Mythes Antique Revisité

de la conscience et de la raison d'état 3. Triomphe de la conscience L'originalité de l'œuvre d'Anouilh Conclusion Eléments d'introduction Introduction Parmi tous les mythes associés à la ville antique de Thèbes, ce sont les éléments situés entre la naissance d'Oedipe et la mort d'Antigone qui ont de tous temps retenu l'attention des dramaturges. On distingue dans cette strate, mythologique plusieurs épisodes, à savoir: 1. L'exposition

une violence rare les grands sujets politiques - territoire, guerre, filiation – et obscènes –adultère, inceste. Conflits d'identités, de pouvoir, de modèles sociaux et civils : autant d'aspects qui nous poussent à réfléchir sur la « modernité » antique de Phèdre, comme femme, coupable ou victime, puissance ancienne et terrible, maillon faible de guerres dans lesquelles est en jeu le futur générationnel de l'humanité. Un texte et des thèmes souvent relus et re-contextualisés [2] par différents auteurs

mythe d’Œdipe nous donne le thème général de l’intrigue. A la ligne 46, « Thèbes » nous permet de contextualiser l’histoire. Dès lors, la référence à la ligne 4, l’histoire d’Antigone nous permettent de situer l’histoire dans la mythologie grecque antique et les rapportent au cycle des labdacides. Les relations entre les personnages et leurs fonctions : « Ismène, sœur d’Antigone », « Fils de Créon », « La veille dame qui tricote », « Ce garçon pâle », « Les auxiliaires de la justice de Créon ». Cela

le public se pressait aux représentations de la tragédie baroque Pyrame et Thisbé de Théophile de Viau au début du XVIIe siècle, on ne la joue plus guère de nos jours… Le théâtre classique, avec ses tragédies inspirées pour la plupart des mythes antiques, répond à l’idéal esthétique du classicisme et à son goût pour l’Antiquité ; la règle de bienséance n’était pas alors imposée arbitrairement mais correspondait à l’idéal moral de l’honnête homme de l’époque qui voulait au théâtre retrouver sa

(xvie siècle) Historique Ce mouvement littéraire est d’abord nommé la « Brigade »1. Le souci majeur de la Brigade, élevée sous l'égide de l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer le « Monstre Ignorance » par la diffusion de la culture antique. Le nom de « Pléiade » est emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisi, au iiie siècle, le nom de cet amas astronomique pour se distinguer (voir Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.)). À la Renaissance, sept poètes se regroupèrent

jamais devoir tarir. Des sources antiques à la création la plus contemporaine, on peut la suivre, tel un fil rouge frayant son chemin à travers les siècles. Car, même si elle s’est manifestée avec d’autant plus de vigueur que la référence classique dans les arts était forte, dans le contexte de la Renaissance ou du néo-classicisme en particulier, elle ne s’est à vrai dire jamais démentie, même en des périodes où elle est moins attendue. La survivance des dieux antiques au Moyen Âge ou leur présence

Dissertation sur la tragédie. Jean Anouilh fait partie de ces auteurs du XXème siècle qui ont revisité les tragédies antiques pour en proposer des réécritures modernes. Il a ainsi écrit sa version du mythe d’Antigone où il transforme le chœur antique en personnage qui propose à un moment une définition insolite de la tragédie : « (…) c’est reposant, la tragédie ; parce qu’on sait qu’il n’y a plus d’espoir, le sale espoir ; qu’on est pris, qu’on est enfin pris comme un rat, avec le ciel sur son

villes s'affirme de plus en plus et correspond à des logiques de développement et de transformation de l’industrie touristique. Elle peut se voir au travers de la relance des manifestations folkloriques et des fêtes populaires, de l’élaboration de mythes locaux et de la mise en cohérence d’un répertoire de symboles culturels. Ces initiatives, souvent organisées au sein des villes et villages, conduisent à la mise en scène du patrimoine culturel. Dans un autre registre, les festivals internationaux

les autres genres, dénonce leurs conventions, leur forme et leur langage et les réinterprète. Violence faite au roman répond à celle qu’il exerce sur les formes reçues et les modèles établis. Pierre Grimal : le roman emprunte à tous les genres antiques et s’en nourrit librement. De même pour romans chinois et japonais qui sont situés au confluent de ts les genres, trsfrment et déforment pcq le roman contient en lui-même le principe de ttes les déformations possibles, tous ses excès lui appartiennent

et comme l’explique Febvre, ce que l’on reprochait aux prêtres, « ce n’était pas de mal vivre, c’était de mal croire » (Cf. FEBVRE, 1968 : 22) La peur de ne pas aller au Paradis se faisait de plus en plus grande, avec l’apparition marquée des mythes diaboliques, des chasses aux sorcières et autres pratiques peu catholiques. Ainsi l’accès au Paradis se marchandera de plus en plus. Les gens payeront alors de leur vivant pour que leur âme puisse s’échapper du purgatoire et entrer dans le domaine