Mort De Hyppolyte

PHEDRE ACTE V, SCENE 6 : RECIT DE TERAMENE 20 L’œuvre de Racine, Phèdre crée en 1677 met en scène la tragédie d’un amour impossible entre Phèdre et son beau fils, Hippolyte. Nous nous intéresserons plus particulièrement au passage de la mort de ce dernier racontée par Théramène. Nous allons nous demander comment ce passage produit une puissante émotion. Pour cela nous examinerons les moyens utilisés pour créer un effet de réel ; puis nous allons chercher comment le narrateur emploie le

pose des questions comme " est ce seulement le hasard ? " mais il y répond lui même : on est donc obligés d'être d'accord. Le raisonnement du Coryphée est donc trompeur, pernicieux. D'ailleurs, il est plein d'apories, et de contradictions entre vie et mort, savoir et vouloir, choisir et oublier ... II) Une nouvelle vision de la tragédie et de la fatalité. A. Une nouvelle tragédie où Pauline est responsable. Dans la tragédie antique, les personnages n'avait pas le choix : leur destin était décidé

Résumé: Acte 1: Scène 1: Hyppolyte, étant trop dans le doute, décide de quitter Trézène pour essayer de retrouvé son père Thésée dont il est sans nouvelles. Théramène, le gouverneur d'Hyppolite ayant déjà essayer de rechercher le roi d'Athènes en vain,ne comprends pas ou celui-ci pourrait élargir ses recherches. Hyppolite finit par avoué a son ami qu'il est amoureux d'Aricie, une ennemie du royaume. Théramène comprends alors que le dépars de son gouverneur cache en réalité une fuite.

La pièce se situe a Trézène, ville du Pélopponèse. Phèdre est la femme de Thésée, roi d’athènes. Un jour, Phèdre apprend que son mari est mort. Elle avoue a sa nourrice Oeonone l’amour qu’elle éprouve envers Hippolyte qui est le fils de Thésée et de la reine des Amazones, cet amour est désormais possible puisque le mari de Phèdre Thésée est maintenant mort. Mais Hippolyte lui est amoureux de Aricie, la fille d’un ennemi de Thésée. Phèdre finit par avouer son amour a son beau fils mais celui-ci

cours. Le sujet de rédaction Commentaire composé partiel Introduction – Parties argumentatives – Conclusion Mise en situation de l’extrait Phèdre, épouse du roi Thésée, est prise d’une passion irrépressible pour son beau-fils Hippolyte. Alors que la mort du roi semble de plus en plus certaine, Phèdre, venue s’entretenir avec Hippolyte afin qu’il n’écarte pas son fils d’une éventuelle succession au trône, se met plutôt, par un glissement psychologique involontaire, à lui livrer avec horreur ses sentiments

scènes 9 et 10 Matamore, Clindor ; puis, Isabelle. 56 min 06 s : scène 11 Géronte, Adraste, Matamore, Clindor, Isabelle, Lyse et les domestiques. 57 min 06 s : scène 12 Alcandre, Pridamant. (Intermède). Acte IV (Clindor, mis en prison, est condamné à mort. Lyse organise sa fuite ; il peut fuir. Isabelle s’enfuit avec lui.) 58 min 39 s : scène 1 Isabelle. 1 h 04 min 48 s : scènes 2 et 3 Isabelle, Lyse ; puis, Lyse, seule. 1 h 05 min 42 s : scène 4 Matamore, Isabelle, Lyse. 1 h 08 min 16 s : scènes 5

que ça devrait être le contraire chronologiquement. Phèdre change très rapidement de rôle, de prêtresse à marâtre, pour l’éloigner. C’est ce qui fait le charme du personnage, sa caractéristique principale, charme qui malheureusement ne touche pas Hyppolyte. Elle ne parvient pas à l’oublier, inconsciemment elle s’accroche à tout ce qui par un simple détail lui fait penser à Hyppolite. Phèdre nous fait alors croire à un répit, « je respirais » marque une pause dans l’aveu, une pause dans la cruelle

repose au nom de la raison et de l’ordre ils respectent la règle des trois unités (action, temps, lieu), de la vraisemblance et de la bienséance.Ensuite, la passion destructrice de Phèdre traduit une situation tragique. En effet le champ lexical de la mort avec « mourant » l41, « fatale » l32, « saigné » l36, « crime » l39 et « blessure » l36 nous renvoie à un amour destructeur, maladif puisque Phèdre tombe amoureuse de son beau-fils. L’aveu même de Phèdre a un effet tragique. En effet, la honte est

même décidée à mourir. Toutefois, on annonce la mort de Thésée, et Oenone, sa confidente, la presse à avouer son amour pour Hippolyte. Selon Aristote, un évènement doit avoir lieu dans la tragédie. Et cet évènement doit procurer à la fois la terreur chez le spectateur mais aussi la pitié pour le personnage victime de cet évènement. Ici, ils sont deux à être victimes : Phèdre à la fois coupable mais innocente car dominée par la fatalité mais aussi Hyppolyte, victime de cet amour incestueux. Lecture

textes complets au contraire des jésuites qui s’attachaient au latin et qui formaient les caractères par des extraits soigneusement choisis). Il dévore les tragédies d’Euripide (poète tragique grec né à Salamine en 480 acn et mort à pella en 406, auteur de Médée, Hyppolyte, Andromaque, Iphigénie en Tauride et Hélène, où les analyses psychologiques sont importantes). Venu à Paris pour terminer ses études, il fréquente de plus joyeuses sociétés et malgré les reproches de ses anciens maîtres qui voudraient