Mythomanie

2) Problèmes sociaux et physiques Cette dépendance est source de problème sociaux pour certaine personnes. Ainsi on à pu observer, toujours chez les jeunes principalement, des problèmes d'assiduité ou de performance à l'école, une certaine mythomanie sur le temps passé sur internet, et le plus grave lorsque le dépendant est privé d'internet: la dépression. Mais l'usage exagérer d'internet peut aussi avoir des conséquences néfaste pour le corps et la santé. Ainsi chez les cyberdépendants,

d’influence amène souvent à des critiques de mauvaises fois. Sur le plan de la pensée, c’est l’imaginaire et le refus de l’adulte. Cette combinaison va emmener la fuite jusqu’au réelle. L’ado poursuit ses chimères sui peuvent aller jusqu’à la mythomanie. C’est un aspect de l’introvercient, c’est l’âge du journal intime et des secrets. A coté de ce conflit qui l’oppose à la société organisée et au réel l’ado aspire à se former et rêve d’un homme à son image. Il n’atteint pas d’embler les valeurs

interrogatoire policier, voire d'un procès d’assises. Par contre il pourra reconnaître éventuellement un mensonge mineur s’il n'a pas grand chose à y perdre. Mais même l’aveu de ce petit mensonge sera toujours difficile à obtenir de sa part. Mythomanie Le pervers narcissique a souvent une composante mythomane. Elle est liée à sa propension au mensonge - une composante opérationnelle, consciente, pour parvenir plus facilement à ses fins - et à un besoin de se voir mieux qu’il n'est dans la réalité

nous, tout du moins à l’en croire. Sa vie n’était que succession de sports extrêmes, d’entreprises galantes et de premiers prix scientifiques, le tout ponctué d’un refus des honneurs systématique, bien entendu. On en a tous connu des comme ça. La mythomanie, c’est l’aventure en robe de chambre mais généreusement partagée. Georgieu – c’était son nom – était néanmoins attendrissant quand il nous contait ses mérites avec un petit cheveu sur la langue. Un poil d’oignon peut-être ; il avait mauvaise haleine

fondateur de l'Aumisme. Le gourou, bien qu’ayant un QI dans la moyenne voire plus élevé que dans la moyenne, n’en apparaissent pas moins comme souffrant de graves névroses : allant de la mégalomanie en passant par l’autoritarisme forcené et la mythomanie ( s’inventant par exemple des pouvoirs supranormaux, une ascendance extraordinaire – voire se disant le fils de Dieu - ou une œuvre littéraire ou artistique d’une abondance stupéfiante ) pour aller jusqu’au délire de persécution. Mais, il n’y a

de se libérer de ses obsessions, peur être geste ou tte autre conduite que le sujet ne peut s’empêcher de faire, rythmant ainsi sa vie et parasitant tout son domaine relationnel. • Hystérie (malade hyperexpressif mentalement (théâtralisme, mythomanie, catalepsie, hallucinations) et physiquement (syncopes, crises convulsives, états seconds, paralysies…) • Psychasthénie ( (asthénie = faiblesse) fatigue exagérée du physique ou du mental, caractérise sous estimation de sa propre valeur (doute

sujet de se libérer de ses obsessions, peur être geste ou tte autre conduite que le sujet ne peut s’empêcher de faire, rythmant ainsi sa vie et parasitant tout son domaine relationnel.  Hystérie malade hyperexpressif mentalement (théâtralisme, mythomanie, catalepsie, hallucinations) et physiquement (syncopes, crises convulsives, états seconds, paralysies…)  Psychasthénie  (asthénie = faiblesse) fatigue exagérée du physique ou du mental, caractérise sous estimation de sa propre valeur (doute, timidité)

point capital, finit pas croire en partie son mensonge, qu’il est forcé de couper de vérité comme un empoisonneur coupe d’eau au dernier instant la coupe de venin qu’il va boire ou faire boire. C’est alors la mauvaise foi, l’affabulation, et même la mythomanie qui n’est plus loin de la folie, cette déliquescence ultime de la fonction-sujet, le dément étant pour finir celui que plus rien, même pas lui-même ne peut plus démentir (le propre de la folie étant de ne plus distinguer entre le vrai et le faux

aspiration qui sans être l’objet de la conscience réfléchie, incite ou dispose un individu à avoir un certain comportement ou à prendre certaines décisions. La motivation est le principe actif organisateur de la conduite à un niveau inconscient. Mythomanie : tendance pathologique à altérer la vérité et à se livrer à la fabulation. Elle peut être vaniteuse ou maligne ou perverse. Narcissisme : Amour de soi. Au sens large désigne l’intérêt que le sujet porte sur lui même. Normal chez le jeune enfant

dépendance. Plutot neuroleptique a petite dose pour diminuer l'impulsivité. Recours a des antidépresseurs réguliérement. Psychothérapie : de soutien mais systématique. Personnalité psychopatique : Caractère : Dysthymie Troubles caractériels Immaturité Mythomanie Comportement : Perversion sexuelles conduites antisociales (vols, escroqueries,...) Toxicomanie. Traitement : Chimiothérapie : pour réduire l'impulsivité et le passage a l'acte, mais souvent le patient n'est pas compliant. Psychothérapie :Idem