Mythe De La Femme Fleur De Ronsard

de la femme qui les porte en vous attendant, en causant avec vous, prend une importance exceptionnelle, comme si ce costume avait été le fruit d’une longue délibération et comme si cette conversation se détachait de la vie courante comme une scène de roman?» (III, page 33) - « cette robe de chambre qui sent si mauvais [...] et qui est sombre, duveteuse, tachetée, striée d’or comme une aile de papillon » (III, page 43) ; - celle d’Albertine : son « polo noir » de Balbec, coiffure de femme sans bords

des romani que de guerre ct d'amour, mais on en peut faire aussi qui ne parlent que de procès, de finance ou de marchandise. Il y a de belles aventures dans cc tracas d'aB'aircs ... » FIGURES 1 une correspondance manifeste, qui se désigne en un mythe d'une singulière portée : tous inverses du même, ils sont nécessairement identiques : tous les abimes n'en font qu'un. Mais peut-être aussi ne faut-il lire à travers cet ingénieux système d'antithèses, de renversements et d'analogies qu'un conflit

mariage de Figaro, il doit à son tour se marier : avec Suzanne, une femme de chambre de la comtesse. Suzanne avertit Figaro qu’Almaviva tente de la séduire. Par une succession de péripéties, le voilà persuadé que Suzanne est sur le point de se donner au comte auquel elle a donné rendezvous : Figaro s’apprête à se cacher pour les surprendre. Figaro, seul, se promenant dans l’obscurité, dit du ton le plus sombre : O femme ! femme ! femme ! créature faible et décevante ! … nul animal créé ne peut manquer

Elle renonce à tout ce qui n’est pas spécifiquement poétique: le discours, la narration, l’effusion lyrique, l’esthétique de la représentation et de l’ornementation. Elle va donc essayer de cerner le noyau irréductible qui la constitue. “Je dis une fleur et musicalement s’élève, absente et suave, l’absente de tout bouquet” (Mallarmé). La poésie veut aussi trouver un langage plus proche de la pureté et de la puissance originelle que le langage commun. “Les langues imparfaites en cela que plusieurs

pair (six pieds), l’autre impair (cinq pieds) : c’est ce que l’on appelle le distique élégiaque. ■ Très en vogue à la Renaissance (Ronsard), l’élégie a de nouveau les faveurs de la génération romantique. Ainsi, dans son ensemble, la poésie de Lamartine relève de l’élégie : « Un jour, le temps jaloux, d’une haleine glacée / Fanera tes couleurs comme une fleur passée / Sur ces lits de gazon. / Et sa main flétrira sur tes charmantes lèvres / Ces rapides baisers, hélas ! dont tu me sèvres /

fragmentation (ou la « fêlure », avec une version dynamique : « l’oscillation » irrésolue entre des extrêmes irréconciliables) / 189 La nostalgie du paradis perdu, entre la tendresse du souvenir et les projets évasifs / 201 Coincidentia oppositorum : la femme, ange et démon / 225 Conclusion / 233 7 TROISIÈME PARTIE : …POUR UNE NOUVELLE LECTURE DE BAUDELAIRE 4.0. 4.1. 4.2. 4.3. 4.4. 4.5. 4.6. 4.7. Une phénoménologie de l’imaginaire dans Élévation / 237 Introduction. Motivation du choix / 237 Un poème

 322-323. 49. P. 253. 50. Cl. Pichois, J. Ziegler, Baudelaire, p. 337. 51. Voir Gr. Robb, Baudelaire lecteur de Balzac, ouvr. cité, p. 15, et, cité par Robb p. 270, un intéressant passage de La Femme de trente ans, ainsi que deux lignes d'Honorine, citées par Robb p. 293, n. 761, sur la "mystérieuse fleur de l'Idéal". Ajoutons-y un passage de Louis Lambert (éd. P.-G. Castex, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, t. XI, p. 632), où les "idées" et les "créations" sont comparées à des "fleurs". 52

imaginaire ANALYSE D’IMAGE HISTOIRE DES ARTS Mise en scène de La Double inconstance Mise en scène de Musée haut, musée bas Extrait de Don Giovanni de J. Losey H. de Montherlant, La Mort qui fait le trottoir 26 26 28 28 29 30 31 32 34 Le mythe de Don Juan, du théâtre au cinéma 4 S O M M A I R E Lecture de La Leçon E. Ionesco, Rhinocéros Exercices d’approfondissement 1 Molière, Le Tartuffe 2 E. Labiche, Un chapeau de paille d’Italie 3 Beaumarchais, préface du Mariage de Figaro

convivialité. On peut avoir des regards différents sur ce salon, mais on ne peut ignorer son importance dans l’évolution des mentalités au XVIIe siècle (« L’hôtel de Rambouillet nous offre d’abord le spectacle d’une société qui, sous les auspices d’une femme jeune, belle, spirituelle, de naissance illustre, épouse et mère d’une vertu exemplaire, se distingue par sa pureté, la décence, la délicatesse de ses moeurs, et se sépare de la cour et des gens du monde de la capitale, tous plus ou moins entraînés

la nouvelle. En effet, le narrateur n’emploie que le pronom personnel « elle » dans le premier paragraphe. Son prénom n’est cité que dans la deuxième phrase du deuxième paragraphe. 3- Le lecteur s’attend donc à découvrir l’histoire d’une femme, Angèle, qui vient d’assister à l’enterrement d’un de ses proches. Nous pouvons comprendre cela car c’est elle que les autres viennent embrasser. B - Découvrir les personnages 1- Les personnages cités dans ce début de récit sont : - la