New Balance

Chapter 2: The characteristics of international trade [p. 23/34] an agreement | un accord | an amount | un montant | an attractive /competitive price | un prix intéressant | availability | disponibilité | the balance of trade / trade balance | la balance commerciale | to be missing | manquer | to break into a market | pénétrer un marché | bulk goods | marchandises en vrac | to comply with | se conformer à | a currency | une devise | current | actuel |

financiers. Il traite à la fois les questions liées à la balance des paiements et ses principaux mécanismes d’ajustement, l’évolution du système monétaire international, le fonctionnement des marchés de change, le taux de change et les effets de la libéralisation financière sur les économies de quelques pays émergents. Le manuel comprend quatre parties. La première partie présente les paiements internationaux à travers la notion de la balance des paiements. La question de l’ajustement est également

(Keynes) qui propose une union internationale de compensation (une banque des banques centrale de l’union) et une nouvelle monnaie le bancor. Ce qui permettait une multilatéralisation des paiements. Elle aurait accordé des crédits aux pays ayant une balance des paiements déficitaires. Et celui des Etat-Unis (White) qui est contre toute supranationalité (banque centrale) mais plutôt mettre une coopération entre Etat en mettent en place une institution mais pas de banque. Il propose un système de bilatéralité

industriels, grandes villes,…)/ Périphéries intégrées/ Périphéries délaissées. 2. Facteurs ayant accéléré la mondialisation 1980 : Explosion de la mondialisation (et des flux commerciaux) a. Les politiques néolibérales : (nouveau, césure avec le new deal cfr. Thatcher, Reagan) : Privatisation (->restructuration->licenciements,…) : « one shot », fait rentrer une fois de l’argent dans les caisses de l’état. Risque de perte des services publics : importance de la rentabilité pour les privés->

publiques (dont l’Etat, la Banque Centrale et les collectivités territoriales) sur l’activité économique. Elle retient 4 objectifs principaux : la croissance, le plein emploi, la stabilité des prix (en limitant l’inflation), et l’équilibre extérieur (balance commerciale). Il s’agit du « carré magique » de Nicolas KALDOR. La politique budgétaire constitue l’instrument traditionnel de la politique économique. Elle peut agir sur l’économie à la fois : * Sur le plan conjoncturel (orientation de l’activité

Importations : C = 0,7 Y + 10 I = 50 X = 15 Q2 M = 0,1 Y Y : revenu national Q : taux de change réel 1) Combien valent les élasticités-prix du commerce extérieur ? Que peut-on en conclure ? 2) On suppose Q = 2. Déterminez le revenu d'équilibre et la balance commerciale réelle en fonction de la demande publique G, ces dépenses étant financées par endettement des administrations publiques (pas d'impôt). 3) On suppose que les autorités publiques poursuivent un objectif de revenu Y0 = 300 et un objectif

nombre de départ. 1° : Italie 2° : UK 3° : Portugal et Espagne. L’apogée de l’immigration aux USA ce sont les années 1900 1920 avec prépondérance des migrants européens. Jusqu’en 1880 les migrants viennent principalement de pays anglo-saxons. New-York : 1° ville juive du monde à cause des tueries. Dès 1921 les USA mettent en place des cotas principalement pour limiter les émigrations et équilibré les différentes nationalités migrantes. Les cotas de 1921 établissent que le nombre maximum de migrants

international s’intéresse aux causes, aux implications, aux gains de l’échange et aux conséquences des politiques de restriction ou d’ouverture aux échanges. Il ignore, en général, les déséquilibres macro-économiques en supposant un plein emploi et une balance commerciale équilibrée. - La finance internationale s’intéresse, au contraire, à la détermination des taux de change, à l’intégration financière, aux effets des différentes politiques conjoncturelles commerciaux,… C’est dire que nous ne saurions rendre

notamment le relèvement du quota de la promotion interne à 30% (juillet 2011) et à 33% (janvier 2012). L’ensemble de ces mesures aurait sans doute un impact positif sur l’économie mais devrait également avoir un effet négatif sur l’inflation et la balance des paiements (voir Tableau 1). Tableau 1 : Impact des mesures sociales sur l’Economie Mesures Positif Négatif La hausse de la demande intérieure devrait se traduire également par une hausse des importations et par la suite un creusement

pétrole qui influe sur les dépenses de consommation des ménages, les taux de change qui influent sur la balance commerciale et la compétitivité des entreprises et enfin les événements particuliers. 1) Demande mondiale La demande mondiale est la somme des PIB mondiaux. Le PIB (Y) est la somme des dépenses de consommation (C), des investissements (I), des dépenses publiques (G) et de la balance du commerce extérieur (exports X – imports M). Cela se traduit par la relation : Y = C + I+ G + (X-M)