Métaphore écume Des Jours

adaptées en fonction de l’évolution de la société. Certaines sont devenues des emblèmes du pays et d’autres de simples petites villes avec peu de mouvement. Quoi qu’il en soit, chaque ville est intéressante et cache d’innombrables trésors. De nos jours, les villes sont devenues des endroits importants car c’est là que nous faisons nos études, nos courses ou tout autre achat majeur. De plus, il serait très difficile de vivre sans villes car ce sont des lieux de rassemblements et qui permettent de

stature de protestation. Les dos des maisons ont peur du ciel truffé de feu, leurs pieds des noyades du sol, elles ont opté de se poser superficielles entre les surprises et les perfidies. Et pourtant elle avance la ville. Même qu’elle paît tous les jours plus outre sa marée de corridors carrelés de persiennes pudibondes, de cours gluantes, de peintures qui dégoulinent. Et de petits scandales étouffés, de petites hontes tues, de petites haines immenses pétrissent en bosses et creux les rues étroites

Rhinocéros (1960) de Eugène Ionesco Registre comique : Le comique de situation : ⤷ cadre réaliste (=vie quotidienne) ⤷ phénomène étonnant ⤷ métaphore, pas d'explication ⤷ anormal, décalage (pas de réaction du personnage, pas de panique de la part de l'autre) Les éléments comiques : ⤷ jeu de mots : Jean a des cornes et Bérenger lui dit

croyances, non des savoirs), des mauvais savants et des gens du monde, à la vraie connaissance et au génie qu’incarnent le musicien, le peintre, l'écrivain ou le savant vraiment grand, celui qui n'a pas besoin de laboratoire: " C'est ainsi que, de nos jours encore, les plus grandes découvertes dans les mœurs des insectes ont pu être faites par un savant qui ne disposait d'aucun laboratoire, de nul appareil… " Le mot nous ramène bien sûr à Brichot, dont nous avons vu qu’il était équipé précisément d’un

recherche du temps perdu ← Gide : Les faux monnayeurs ← Camus : L’étranger ; La peste ; La chute ; Caligula ← Duras : Barrage contre le pacifique ; Les amants ← Le Clezio : Etoile filante ← Boris Vian : L’écume des jours Contemporain : ← Süstkin : Le parfum ← Boris Vian : Ecume des jours ; Arrache cœur ← A. Nothans : Suspens et tremblement ← Stefan Zweig : Le joueur d’échecs ← Alex Harley : Racines ALBERT CAMUS : L’ETRANGER Le thème principal : L’absurde C’est un roman composé de 2 parties :

modifications subies au cadre de l’actuel carrefour épistémologique. ♦ Procédant à un repérage des dysfonctionnements en étude dans des textes représentatifs pour le discours littéraire français depuis la deuxième moitié du XIXème siècle jusqu’à nos jours elle peut constituer un instrument de travail à la fois ponctuel et exemplaire au cadre des cours pratiques d’approche textuelle et des seminaires de littérature. ♦ Le contre-point des démarches descriptives et évaluatives maintenu tout au long du

J'AVDBOUND AT THE UNIVERSITY OF TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour

catégorie historique. Les mots qui étaient homonymes à une certaine époque d’histoire ont cesse de l’être au cours de leur évolution. Par exemple, les mots grand-mère et grammaire étaient homonymes encore au XVII siècle, mais ils ne le sont plus de nos jours. L’origine de l’homonymie L’apparition des homonymes dans une langue est due, en général, aux coïncidences occasionnelles de nature diverse. C’est le résultat de différents phénomènes linguistiques qui s’opèrent dans la langue au cours de son développement

_____________________________________________________________________________________________________________________________________________ Nouvelle n°4. Julio CORTAZAR, Continuité des parcs (1993) Il avait commencé à lire le roman quelques jours auparavant. Il l’abandonna à cause d’affaires urgentes et l’ouvrit de nouveau dans le train, en retournant à sa propriété. Il se laissait lentement intéresser par l’intrigue et le caractère des personnages. Ce soir-là, après avoir écrit une lettre

nuit que le jour à Paris ? b) Souligne dans le premier paragraphe les mots appartenant au champ lexical de la lumière. c) De sa fenêtre, quelle opposition le narrateur note-t-il entre la ville « en bas » et ses « sommets » (l. 11) ? 2- a) Quelle métaphore est employée à la fin du texte pour désigner la grande ville ? b) Quels sont les points communs entre l’image choisie et la capitale ? c) L’impression ainsi donnée de Paris est-elle celle d’une société harmonieuse ou agitée de rivalités et de conflits