N Y A T Il De Vrai Que Le Vérifiable

philosophie : Terminale ES – Année 2009/10 Sujet : N’y-a-t-il de vrai que le vérifiable ? Note : 13/20 Dans l’Evangile, Thomas ne croyant pas à la résurrection de Jésus prononce cette phrase : « Je ne crois que ce que je vois ». De fait, il ne croira cette affirmation vraie que lorsqu’il aura vérifié et vu Jésus. Dans ce cas, la vérité n’existe que par la vérification. Pouvons-nons pour autant dire qu’il n’y a de vrai que le vérifiable ? Le mot « vrai » renvoie au terme « vérité » qui désigne une adéquation

Sujet n°1 : Toute la vérité est-elle vérifiable ? La notion de "vérité" reste propre à l'homme puisque créée pour lui et comprise par lui. Elle est un pilier essentiel de notre vie : lorsque nous attendons que le feu passe au vert pour démarrer la voiture, que nous écoutons les explications d’un professionnel,... Elle est si liée à nous même que cela nous semble évident et que nous ne voyons pas l’intérêt de bien la définir. Pourtant parce qu’elle est nécessaire à la vie que nous menons et au bon

conventions, ce à quoi l'esprit peut donner son assentiment, par suite d'un apport de conformité avec l'objet de pensée. La science est un genre de savoir, conformément au premier sens du mot « scientia ». Le domaine scientifique concerne une connaissance rationnelle, obtenue soit par la voie démonstrative, comme les mathématiques, soit par observation et vérification expérimentale, comme par exemple la physique. La vérité dans le domaine scientifique désigne donc ce qui est vérifiable de façon universelle

pour vrai au sens large, l'ensemble de connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables [sens restreint] ».La volonté de la communauté savante, garante des sciences, est de produire des « connaissances scientifiques » à partir de méthodes d'investigation rigoureuses, vérifiables et reproductibles. Quant aux « méthodes scientifiques » et aux « valeurs scientifiques », elles sont à la fois

À 600 ans avant J-C, un événement extraordinaire survint à Milet : l’émergence de la pensée rationnelle. Cette puissance de pensée inattendue est ce que l’on appelle le « miracle grec ». Ce dernier consiste plutôt dans l’approche des choses, soit la manière de penser et non pas dans celui de la connaissance. À cette époque, les explications étaient fondées sur la mythologie et malgré cela, les milésiens abordèrent les questionnements avec rationalité, c’est-à-dire le rejet de toutes divinités et

l'on sait pour l'avoir appris, ce que l'on tient pour vrai au sens large, l'ensemble de connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables [sens restreint] »1. La volonté de la communauté savante, garante des sciences, est de produire des « connaissances scientifiques » à partir de méthodes d'investigation rigoureuses, vérifiables et reproductibles. Quant aux « méthodes scientifiques

Marie WILTBERGER - TL2 Ne doit-on tenir pour vrai que ce qui est scientifiquement prouvé ? «  Rassurez-vous, il n'y aura pas d'autre affaire Galilée. L'Eglise a retenu la leçon, compris que la science sur son terrain, est invincible. Plutôt que de l'affronter, quand une découverte remet en cause un point particulier de son enseignement, elle préfère biaiser, reculer et, finalement, corriger le dogme. » Dit Gérard Bonnot in La vie c'est autre chose, 1976 ; voici une citation qui permet d’introduire

trouvent leurs informations puis comment ils la retranscrive. Tout d'abord nous voyons que les médias façonnent l'opinion grâce à des sources officielles et des sources de terrains. Les sources officielles sont en provenance d'un gouvernement ou d'une autorité constituée, c'est à dire que les journalistes piochent leurs informations « officiellement ». Il y a différentes sources officielles, ce sont souvent celles exprimés par les informations données par les enquêtes policières ou bien les

notion d´être dans le vrai par rapport à autre chose qui est dans le faux. Vouloir à tous prix, en toutes circonstances, avoir raison, n'est-ce pas nécessairement un tord? En effet, un tel désir, un telle volonté, n'apparait-elle pas souvent comme irrationnelle, déraisonnable, dans ses motivations comme dans ses conséquences? Puisque cela peut se faire en dépit du bon sens : on cherche à imposer ses raisons, on refuse toute autre raison, on se ferme à toute raison. Cela mène alors à une attitude de simple

eux même. L'Histoire a permis aux hommes d'aujourd'hui d'être ce qu'ils sont et a permis à la société d'être comme ça. Lorsqu'on nous demande la première chose à laquelle nous pensons quand on entend le mot « Histoire », c'est souvent quelque chose qui a fait des dégâts qui revient en tête. Comme le pense Raymond Queneau, l'Histoire est-elle la science du malheur des hommes ? Tout d'abord, une science est  ce que l'on sait pour l'avoir appris, ce que l'on tient pour vrai au sens large, l'ensemble