Nécessité et contingence

désordonnées, des taches noires dans le soleil ou des turbulences dans l'atmosphère par exemple, ou bien une suite aléatoire de nombres. Le désordre alors n'est pas pensé comme ce qui est dépourvu d'une finalité, mais comme ce qui apparaît dépourvu de nécessité. Ces deux sens renvoient à deux visions philosophiquement différentes du monde: finaliste ou mécaniste. Les développements récents de la science contemporaine font apparaître un troisième sens possible du mot ordre, dégagé davantage, peut-être

de libertés au pluriel car il y a sans doute autant de libertés que de contraintes dont on s’affranchit. De quelle servitude l’homme souffre-t’il ? Toute autorité est-elle nécessairement aliénante ? I) La liberté est-elle l’acceptation de la nécessité ? Le stoïcisme apparaît en 332 avant JC et il est crée par Zénon. Le stoïcisme continue à être enseigné jusqu’au IIème siècle après JC avec Cicéron, Sénèque, Marc-Aurèle. L’épicurisme apparaît à la même époque. En rejetant toutes deux les philosophies

impératifs écologiques. Elles sont également influencées par des facteurs internes tels que la taille, les technologies, l'histoire et la culture de l'organisation ainsi que la confrontation intérêt individuel/ intérêt collectif. 1. Les facteurs de contingences externes L'environnement de l'organisation influence les décisions et les actions des organisation. Les pratiques de management se trouvent en permanence confrontées à un environnement turbulent, complexe et incertain, qui va influencer les décisions

entre l’être en-soi et l’être pour-soi.  Ainsi, l’en-soi et le pour-soi s’opposent.  “L’en-soi” est la caractéristique de toute chose, de toute réalité extérieure à la conscience. Le concept d’en-soi désigne ce qui est totalement soumis à la contingence, c’est-à-dire tout ce qui est sans liberté et ce qui n’entretient aucun rapport à soi.  L’existence de tout en-soi est passive en ce sens que, par exemple, un vélo ne peut décider d’être autre chose qu’un vélo. Un sapin n’exige jamais de son jardinier

Fatalisme et déterminisme « Une dialectique de la raison découle de ce qui précède, puisque eu égard à la volonté, la liberté qui l’accompagne semble entrer en contradiction avec la nécessité naturelle et qu’à cette croisée des chemins, la raison dans son intention spéculative trouve le chemin de la nécessité naturelle beaucoup mieux ouvert et plus viable que celui de la liberté. Néanmoins, dans l’intention pratique, le sentier de la liberté est le seul sur lequel il soit possible de faire usage

2011 – 2013   Introduction.............................................. Première partie : la nécessité, Les fondements, les objectifs et les fonctions de la Communication managériale.......................................................... Paragraphe1 : la nécessité de la communication managériale................................... Paragraphe2: les fondements de la communication managériale................

s’appliquer même à l’ensemble des choses dans sa latitude de déploiement. Ainsi on libère du gaz ou une voie. On voit que cette première définition est trop large pour qualifier la spécificité de la liberté humaine. De plus, l’animal subit les nécessités de la nature sans les transformer, sans marquer la nature de son empreinte. Et les choses n’ont pas l’initiative de ce qui leur arrive. Au sein même des êtres vivants, une distinction s’impose. En effet, la « liberté » des animaux est très imparfaite

Les méthodes élaborées sont en général dédiées à un type de projet particulier, mais elles peuvent parfois être transposables sans trop de difficultés à d'autres types. - La transposition d'un type à l'autre n'est pas toujours possible car cela nécessite une stabilité suffisante de l'environnement général des projets réalisés et un minimum de reproductibilité des expériences acquises. - L'entreprise peut ne pas être homogène. Par conséquent, le secteur d'activités de l'entreprise n'implique pas

notions à maîtriser 1. Montrer l’incidence de l’évolution de l’environnement et des choix stratégiques sur l’adaptation des structures Les facteurs de contingence –  Rappeler la définition des facteurs de contingence. –  Repérer quelles évolutions peuvent affecter l’environnement d’une organisation. La dynamique des structures –  Montrer la nécessité pour une entreprise d’opérer un changement structurel lorsque l’environnement est affecté par des changements significatifs. –  Caractériser une organisation

La théorie de la contingence introduction Le sens commun fait volontiers comprendre qu’il n’existe pas d’organisation meilleure que les autres mais ne fait pas entendre pour autant que toutes les organisations sont efficaces. C’est l’étude de ces organisations qui nous intéresse ici ; on peut les approcher de deux façons différentes : d’un point de vue économique ou d’un point de vue non-économique. L’étude non-économique des organisations renferme à la fois