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pts -13,6% -5,2 pts -14,8% -3,8 pts -11,4% -1,9 pts -9,3% 58,9% +0,2 x Variation en base (3) comparable -2,3% -8,6% -3,9 pts -13,5% -5,1 pts -14,8% -3,8 pts 31 617 18 605 58,8% EBITA Marge (%) 14 327 45,3% 12 375 40,1% Résultat Net part du groupe Marge (%) 9 532 30,1% 8 123 26,3% CAPEX CAPEX / CA 6 535 20,7% 5 793 18,8% CFFO Dette Nette Dette Nette / EBITDA 12 836 4 319 0,2 x 11 647 6 862 0,4 x Chiffre d’affaires(1) Au cours de l’exercice 2011

résultat des opérations exceptionnelles (non reproductibles d'une année sur l'autre). Au résultat courant avant impôts et au résultat exceptionnel, on déduit les impôts et la participation afin d'obtenir le résultat net comptable qui est le solde du compte de résultat.  Le résultat net comptable sert à la rémunération des actionnaires ou est affecté à un compte de réserve. Conclusion sur les SIG : Les SIG, Soldes intermédiaires de gestion, servent à mieux comprendre et analyser la formation

Rubriques et exemples de champs d’analyse |Points forts |Points faibles | | |Financier |-Taux de profitabilité (Résultat net/ capitaux |-MICHELIN a tendance à prendre des décisions lui permettant | | |propres) en hausse de 5,87 %(12.01) à 19,64% |de réaliser des profits pour distribuer plus de dividendes. | |Chiffre d’affaires |(12.05)

bien sûr, mais aussi salariés, clients et société civile. Dans son rapport annuel 2008, le groupe met en avant plusieurs critères. Des critères financiers bien sûr, qui se traduisent par des indicateurs classiques de chiffre d’affaires, de résultat net ou de dividende par action. Mais aussi des critères sociaux et environnementaux qui se traduisent par de multiples indicateurs : * Indicateurs de progrès (taux de rotation, taux de fréquence d’accidents du travail, etc.) ; * Indicateurs environnementaux

patronales, de l’ordre de 45% en moyenne. Le salarié lui revient à (à peu près) 17 478 € annuels. d) Un employé qui perçoit un salaire de 12 000 € brut annuels a un salaire net de 1 000 € mensuels. Non, il faut déduire les cotisations salariales de l’ordre de 23% voire plus si cadre. Donc le salarié touche un salaire mensuel net de 770 eur. e) Un employé invite un prospect au restaurant. L’addition (c’est l’employé qui paye) est - elle une charge fixe ou une charge variable pour l’entreprise qui l’emploie

(CO) : Loyers et charges locatives + Redevances de crédit-bail + Dotations aux amortissements + Intérêts des emprunts (charges financières autres que commissions sur moyens de paiement) Résultat courant avant impôt (RCAI) = RBE – CO Résultat net = RCAI + Produits exceptionnels – Charges exceptionnelles – Participation des salariés – Impôt sur les bénéfices Le Moulin des Pénitents (correction) - 1/3 - CORRECTION RÉVISIONS : LE MOULIN DES PÉNITENTS L'ANALYSE DU COMPTE DE RÉSULTAT (1h

clients : Ce que l’on nous doit. Valeur immobilières de placement Disponibilité/Trésorerie Banque Caisse Capitaux propres : Capital social : Total des apports des associés. Réserves : Part des bénéfices non distribués depuis la création. Résultat net (Bénéfice ou Déficit) : Résultat du CR (compte de résultat) de l’exercice en cours Dettes Financières : Emprunt Découvert bancaire D’exploitation : Fournisseurs Fiscales et sociales. TOTAL ACTIF =

ses biens et ses services. 1) Construction du profit : On distingue deux niveaux de profit : * Le profit brut, aussi appelé Excédent brut d’exploitation, ou rémunération du facteur capital. On a donc : EBE=VA-SALAIRES * Le profit net, c’est le résidu obtenu après la rémunération de tous les facteurs de production, aussi appelé le résultat de l’exercice. On a donc : EBE- (Charges endettement+participation des salariés+IS)=Résultat de l’exercice. Le profit est donc synonyme de

chiffre d’affaires. Ces bons résultats opérationnels sont affectés par la croissance du coût de la dette. Le résultat net avant résultat des activités arrêtées subit une forte baisse sur la période de 12.4% passant de 1.194 à1.046 milliard d’€. Le poids de la dette pénalise fortement la performance du groupe. Cependant, la cession de l’activité biscuit contribue à gonfler le résultat net qui s’établit en 2007 à 4.3 milliards contre 1.560 milliard d’euros en 2006, soit une croissance de 178%. 2.

Juger la performance de la société : L’analyste se basera sur le compte de résultat et étudiera l'évolution des ratios financiers, tels que l'évolution du chiffre d'affaires, l'évolution de l'excédent brut d'exploitation ou l'évolution du résultat net. Cela permettra à l'analyste de savoir si la société a des charges adaptées à son activité, et si elle est bien positionnée sur son marché. Juger la solvabilité de la société : Pour savoir si elle est solide et si elle pourra rembourser ses emprunts