Mythe Et Poésie

I) Origine de la poésie 1) L'empire grec berceau de la poésie La période du poète commence avec cet immense empire grec où l'on a parlé, mais surtout pensé grec. L'empire s'étendait d'Alexandrie au Bosphore, et de Cyrène à la Sicile. Les côtes de l'Asie mineure ont été, avant Homère, et jusqu'à l'Islam, domaine grec, d'elles nous sont parvenus les plus grands et les plus influents poètes helléniques. Les Dieux y ont été vus à travers l'amour, l'esprit, le désir ou la crainte, dans cette perspective

http://www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=RHLF&ID_NUMPUBLIE=RHLF_011&ID_ARTICLE=RHLF_011_0105 Ophélie : histoire d’un mythe fin de siècle par Anne COUSSEAU | Presses Universitaires de France | Revue d'Histoire Littéraire de la France 2001/1 - Vol. 101 ISSN 0035-2411 | ISBN 978-2-1305-1776-4 | pages 105 à 122 Pour citer cet article : — Cousseau A., Ophélie : histoire d’un mythe fin de siècle, Revue d'Histoire Littéraire de la France 2001/1, Vol. 101, p. 105-122. Distribution électronique Cairn

Jérôme, Baudelaire, Violence et poésie, bibliographie des idées, Paris, Gallimard, 1993. III- Ouvrages sur le mythe et sur l'imaginaire : Albouy Pierre, Mythes et mythologies dans la littérature française, Paris, Armand Colin, 1969. Rééd., Paris, Armand Colin, 2003. Durand, Gilbert, Les structures anthropologiques de l'imaginaire, Paris, Bordas, 1969. Eigeldinger Marc, Mythologie et Intertextualité, Paris, Slatkine, 1987. Eliade Mircea, « Aspect du mythe », Paris, Gallimard, 1963.

Niflheim On peut en plus rajouter Gignungagap qui signifie « le gouffre géant », il s'agit d'un abîme géant permettant de séparer Muspelheim de Niflheim évitant ainsi leur destruction mutuelle et la fin de l'équilibre de l'Yggdrasil. Ymir ou Le Mythe de la création Dans la mythologie nordique, Ymir aussi appelée Aurgelmir, Brimir ainsi que Blàinn, c'est un géant, et la première créature vivante. Au sens métaphorique, Ymir peut être vu comme étant l'univers vierge. Le nom Ymir provient de l'indo-européen

Orphée et Eurydice : le mythe de la descente aux Enfers: Sa femme Eurydice ayant été frappée par la mort le jour même de leur mariage, Orphée décida de descendre aux Enfers pour faire fléchir Hadès (ou Pluton dans la mythologie romaine). Après avoir endormi Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée, et les terribles Euménides grâce à sa musique, il charma le Dieu des Enfers pour que celui-ci libère Eurydice. Hadès le laissa repartir avec sa bien-aimée à condition qu'il

par le mythe. En effet, dès lʼorigine de la littérature, les oeuvres ont la même source dʼinspiration, les mythes, et ne sont de ce fait que des réécritures. La religion était lʼessence même de la littérature. Lʼhomme est fasciné par tous ces mythes car le mythe est éternel, c'est lui qui répond aux questions de la société, il permet de découvrir la nature humaine, il donne des explication sur lʼau-delà, sur nos racines culturelles ainsi que sur des vérités universelles. Revisiter un mythe, c'est

quel récit fabuleux, mais un récit tenu pour vrai, dans un système de croyances déterminées, en apparence opposé au discours rationnel. Le mythe apparaît comme l'expression d'une pensée symbolique, en relation avec la totalité du psychisme humain, l'histoire et les préoccupations communes des hommes : "tout l'humain est engagé dans le mythe" . A l'origine, les mythe et légendes étaient des récits qui devaient absolument être transmis, sans doute parce qu'ils contenaient un savoir ou une vérité ; à travers

Dossier Français : Poésie Lyrique et Romantique. 1) Origine du Lyrisme. Les premières manifestations du lyrisme en Occident remontent à la Grèce antique, aux alentours du VIIe siècle av. J.-C. Premiers auteurs: Théognis de Mégare et Mimnerme de Colophon (lyrisme apparenté à la tradition épique), Archiloque et Sapho (lyrisme plus personnel). La poésie lyrique est souvent définie comme le genre littéraire qui accueille l’expression personnelle des sentiments du poète. L’auteur lyrique parle en

150-155: Comment la correspondance privée des écrivains peut-elle rencontrer l'intérêt d'un public de lecteurs et se constituer en œuvre littéraire ? 3) Asie, L, juin 2002 Nathan-corrigés, analyse p. 41-42, corrigé, p. 48-52 : Dans quelle mesure la poésie vous semble-t-elle particulièrement apte à susciter une remise en question du langage ? 4) Asie, ES-S, juin 2002 (thème : acteur et texte théâtral), Nathan-corrigés, analyse p. 79-80, corrigé, p. 85 : Qu'apporte l'acteur au texte théâtral ? 5) Centres

de légèreté, de futilité. Réputation douteuse. Grand bâtard de la littérature, le plus « lawless » de tous les genres selon Gide. C’est cette imprécision qui en fait le genre « fourre-tout » qui englobe tous les genres : il peut y avoir de la poésie, du théâtre, de l’histoire, des textes de presse, de la philosophie, une théorie de l’écriture (Les Faux-Monnayeurs) dans le roman. Le roman correspond au moment où le monde se trouve privé de référent, où l’homme affronte une solitude ontologique