Métaphore Océanique Dans Océan Mer

rythmes sont inégaux : croissance démographique faible dans les pays riches, explosive pour certains pays pauvres (Nigeria) Cette situation place la ville au cœur des enjeux du développement durable (pour approfondir voir le chapitre 5). Doc. 6 La métaphore du banquet Malthus, pasteur écossais, soulevait déjà au XVIIIe siècle la question des rapports population/ressources de la planète. Ce débat autour de la question des capacités de la Terre à répondre aux besoins des hommes est donc récurrent. La

être le réchauffement moyen mondial en 2100 ? De 1 à 6,3° par rapport à la moyenne des vingt dernières années du XXe siècle (figure 8, section 4.2). Le changement climatique mondial sera-t-il le même partout dans le monde ? La réponse est non, les océans se réchauffent moins que les continents dont les parties les plus au nord se réchauffent le plus (voir figure 4 et section 4.3, figure 10). Certaines régions sont plus arrosées, d’autres au contraire plus sèches (voir figure 5 et section 4.4, figure

deviennent utilisables. Le Big Bang, en réalité, c'est notre horizon dans le temps et dans l'espace. Si nous le considérons comme l'instant zéro de notre histoire, c'est par commodité, et faute de mieux. Nous sommes comme des explorateurs devant un océan : nous ne voyons pas s'il y a quelque chose au-delà de l'horizon. - Si je comprends bien, le Big Bang est en fait une manière de désigner, non pas vraiment la limite du monde, mais celle de nos connaissances. - Exactement. Mais attention, n'en concluons

diffusion de la culture scientifique et technique en Communauté française de Belgique. Après le succès de l'édition 2009, ÉvolutionsRévolutions (plus de 40 000 visiteurs), cette année sera consacrée à… «Certains la traquent dans les profondeurs océaniques ou dans les déserts les plus torrides ou les plus glacés; d'autres la recherchent même sur d'autres planètes. Source intarissable de mystères et d'émerveillements, elle se situe depuis des millénaires au carrefour de toutes les interrogations. La

populations arctiques et central-arctiques. L’histoire de peuples primitifs africains a modifié leurs théophanies ; aucun de leur Dieu n’est dès lors « pur », originel, auroral. Les Samoyèdes adorent Num (littéralement le Ciel, qui est ici aussi Terre et mer, soit l’univers tout entier. Traces chez eux de la forme originelle, non concrétisée (passage de création à fécondité par exemple) de la divinité. Pas de hiérogamie bien que Ciel et Terre soit qualifiés de « père » et « mère » dans leurs prières. Mésopotamie

la recherche du temps perdu, t. V : Sodome et Gomorrhe, II, p. 210. Gaston Bachelard, La poétique de l’espace. (1957) [1961] 25 VIII La psychologie classique ne traite guère de l'image poétique qui est souvent confondue avec la simple métaphore. D'ailleurs, en général, le mot image est lourd de confusion dans les ouvrages des psychologues : on voit des images, on reproduit des images, on garde des images dans la mémoire. L'image est, tout, sauf un produit direct, de l'imagination. Dans

méthodologique 1. L’étude d’un système complexe : la concertation territoriale 2. Les principes méthodologiques de cette recherche 3. Notre approche de la concertation 4. Les travaux de terrain 5. Apports et limites de l’approche Chapitre 6 Etudes de cas 1. La mer d’Iroise 2. Le golfe du Morbihan 3. La baie du Mont Saint-Michel 4. La région Bretagne Chapitre 7 Regards croisés sur les études de cas 1. Le territoire concerné 2. Entre gestion et concertation 3. Les acteurs impliqués dans les démarches 4. La concertation

naturelles. La tempête Xynthia a eu un effet ravageur parce qu’ont coïncidé des vents très forts (mais pas exceptionnels), une baisse de la pression atmosphérique et une grande marée, d’où un relèvement de 1,50 m du niveau de la mer, qui a envahi des terres conquises sur la mer depuis deux siècles ainsi que des lotissements récents peu prudemment construits en zone inondable. 3. Outre la production de bois (dont la gestion est assurée par l’ONF), la forêt connaît différents usages : marche, varappe

agréables : compter la caisse du marché au mois d’Août, recevoir mes premières payes de barman, profiter de l’animation nocturne, rencontrer chaque été des personnes différentes et partager des expériences, croiser les sourires d’enfants découvrant la mer pour la première fois …. Le tourisme peut donc être également source de bienfaits. C’est de cette ambiguïté que naît ma problématique, de cette contradiction entre un tourisme qui base son attractivité sur la qualité des paysages mais qui en lisse,

lentement et avec beaucoup de magnificence (mais qui dispose de son temps ?), pour que chacun comprenne davantage, sinon mon épouvante, du moins ma stupéfaction, quand, un soir d'été, comme le soleil semblait s'abaisser à l'horizon, je vis nager, sur la mer, avec de larges pattes de canard à la place des extrémités des jambes et des bras, porteur d'une nageoire dorsale, proportionnellement aussi longue et aussi effilée que celle des dauphins, un être humain, aux muscles vigoureux, et que des bancs nombreux