Mythe Du Bon Sauvage

L'homme et sa condition ont souvent été au cœur des réflexions des philosophes. Rousseau prône le retour à la nature des choses, décrivant l'homme comme naturellement bon et considérant la culture, les conventions, l'éducation comme des barrières à la sincérité des sentiments. Darwin, lui, fait observer que l'homme a besoin d'une période de maturation et qu'il est en ce sens inachevé. Cette dissertation montre que cet inachèvement est en fait le propre de l'être humain. Extrait du document: Tout

c’est grâce à ses trois expéditions dans l'océan Pacifique que James Cook devint célèbre. Avec les expéditions de Cook commençaitune nouvelle ère: celle des spécialistes. Avec lui, fini le temps des philosophesvoyageurs influencés par le mythe du «bon sauvage». Dès sa première expédition, James Cook se fit accompagner d’uneimportante équipe d'artistes (peintres et portraitistes) et de savants (astronomes, naturalistes, botanistes, etc.). James Cook par N Dance-Holland (1776).

Le pastiche permet un effet de distance sur la Cour, qui amène à une critique violente, à une contestation sociale, politique et morale : - un pays lointain, étrange, comme étranger, un vrai monde à part loin du peuple ; - les courtisans : des « sauvage(s) » qui suivent des codes artificiels, « ridicule(s) et parfois choquants. 1)Critique des mœurs : la satire morale     Excès et intempérances : mots et expressions qui marquent l’excès « celui-là est sobre (…) vin » ; « trop » ; « liqueurs

Montaigne notamment « Des cannibales » dans lequel, après avoir rencontré trois cannibales et s’être documenter sur leur comportement, Montaigne livre une réflexion qui annonce le mythe « du bon sauvage » et utilise pour cela l’argumentation direct contrairement à Diderot dans Supplément au voyage de Bougainville qui traite ce mythe grâce à la fiction. Cela nous prouve qu’un sujet peut être traité de deux manières différentes mais néanmoins ces deux textes ont un fort pouvoir de persuasion. Les pamphlets

Opposition Indiens / Espagnols (nature / civilisations (artifices))ConclusionDénonciation de la Conquista avec pillage de biens. Plus largement, critique l’exclusion de l’autre. On assiste, avec le portrait idéalisé de l’Indien, à la naissance du mythe du bon sauvage (fortement repris durant le siècle des Lumières). Ainsi le barbare 

agité par une « extraordinaire effervescence mythologique ». Cependant le mythe politique n’a jamais été étudié en tant que tel. L’auteur tente alors d’élaborer une définition du mythe, de préciser son concept, d’affiner son acception. Cet onirisme se révèle être une valeur explicative du présent, c’est un intermédiaire entre la vérité historique et les phantasmes de sociétés en état de déréliction. A cet égard le mythe est révélateur du malaise et des angoisses de communautés humaines. Il se substitue

................................................................................... page 2 I- Orphée, un mythe antique…………………………………………………………. page 3 a) Qu’est-ce qu’un mythe ? ………………………………………………………………………….. page 3 b) Le mythe d’Orphée dans la littérature antique………………………………………….. page 3 c) L’association d’Orphée à la poésie, au lyrisme………………………………………..... page 4 d) Le renouveau du mythe d’Orphée……………………………………………………………… page 4 II- Orphée à l’époque moderne……………………………………………………….. page 5 a)

vision par touche a pour effet de suggérer : appel à la rêverie pour le lecteur => rêverie stimulante B. Un paysage tropical L’ailleurs (rivages, contrée lointaine, île perdue) Nature innocente non encore corrompue par l’homme > côté sauvage // mythe du bon sauvage : femme innocente (« sa franchise ») Nature riche et féconde (« la nature », « arbres singuliers », « fruits savoureux », « verts tamariniers ») Chaleur : « chaud », « soleil monotone » (île tropicale = il fait toujours beau !), « charmants

1 : Sauver la planète …plutôt que l’humanité ? : pages 14 à 30 Chapitre 2 : Repenser nos modes de production : pages 31 à 39 Chapitre 3 : Un concept impérialiste ? : pages 40 à 61 Chapitre 4 : Durable… pour qui ? : pages 62 à 77 Chapitre 5 : Le mythe du paradis perdu : pages 78 à 96 Chapitre 6 : L’Afrique laboratoire du développement durable ! : pages 97 à 107 Chapitre 7 : Le changement climatique, une « merveilleuse opportunité » : pages 108 à 126 Chapitre 8 : Des peurs infondées : pages 127

d'imposer au constructeur une reprise de son activité si le besoin s'en fait sentir. » Gilbert SIMONDON, Du mode d'existence des objets techniques, 1958, éd. Aubier, p.249–251 La maîtrise pratique : comparaison de l'homme sauvage et de l'homme civilisé « Le corps de l'homme sauvage étant le seul instrument qu'il connaisse, il l'emploie à divers usages, dont, par le défaut d'exercice, les nôtres sont incapables, et c'est notre industrie qui nous ôte la force et l'agilité que la nécessité l'oblige d'acquérir