Mythomanie

qu'il parle ou sans doute peu après, et c'est alors qu'il a acquis la véritable capacité de parler, l'homme sait mentir. On peut en effet noter qu'il s'écoule en général quelques mois entre les premiers mots d'un enfant et ses premiers mensonges. La mythomanie est, il me semble, un des travers persistants chez les 5-8 ans, et avant il ne fait que transcrire directement en paroles ce qu'il pense ou ressent. Et c'est sûrement un des très grands caps dans le passage vers l'âge adulte; parce que l'enfant

afin d’avoir une vie meilleure. Enfin, le rêve peut engendrer des comportements individuels néfastes. Suite aux rêves, certains individus peuvent en abuser ou se croire dans un autre monde. Un des syndromes qui peut arriver aux individus est la mythomanie, qui est la tendance de prendre ses rêves pour la réalité. Ainsi, leurs comportements sont faux car ils affirment aux autres personnes des faits qu’ils pensent réels alors que ce n’est que de l’imagination. De plus, Inception de Christopher Nolan

dépression 3) Les névroses  Hystérie * Un égocentrisme important ; * Un besoin d’être apprécié de l’entourage qui les conduit à adapter leurs idées et leurs opinions à leur audience afin de mieux les séduire, voire à raconter des histoires (mythomanie) ; * Une exubérance et une grande démonstrativité ; * Une théâtralisation avec dramatisation de toutes les situations : ce sont des personnes qui se "mettent en scène", * Un besoin avide d’affection et de séduction qui conduit à érotiser

imprévisible et saccadée ce qui le mettait en mauvaise posture et le déséquilibrait ; le metteur en scène a voulu nous montrer par cela qu’il interprétait les constants mensonges et invention de matamore comme une sorte d’immaturité et non comme de la mythomanie rendant le personnage plus naïf que fou et égocentrique. Je trouve ainsi que la représentation scénique est intéressante de par la « pré » réflexion sur le texte par le metteur en scène qui nous ouvre les yeux sur une autre vision des choses qui

allant jusqu’au refus de toute nourriture, de troubles de la vue, des hallucinations visuelles répétées. L’hystérique se caractérise par un égocentrisme important ainsi que par un besoin d’être apprécié de l’entourage qui les pousse à mentir (mythomanie) pour ainsi s’adapter aux idées et opinions de leur interlocuteur afin de les séduire. b. Regards des gens sur la maladie avant les découvertes de Freud. L’hystérie touchait plus souvent les femmes, avant Freud, cette maladie était considérée

intellectuelles. (ex. en psychiatrie, un patient lis un livre sur sa maladie, raconte dans le moindre détail. La rationalisation : Elle consiste à se justifier rationnellement à des comportements dont on ignore, on refuse les véritables raisons (ex. mythomanie.) La formation réactionnelle : Elle consiste à dire le contraire de ce qu’on pense réellement. (ex. j’aime les bonbons, on m’a propose mais je dit je n’aime pas.) La conversion psycho-somatique ou somatisation : Elle consiste à transformer

Chap : HYSTERIE DE CONVERSION I. Freud et la clinique de l’hystérie →Hystérie. Perturbation de l’économie pulsionnelle en rapport avec conflits psychiques liés à sphère psychosexuelle sans altération de la réalité. →Personnalité de l’hystérique. Mythomanie, mouvement de séduction/retrait, suggestibilité, théâtralisation, érotisation. →Hystérie de conversion. Symptômes d’allure somatique. Conversion hystérique = mécanisme de défense contre l’angoisse ; déplacement de l’angoisse via fixation sur le

Fr€d€ric, L’amour dure trois ans, Editions Grasset et Fasquelle, Paris, 1997. 4 Ouvrages th•oriques - BERTRAND, Denis, Parler pour convaincre. Rh•torique et discours, Editions Gallimard, Paris, 1999. - COLONNA, Vincent, Autofiction et autres mythomanies litt•raires, Editions Tristram, Auch, 2004. - GASPARINI, Philippe, Est-il Je ?, Editions du Seuil, Paris, 2004. - GENETTE, G€rard, Discours du r•cit, Editions du Seuil, Paris, 2007. - VILAIN, Philippe, D€fense de Narcisse, Editions Grasset et Fasquelle

provisoire dès le moment des faits, en janvier 1993. Au procès, son avocat, Monsieur Jean-Louis Abad avait tenté de plaider l’irresponsabilité, argument écarté par l’examen psychiatrique, « qui a mis en évidence une pathologie narcissique grave avec mythomanie, froideur affective, investissement massif des apparences au détriment de la profondeur ». Depuis, il purge sa peine à la prison de Saint-Maur, dans la banlieue de Châteauroux. La rétention de sureté permet de conserver les criminels qui ont fini

Cependant, il existe une corrélation flagrante entre le comportement décrit par Flaubert et la symptomatologie théorisé dans la DSM III bien des années plus tard. Il paraît signifiant de noter qu’Emma présente les symptômes hystériques suivantes :mythomanies, égocentrisme, dépendance affective, dramatisation, dérèglement émotionnel et recherche constante de l’attention d’autrui. Ainsi l’hystérie d’Emma l’emporte dans le tourbillon de ses tourments la conduisant à une fin s’inscrivant plus dans le grotesque