Nestle Import Export

franches Totales Millions US$ 1.781,6 1.377,1 3.925,1 Variations Vs 2010 Jan. Sept 23% +2% +13% 2006 2007 2008 2009 2010 Sources: Banque Centrale de Nicaragua et Commission Nationale des Zones Franches Principaux produits exportés (hors zones franches), Janvier-septembre 2011 Produits Café Viande bovine Or Sucre Crustacés Arachides Fromage Huiles comestibles Fruits Lait en poudre Concentré de café Sous total Importations totales Valeur CIF milliers USD 395021,5 301770,0 259391

000 habitants. Ses principales activités industrielles sont concentrées dans le textile et l'agroalimentaire. GALWAY : Dans la région du Connemara, à l'ouest du pays, à l'entrée de la baie qui porte son nom, Galway compte 50 000 habitants. Elle exporte de la laine et des produits agricoles régionaux et possède également de nombreuses pêcheries, distilleries, fonderies et minoteries. WATERFORD : Port de la province du Munster, la ville de Waterford compte 40 000 habitants et est notamment connue

petites et moyennes entreprises. Concurrence étrangère : Les équipements provenant des fabricants indiens sont perçus comme des équipements de moindre qualité et à des performances réduites. Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises indiennes souhaitent importer des équipements d’emballage, en effet ces entreprises sont à la recherche de machines de qualité à haute performances c'est-à-dire des équipements assez haut de gamme. Les besoins et critères d’achats 4 Segment très sensible au prix Présence d’un

Caractéristiques du secteur de distribution du chocolat : Les confiseries se concentrent à l’est car c’est la région la plus riche et la plus ouverte. C’est aussi là que le chocolat y est le plus connu. On trouve le siège social de Mars et Nestlé à Pékin, les usines Mars à Cadbury ; Ferrero à Shanghai ou encore Barry Callebaut à Suzhou. Les confiseries étrangères sont très bien réputées pour leur savoir-faire, leur approvisionnement en matière première de haute qualité avec une main-d’œuvre

deux pays pourrait donc inciter une entreprise française à exporter aux Etats-Unis, d’autant plus que le marché des eaux embouteillées a connu une progression au cours du premier semestre 2004 (progression de +9.4%). Aussi, les Etats-Unis, disposant d’une situation économique favorable avec un PIB, qui en 2002, s’élevait à 10.429 milliards de dollars (PIB le plus grand des pays de l’OCDE), ne pourrait qu’inciter une entreprise à exporter dans ce pays. Cependant, le marché américain reste un marché

vaccins vétérinaires très innovants. JV / WOFE 100% étrangères possibles (sauf secteurs ci-dessous). - En termes d’importations : - Tous les marchés ne sont pas ouverts (voir Exp@don) et les négociations sont longues et priorisées en Comité export SPS. - Les autorités chinoises sont strictes et la réglementation chinoise assez évolutive au vue des questions sanitaires : 5000 normes IAA devraient être revues sous 5 ans => ne pas sous-estimer les questions réglementaires et s’y préparer, voire

fabricants doivent faire preuve de beaucoup de talent industriel, logistique et commercial car il faut être capable de stocker les produits finis sans les abîmer. La profession ne compte pas seulement les deux groupes internationaux Unilever et Nestlé, mais plein de marques de distributeurs qui totalisent 32% de part de marché. Lorsque l’été arrive, c’est le moment de manger des glaces, et les lieux de consommation sont diversifiés : le plus souvent à domicile (95%), au restaurant (52%)

Matières premières : Bien que l’entreprise assure l’approvisionnement de le betterave et de la canne en provenance de Doukkala, du Gharb, de Beni mellal et Loukous, cette quantité n’assure que ¼ de sa production, c’est pour cette raison la société importe du sucre brut à base de canne soit une quantité de 7.000.000 T/ an auprès de plusieurs fournisseurs comme l’Amérique Latine (Brésil, Argentine, Bolivie …) et l’Australie. Ces fournisseurs sont rigoureusement sélectionnés en mettant en évidence

comme inspiration première les organisations caritatives et humanitaires. Au même moment, dans les pays du Sud, certains producteurs défavorisés réclament des relations commerciales plus "justes". À la fin des années 50, une association néerlandaise importe des produits en provenance des Pays en Développement en éliminant les intermédiaires peu sujets au partage des bénéfices, et les vend par correspondance en passant par les églises et les réseaux du Tiers-monde. Au Sud, des structures basées sur le

progression d’antan. Ceci s’explique par un effort fait sur l’innovation, des millions d’euros investis en communication – 130 en 2010 – et des promotions qui envahissent les rayons. En 2010, le marché a crû modestement de 1,2%. A cela, un industriel de Nestlé répond : « J’ai bien peur que l’âge d’or des croissances annuelles supérieures à 5% soit définitivement derrière nous. » En somme, nous pouvons dire que l’importance du marché (15% de l’épicerie sucrée) suffit à séduire les industriels, bien que