Métaphore Mort Sommeil

nettement à un autre mouvement littéraire et culturel du 19ème siècle: le romantisme (importance de l'individu, être d'exception, de la sensibilité et de la spiritualité) cf module sur la peinture et les conceptions très opposées sur les thèmes de la mort et du corps. Le chef de file du naturalisme est Emile ZOLA dont l'ensemble des romans constituent le cycle des RougonMacquart, cycle autour d'une même famille à l'hérédité chargée et dont les membres évoluent dans différents milieux. D'autres représentants:

la messe, il pose un regard critique sur la bourgeoisie. La guerre franco-prussienne éclate en 1870 & c'est à cette occasion qu'il dit que Le mal a 2 visages : guerre et religion. il accuse les politiques et la religion d'être responsables de la mort d'autres hommes. C'est un sonnet très révélateur de cette période de sa vie marquée par la révolte et le refus du conformisme provincial & familial. Ainsi il publie le recueil Poésies en 1870, duquel est extrait le poème qui nous intéresse, Le

la vieillesse et la mort                                                                                          Le premier tercet et le premier vers du second tercet opposent la mort du poète (champ lexical de la mort : « sous la terre », « fantôme », « sans os » et « repos ») et la vieillesse d'Hélène qui regrettera de ne pas l'avoir aimé (« regrettant [...] votre fier dédain »).          La succession de rimes pauvres dans le sizain final accentue la triste réalité de la mort.  I) Une déclaration

domicile à cette époque l. 16 : phtisique : souffrant de tuberculose l. 18 : se récrier : protester l. 19 : incrédules : personnes qui ne croient pas ce qu'on leur dit l. 21 : se méprendre : se tromper l. 30 : agonie : les dernières souffrances avant la mort l. 32 : législateur : celui qui fait les lois (les députés) Introduction : Victor Hugo ne fut pas seulement un grand écrivain du XIXe siècle, mais aussi un homme politique qui participa aux combats de son époque. Il se battit notamment pour que

inconscient ) libérés du contrôle de la raison et en lutte contre les valeurs reçues. Sous toutes le formes possibles par des poèmes, l'écriture automatique, les jeux surréalistes, les collages, calligrammes, associations d'idées ou d'images, et métaphores chocs. II – Thèmes : L'amour fou et la femme. La révolte. La magie des villes et les recontres insolites. L'inconscient, le rêve, l'imagination. III – Originalités : Expression de l'inconscient, rôle du hasard

des autres (« lui » mis en évidence et rejeté en début de phrase l.1), omniprésence du JE (davantage encore que dans l’incipit) + temps verbaux de l’introspection, de l’intériorité (passé composé et imparfait) + l’épuisement et le refuge dans le sommeil l.1-2 (comme dans le trajet qui le menait à Marengo au chapitre 1, 1° partie). Le champ lexical de l’achèvement, de la fin : « la fin » l.9, « des vies s’éteignaient » l.10-11, « que tout soit consommé » l.17-18, « mon exécution » l.19. Son exécution

Nerval le poète. Avant de réfléchir sur ses poèmes, il faut qu’on établisse des faits de son histoire pour mieux comprendre les œuvres de Nerval. Il a grandi dans la campagne du Valois ; son père était en guerre et sa mère est mort quand il a eu deux ans. Le mort de sa mère va contribuer à son fixation sur les femmes plus tard dans sa vie. Pour lui, le paradis absolu se trouve dans les souvenirs de son enfance, ce qu’on peut noter dans les plusieurs longues descriptions de son enfance dans l’idylle

Le châtiment suprême de la peine de mort, question hautement sensible encore aujourd'hui dans des pays comme la Chine ou les États-Unis. Maximilien Robespierre, dans un discours de 1791, VH dans un roman, Le Dernier jour d'un condamné en 1832 et Albert Camus dans ses Réflexions sur la guillotine en 1957,ont cherché à convaincre de son abolition. Comment ? Chez Robespierre, dirigeant de la Révolution française et futur chef d'orchestre de la Terreur, l'argumentation est directe. Il s'adresse aux

Commentaire comparé. Séquence VIII. Lecture analytique n°5. Commentaire comparé. (1ère L.)   Commentaire comparé de « La mort des Héros, Acte V, scène 3, Roméo et Juliette, 1597, William Shakespeare, et de « La mort de Thérèse et de son époux », Chapitre XXXII, Thérèse Raquin, 1867, Emile Zola.   INTRODUCTION.    ● William Shakespeare (1564-1616), était le troisième de huit enfants. A l'âge de dix-huit ans, il se maria avec Anne Hathaway, fille de cultivateurs, de huit ans son aînée

de l’existence, au risque d’immobilité et de mort que représente la fidélité. Ainsi, le champ lexical de la mort et du sommeil « se lie à demeurer » (l.1), « renonce au monde »(l.2), « s’ensevelir pour toujours »(l.5), « être mort dès sa jeunesse »(l.6), « nous nous endormons dans la tranquillité » (l.35)…ainsi que la métaphore filée (l.4-7) montrent que Don Juan a horreur de l’amour unique et fidèle qu ̉ il assimile à la mort du désir et donc à une mort symbolique. C’est pourquoi la fidélité lui parait