Muses

de Fouquet et dans sa fête. Il trouve suspect que Fouquet ai tant d’argent et le soupçonne même d’avoir profité des caisses de l’Etat. Voila ce qui lui permettra d’évincer Fouquet et de renforcer son autorité sur le royaume. La Chambre des Muses ou chambre de Fouquet, révèle l’étendu richesse de Nicolas Fouquet par son décor luxueux. Les murs sont ornés de miroirs et de tapisseries signes de grand luxe. Cette chambre représente la grandeur de Fouquet de par sa décoration excessive avec l’utilisation

Bellay « les muses de moi comme étrange s'enfuit » , dans le texte de Malherbe « il n'est rien de si beau comme caliste est belle ».On peut le voir également dans les deux autres poèmes , Baudelaire dit « ma pauvre muse » et Appolinaire dit « mon très cher amour » référence a sa muse qu'il aime. Tout cela montre que les poèmes ont despoints communs . Ils ont aussi des différences . Du Bellay nous parle, de la déception que lui a inspiré la ville de Rome. Il parle de ses « Muses » et non pas

Bellay « les muses de moi comme étrange s'enfuit » , dans le texte de Malherbe « il n'est rien de si beau comme caliste est belle ».On peutle voir également dans les deux autres poèmes , Baudelaire dit « ma pauvre muse » et Appolinaire dit « mon très cher amour » référence a sa muse qu'il aime. Tout cela montre que les poèmes ontdespoints communs . Ils ont aussi des différences . Du Bellay nous parle, de la déception que lui a inspiré la ville de Rome. Il parle de ses « Muses » et non pas

commune ? Où sont ces doux plaisirs qu'au soir sous la nuit brune Les Muses me donnaient, alors qu'en liberté Dessus le vert tapis d'un rivage écarté Je les menais danser aux rayons de la Lune ? Maintenant la Fortune est maîtresse de moi, Et mon coeur, qui soulait être maître de soi, Est serf de mille maux et regrets qui m'ennuient. De la postérité je n'ai plus de souci, Cette divine ardeur, je ne l'ai plus aussi, Et les Muses de moi, comme étranges , s'enfuient. (Du Bellay, Les Regrets, 1558)

Britannicus auguste et Hadrien. 2°le salon d'hercule La chambre des muses plus souvent appelée chambre de Fouquet,Ce décor représente le « Triomphe de la Fidélité » , qui fait allusion à la fidélité de Nicolas Fouquet au roi . Huit sublimes muses sont dispatchées dans les quatre coins de la voussure . Au milieu des côtés se trouvent des grandes figures de la noblesse et de la paix, ainsi qu’une victoire des muses sur les satyres. La pièce comprend également une alcôve avec un plafond représentant

Dans la continuité de l’image de l’inspiration poétique, le deuxième quatrain met en avant le tableau allégorique des Muses elles-mêmes métonymie de l’inspiration et qui n’est pas sans évoquer le célèbre tableau d’Andrea Mantegna Le Parnasse. Cette allégorie est mise en valeur par la musicalité d’une longue phrase dont les enjambements rendent compte de la grâce et de l’élan des Muses dansant. A cela s’ajoute des allitérations de sifflantes et de liquides qui renforcent la fluidité.   Mais, comme

Où sont ces doux plaisirs qu'au soir sous la nuit brune Les Muses me donnaient, alors qu'en liberté Dessus le vert tapis d'un rivage écarté Je les menais danser aux rayons de la Lune ? Maintenant la Fortune est maîtresse de moi, Et mon cœur, qui soulait être maître de soi, Est serf de mille maux et regrets qui m'ennuient. De la postérité je n'ai plus de souci, Cette divine ardeur, je ne l'ai plus aussi, Et les Muses de moi, comme étranges, s'enfuient. Plan : I). Structure

un passé révolu. Le dernier groupe nominal, « ces doux plaisirs », est d'ailleurs complété par « que les Muses me donnaient » qui est à l’imparfait ce qui montre le changement dont se plaint le poète à travers le choix des verbes. A la fin du poème le verbe « enfuir » prend alors toute sa portée car il est le dernier mot du poème, il confirme la dépossession. La dernière phrase « Et les Muses de moi, comme étranges, s’enfuient. » est écrite au présent, au moment de l’écriture du poème, ce qui montre

partir des deux tercets, quand son impuissance envers son manque d’inspiration est bien réelle, les vers sont coupés par les virgules en deux ou en trois les hachant donc en rythme binaire et ternaire «cette divine ardeur, je ne l’ai plus aussi, Et les muses de moi, comme étranges, s’enfuient » vers 13 -14 ; et les rimes, tout au long du poème perde de leur richesse, on passe de rimes riches « fortune/commune » dans le premier quatrain, à des rimes suffisantes « brune/lune » pour arriver à des rimes pauvres

théâtre et devient comédienne dans le jeune théâtre. En 1977 sa rencontre avec Francine Lancelot l’amène au style de la Belle-Dance et à son interprétation et à participer à la création de Ris et Danceries. En 1983, elle crée la Compagnie L’Eclat des Muses avec des danseurs et des musiciens - présents en scène -, pour envisager la création à partir des textes de musique, danse et théâtre des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Elle poursuit une recherche tant sur les écrits des maîtres à danser des différentes