit un reflet, déformé et excessif, de la place qu’occupe le commerce international dans le fonctionnement des économies nationales. Lorsque la Bourse de New York s’effondre

déséquilibres globaux. La baisse constante du taux d’épargne des ménages américains depuis les années 80 et l’augmentation régulière du déficit commercial ont fait des Etats-Unis le grand emprunteur de l’économie mondiale. Le déficit de la balance commerciale aux Etats-Unis s’est aggravé remarquablement à partir de 1997 (Beynet, Dubois, Fréville et Michel, 2006). En 2006, il a approché 6,5% du produit intérieur brut américain, dépassant, ainsi, le niveau jugé acceptable par le Fonds Monétaire

décennie. Si la balance courante de la zone euro est proche de l’équilibre, dans un certain nombre de petits États membres d’importants déficits courants sont apparus à la fin des années 90. Au Japon, l’épargne et l’investissement restent élevés, en dépit d’une croissance faible Dans la zone euro, un certain nombre de petits pays sont confrontés à d’importants déséquilibres… 1 Tableau IV.1. Déséquilibres épargne-investissement dans les pays de l'OCDE En pourcentage du PIB Balance courante

internationale, le Stock Exchange est la première place boursière du monde, loin devant le Kabuto-cho japonais. Chicago est la première place mondiale pour les marchés à terme sur les matières premières, et fixe les cours mondiaux, notamment ceux de céréales. New York dispute à Londres la première place pour les activités des banques d’affaires qui gèrent les fortunes privées et capitaux des monarchies pétrolières, et sont les maîtres-d’œuvre incontournables des grandes fusions d’entreprises à l’échelle mondiale

SOMMAIRE I. Recherche et analyse du degré d’ouverture et du taux de penetration de l’économie Marocaine 5 II. Raisonnement pour l'Angleterre en autarcie et en libre échange. 7 A. En autarcie : 7 B. En libre échange : 7 III. Analyser la balance commerciale de l'année 2000 à l'année 2010 du Maroc. 8 A. Effets de conjoncture mondiale et de demande intérieure 9 B. Politique commerciale extérieure 12 IV. Bilan synthétique sur libre échange: 13 A. Les ventes de l'UE au Maroc bénéficient

avoir des grande compagnies de commerces. Cela va avoir une influence plus tard, notamment sur Jean- Batpiste Colbert 61619- 1683°, ministre de Louis 14 à partir de 1661. L’idée est qu’en Europe, il y a une guerre de l’argent : il font donc avoir une balance commerciale excédentaire. Résultats: o protectionnisme  o création de manufactures : « Royalisation » (Gobelins, Saint Gobelins pour les miroirs notamment la galerie des glaces)  o création de compagnies de commerce.

multilatéral, le gouvernement australien réserve encore un rôle important aux accords régionaux et bilatéraux, principalement en cas d’échec des négociations internationales. Le premier accord a été conclu avec le voisin néo-zélandais en 1983 (Australia New Zealand Closer Economic Relations Trade Agreement, ANCERTA). De sa signature à aujourd’hui, cet accord a permis une augmentation de 600 % du commerce entre les deux pays. L’Australie a également conclu des accords de libre-échange avec Singapour (SAFTA)

comptabilisation des échanges internationaux La balance des paiements Elle permet de recenser tous les échanges internationaux avec le RDM, pour un pays, pour une année. C’est un document officiel qui relève de la Comptabilité. Elle comptabilise les flux de biens, de services, de revenus, de transferts de capitaux, financiers. Elle est donc influencée aussi bien par les ménages, entreprises ou par l’État. Par construction comptable, la balance des paiements est toujours équilibrée, l’idée est

Risques pays et études économiques Coface Russie : principaux indicateurs économiques 2002 Croissance économique (%) 4,7 Inflation (%) 15,1 Solde public/PIB (%) 1,9 Exportations (Mds $) 107,3 Importations (Mds $) 61 Balance commerciale (Mds $) 46,3 Balance courante (Mds $) 29,1 Balance courante/PIB (%) 8,4 Dette extérieure/PIB (%) 40,5 SD/Exports (%) 17,9 Réserves en mois d'import. (Mds $) 5,4 2003 7,3 12,0 1,7 135,9 76 59,9 35,4 8,2 40,3 11,6 6,9 2004 7,2 12 4,3 183,2 97,4 85,8 58,6 9,9 34,4 19,8

l’année 2008, le déficit du compte courant de la balance des paiements s’est creusé de près de 27% suite à l’aggravation de celui de la balance des services et des revenus qui a largement atténué l’amélioration de la balance commerciale et celle des transferts sans contrepartie. Dans ce contexte et en dépit d’un excédent de MRO 81,2 Milliards enregistré par le compte de capital et d’opérations financières, le déficit du solde global de la balance des paiements a été de MRO 25,9 milliards contre un