Morne-à-l'Eau

"Le Rhin" de Victor Hugo. Idéal pour les révisions, ou pour l'élaboration d'un commentaire composé rédigé sur le texte. Texte étudié: Voici ce que j'avais devant moi. A mes pieds, le Rhin courant et se hâtant dans les broussailles avec un murmure rauque et furieux, comme s'il échappait d'un mauvais pas ; à droite et à gauche, des montagnes ou plutôt de grosses masses d' obscurité perdant leur sommet dans les nuées d' un ciel sombre piqué çà et là de quelques étoiles ; au fond, pour horizon

en repensant à des moments malheureux sur un fond de musique mélancolique, tu es rentré, tu as écris une vingtaine de lignes et ton chef d’ouvre est resté inachevé. Alors la volonté d’écrire est toujours guidée par un sentiment fort ? écrire ses peines, ses joies, nos sentiments guidant notre main, rare sont ceux qui décrivent la monotonie, cela intéresserais qui ? A part un journal intime… Bref, je m’éloigne je me devais d’écrire car j’ai aussi passé une semaine de merde, pourtant à première vue

Lecture analytique : L'Assommoir, chap. 2 : l’alambic De « Et elle se leva… » à « … me fait froid. » Introduction : Abandonnée avec ses deux enfants par son compagnon Auguste Lantier (tanneur), Gervaise a rencontré Coupeau, ouvrier zingueur, dans un cabaret nommé " L'Assommoir " (quartier de la Goutte-d'Or). Dans cet extrait du chapitre II, ils prennent une " prune " à l'eau-de-vie. Tous deux ont souffert jadis de l'alcoolisme : le père de Gervaise battait sa mère, quand il avait trop bu. Le

moment de la description. Zola et Maupassant utilisent la focalisation interne. Ainsi le lecteur semble voir la scène à travers les yeux des personnages romanesques Jeanne et Gervaise. Dans l’assommoir, Paris est présentée comme une ville morne, sale, lugubre. L’auteur nous donne à voir le paysage a travers les sens de Gervaise : l’odorat « puanteur », puis la vue « regardait à droite » « apercevait » « levait les yeux » et enfin l’ouïe « les cris ». Chaque détail rappelle sa peur de la mort

pour la personnalité de l'auteur que j'apprécie, c'est-à-dire un homme de lettre avec beaucoup de talent qui n'aura été compris que par une minorité de personnes (à l'image de la censure quasi-systématique a laquelle il est confrontés), et qui, comme le laisse entendre sa désignation de « Poète Maudit » aura toujours été pessimiste et désavoué durant sa vie. Ensuite, ce choix s'explique par l'admiration que j'ai face à la facilité qu'à Baudelaire à exprimer dans ses poèmes soit l'extase de la vie, soit

Voyage • Eléments pour une Introduction : ♦ Rappeler le scandale des Fleurs du Mal à leur parution en 1857, même année que Madame Bovary de Flaubert. ♦ Raisons que l’on peut retrouver à l’intérieur de ce poème : ♦ Composition classique du sonnet : deux quatrains, deux tercets. ♦ Structure régulière et traditionnelle qui aborde un sujet plus ou moins tabou : les bohémiens, individus réprouvés ou du moins tenus à distance par la société bourgeoise du XIXème siècle. ♦ Baudelaire fait ici en sorte

cordonnier, a reussi a echaper a cette catastrophe naturelle grace en partie a sa maison protegé legerement par la topographie environnante mais en ressort extremement blessé. Le celebre louis auguste cyparis agé de 27 ans etait travailleur du precheur, a la fois cultivateur et marin. Suite a une prise de querelle avec l'un de ses camarades dans un bar lors d'une partie de plaisir il le blessa d'un coup de coutelas. Apres cela il fut arreté et condamné a un mois de geole. Sa peine arrivait a sa fin lorsqu'on

également son œuvre la plus emblématique. L'artiste a d'ailleurs réalisé l'île des Morts en 5 versions différentes et à plusieurs années d'intervalles. Böcklin était en train de travailler sur la première version de son tableau quand une jeune fiancée du nom de Marie Berna-Christ lui commanda un tableau propice à la rêverie et qui pouvait lui permettre de faire le deuil de son ancien mari décédé en 1865. Il créa donc une seconde version (ci-dessus) et ajouta à la demande de la commanditaire un cercueil

A Virgile Ô Virgile ! ô poète ! ô mon maître divin ! Viens, quittons cette ville au cri sinistre et vain, Qui, géante, et jamais ne fermant la paupière, Presse un flot écumant entre ses flancs de pierre, Lutèce, si petite au temps de tes Césars, Et qui jette aujourd'hui, cité pleine de chars, Sous le nom éclatant dont le monde la nomme, Plus de clarté qu'Athène et plus de bruit que Rome. Pour toi qui dans les bois fais, comme l'eau des cieux, Tomber de feuille en feuille un vers mystérieux

des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ! Combien ont disparu, dure et triste fortune, Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, 5 Sous l'aveugle Océan à jamais enfouis! Combien de patrons morts avec leurs équipages! L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages, Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots. Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée. 10 Chaque vague, en passant, d'un butin s'est chargée : L'une a saisi l'esquif, l'autre les matelots