Nelson Mandela être Libre

nous appartient. Laisse tes rêves être plus grands que tes peurs et tes actions être plus forte que tes paroles. Tu es toujours libre de changer d'idée et de choisir un futur différent. Le vrai courage est parfois de choisir. L'espoir, c'est l'élément magique qui fait agir. Rêver c'est oublier la réalité en se donnant un moment de liberté pour aller dans le seul endroit où l'impossible devient possible. Être négatif, c'est s'éloigner de son bonheur. Être positif, c'est faire grandir son

que pour unique finalité la représentation des aléas de la vie ? Certes la littérature traduit le plus fidèlement possible nos vies par l’intermédiaire des personnages, cependant ne reste-t-elle pas seulement un art relevant de la création ? Peut-être que la finalité de la littérature se révèle autre part combinant ainsi réel et création ? 1) On constate que la littérature s’apparente à notre réalité a) Une constatation que l’on relève chez les personnages et leurs expériences de

est autonome lorsque celui-ci ne dépend de personne et qu’il se donne à sois même ses propres lois, valeurs et buts. La liberté quant à elle est une notion complexe :être libre se caractérise par le pouvoir d’agir, de décider sois même donc d’être a l’origine de ses propres choix. Etymologiquement, on retrouve cette idée de ne pas être en état de servitude, le propre d’une volonté qui n’a pas d’autre maître qu’elle-même, en effet, en latin, « liber » signifie esclave affranchi  La promiscuité de ces

tourné vers des stratégies mondialisées, destinées à optimiser les bénéfices, à l'image de la restructuration de l'économie mondiale qui a lieu depuis les années 80. En effet, la division du travail, la tendance néolibérale et le climat de "marché libre" font de la mondialisation du sport une question à dimension économique, politique et idéologique. Ainsi, ces domaines transposent leurs difficultés sur le secteur sportif, impliquant un relativisme nécessaire à l’ampleur de la mondialisation du sport

Le devoir s’impose de lui-même de façon impérative, sans explication. Le devoir n’est pourtant pas un ordre, il exige « le sens du devoir » et la volonté d’une personne qui est libre. Il renvoie alors au domaine de l’obligation morale de faire quelque chose. Il est ainsi un acte tout à fait volontaire de la liberté elle-même. Le devoir est ce que nous devons faire mais que nous pourrions ne pas faire et donc désobéir à celui-ci. En revanche, obéir à une loi ne fonde pas, ne défini pas le devoir.

peut pas demeurer non fait, étant donné qu’on le fait. Mais elle consiste dans la seule facilité d’exécution, et alors, libre, spontané et volontaire ne sont qu’une même chose.». Alors, selon Descartes, nous ne pouvons devenir libres, si nous ne faisons rien. Car pour lui, pour rechercher la liberté, il faut agir, faire quelque chose donc ce qui implique qu'on ne peut être libre en étant indifférent. • L'avenir appartient-t-elle à la non-violence? La non-violence est devenu très populaire

ethnique et/ou de leur couleur de peau, est une violation des droits humains. On parle aussi de                                  discrimination raciale pour désigner cette forme de discrimination. Il s’agit de la même chose.     Le droit de ne pas être discriminé en raison de sa race, de son origine ethnique ou de sa couleur de                                          peau est inscrit dans l’article 2 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Il est également                           

sous les Auspices de la GLUM, VM et vous tous mes FF :. En vos grades et qualité« La liberté sans le civisme, la liberté sans la capacité de vivre en paix n’est absolument pas la vraie liberté »Nelson Mandala dira après sa libération « nous ne sommes pas libre, nous avons seulement atteint la liberté d’être libre » qui est une autre formulation de sa citation. La liberté est une notion relative et, pour qu’elle soit une réalité, deux prérequis sont nécessaires selon N.M : Le civisme et la capacité d’user

« réussir sa vie », « rater sa vie » etc. va au-delà de la vie comme processus vital mais se comprend au sens d’une vie comme accomplissement propre (« bios »), dans une vie où on « persévére dans son être ». Dans l’esprit de tout le monde, dire qu’on a réussi à faire ce que l’on veut dans sa vie, c’est être heureux. • Aujourd’hui, dans un contexte de sécularisation et du recul de la croyance à une vie après la mort, le bonheur devient une sorte d’impératif de notre vivant. Cependant, on est passé

est l’histoire d’un échec. » Le Che en visite au Congo en 1965 En dépit de cet épisode qui peut être qualifié de fiasco, l’image du Che n’est pas ternie en Afrique, loin de là. Dans les années 1960, le futur président de l’Afrique du Sud, Nelson Mandela passe ainsi de lutte non violente inspirée par Gandhi à une guérilla armée comme celle du Che. En 1991 lors d'une visite à la Havane, Mandela dit que « Les exploits de Che Guevara dans notre continent étaient d'une telle ampleur qu'aucune prison