Médée Jean Anouilh

Dossier lecteur La réécriture dans le théâtre du vingtième siècle Antigone de Jean Anouilh Je vais être Antigone Etéocle et polynice Antigone Le mythe antique de la famille des labdacides (une partie): Antigone accompagna son pére Oedipe roi de Thébes en Attique, au bourg de Colone. Après la mort de son père, Antigone revint à Thèbes où étaient restés sa sœur Ismène et ses frères Étéocle et Polynice,pour épouser Hemon, fils de Créon. Les deux frères avaient conclu un accord

Antigone de Jean Anouilh Résumé d’Antigone 2 Écrite en 1942, la pièce fut représentée le 4 février 1944. L'époque : les derniers mois de l'Occupation. Ce fut un très grand succès. Antigone se présente comme formant un tout : pas de division en actes, ni en scènes. L'exposition Au début, le Prologue s'avance vers le public et lui présente tous les personnages. Ils sont tous en scène. Le Prologue les montre, et nous parle de leur caractère et leur rôle. Antigone et sa nourrice La nourrice surprend

Commentaire semi rédigé "le chêne et le Roseau" jean anouilh première S intro: Jean Anouilh a réecrit de nombreuses fables de la fontaine comme le chêne et le Roseau" en 1973. le texte évoque la même histoire mais l'auteur surprend le lecteur en modifiant la morale. on verra comment il reprend la vivacité d'un récit plaisant puis modifie la portée morale de la fable. I. Reprise de la vivacité d'un récit plaisant texte bref, 31 vers centré sur 2 persos facilement identifiables. intriguye

Textes:
Texte A : Sophocle, Antigone, 441 avant J.C. Édition Garnier(traduction Pignarre) 1964 p 80
Texte B : Jean Anouilh, Antigone, 1944 Édition de La Table ronde 1946pp 94-95
Texte C : Henry Bauchau, Antigone, édition Actes Sud 1997 pp 315-316 SÉRIE L 
 Texte A : Sophocle, Antigone (vers 474-511) Créon, qui dirige Thèbes, a édicté un décret interdisant que l’on enterre Folynice, frère d’Antigone et d’Ismène, parce qu’il a porté les armes contre sa cité. Antigone a transgressé cette loi

Le génial Jean Cocteau a revisité le mythe d'Oedipe qu'il a remis à sa sauce... J'ai lu la version de Sophocle et je trouve que la version de Cocteau est très supérieure... surtout le passage avec la rencontre d'Oedipe et du sphinx... à croire que Cocteau a fait des rajouts.. attribués à tort à Sophocle, alors que c'est l'oeuvre de Cocteau. Alors, même si on connait l'histoire, je sollicite nos chers critiqueurs de critiques libres de se plonger dans cette version, ça changera d'Amélie Nothomb..

Jean Anouilh est un écrivain et dramaturge français, né le 23 juin 1910 à Bordeaux (Gironde) et mort le 3 octobre 1987 à Lausanne (Suisse). Son œuvre théâtrale commencée en 1932 est particulièrement abondante et variée : elle est constituée de nombreuses comédies souvent grinçantes et d'œuvres à la tonalité dramatique ou tragique comme sa pièce la plus célèbre, Antigone, réécriture moderne de la pièce de Sophocle. C'est en pleine Occupation allemande qu'est créée Antigone, le 4 février 1944 au théâtre

une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l'ordre établi en faisant la part belle à Créon , ce qui expliquerait, selon eux, que la pièce n'ait pas été censurée par les allemands. Ses défenseurs indiquent au contraire que l'insoumission d'Antigone qui dit non, et s'engage contre la raison d'état, incarnée par Créon, a une réelle valeur subversive  Bien qu'il n'ait officiellement pris position ni pour la Collaboration ni pour la Résistance, Anouilh a écrit par la suite : « L'Antigone de

Ce corpus est constituée de 4 textes. Ce sont tous des textes théâtraux : Phèdre de Racine écrit en 1677, Antigone de Jean Anouilh écrit en 1944, les Mains sales de Sartre écrit en 1947. Le dernier texte n'est pas un texte théâtrale, c'est un extrait de Notes et Contres notes (1966) de Ionesco. Ce texte nous explique que le théâtre permet d'amener le spectateur à reflechir d'un point de vue philosophique ou moral, le théâtre fait une utilisation de la parole peu ordinaire. Elle exprime un conflit

choc et la confrontation entre le légal ou l'Etat/Cité (personnifié par Créon) et le légitime ou individu moral (incarné par Antigone). Pour Jean Anouilh, Antigone incarne la résistance (au propre comme au figuré: Anouilh parle de la résistance française sous le nazisme) face à un Etat illégitime (Créon incarnant l'idée du nazisme qui s'étend en Europe). Anouilh a repris le mythe d'Antigone dans la pièce de Sophocle. Il a gardé l'histoire, la trame dramatique, les personnages avec leurs noms et

lorsqu'il présente les personnages. ex : "là-bas", "au fond", "là, près de son page", "à côté de la nourrice" Il les place par rapport aux autres personnages, et non pas par rapport aux objets. Le décor est donc superficiel dans l'histoire. Jean Anouilh décrit le décor avec peu de mots. ex : "un décor neutre. Trois portes semblables" L'adjectif "neutre" peut être compris de différentes façons : soit les meubles ainsi que les objets sont indispensables à la mise en scène et les murs sont de