Monothéisme Et Polythéisme Freud

En effet l’ignorance et le manque d’éducation font le lit des guerres de religion où les fidèles d’une religion croit être les ennemis de l’autre. En outre il existe des fondements, des croyances et des figures saintes, communs au trois grands monothéisme: judaïsme, christianisme, islam: Dieu unique, créateur, les idées de paradis et d’enfer et un certain nombre de figures saintes comme Abraham, Moïse etc… mais aussi la morale car c’est trois religion sont des religions éthique selon la formule de

divinité. Ces conceptions sont multiples, il en existe principalement trois : - l’Animisme : la plus ancienne religion de l’humanité, religion des esprits, religion chamanique. - Polythéisme :un groupe structuré de divinités : Egypte, Chaldée, Grèce,Rome, Amérique centrale, etc. - Monothéisme : Dieu unique : Judaisme , Christianisme, Islam. On peut remarquer ici que la puissance des Dieux est fonction de leur nombre, un lien et une évolution entre ces trois formes est concevable :

religion pour l’homme, ce qui nous permettra de voir si elle lui est absolument nécessaire. La religion a, au cours du temps, subi une évolution constituée de trois phases : d’abord réalisée dans l’animisme, avant de se transformer en polythéisme et de trouver son achèvement dans les religions monothéistes. Ces variations montrent bien que les questions que la croyance permet de résoudre ont toujours existé, même si les réponses apportées étaient de natures et d’orientations différentes

respect dû aux ancêtres (Généalogie de la morale, II, § 19). La conscience d’une dette envers les ancêtres, qui sont à l’origine du groupe, serait le premier germe de toute religion. Plus généralement, il est très clair, pour Nietzsche comme pour Freud, que la religion est un discours qui exprime l’« instinct du troupeau » : étant essentiellement morale, elle est essentiellement sociale. 2. Le profane et le sacré Cette « force » du groupe, continue Durkheim, s’incarne (s’objective) ensuite dans

Du Dieu national au Dieu exclusif[modifier | modifier le code] Quand un monothéisme accepte la coexistence avec le polythéisme ou conçoit sa divinité « nationale »27,46 comme simplement « supérieure » à d'autres, on parle plutôt de « monolâtrie » ou d'« hénothéisme »47, termes de création récente27. Dans le judaïsme antique, si un premier yahvisme monôlatrique remonte probablement à la sortie d'Égypte, on ignore comment le dieu Yahvé devient précisément le dieu national des deux royaumes de Juda

LES APPORTS DU JUDAÏSME, DU CHRISTIANISME ET DE L’ISLAM A LA PENSEE OCCIDENTALE 1ERE PARTIE • LE MONOTHEISME DU JUDAÏSME AU CHRISTIANISME INTRODUCTION GENERALE 1 • LA BIBLE 1.1 • LE Livre ! • la Bible est le livre le plus diffusé dans le monde, le plus traduit, le premier sorti des presses de Gutenberg. • la Bible désigne l’ensemble du corpus des textes religieux judéo-chrétiens, c’est-à-dire le regroupement de textes sacrés du judaïsme et du christianisme, en un seul Livre. • le mot “Bible”

convient d’interroger le fait religieux comme un fait humain fondamental. Le fait religieux et la croyance traversent à peu près toutes les sociétés humaines, des sociétés primitives aux sociétés dites avancées. Il peut s’exprimer dans un monothéisme comme dans un polythéisme voire par une attitude religieuse dénuée de toute référence à une quelconque transcendance. En effet, certaines attitudes relatives notamment à la nation (hymne, drapeau, commémorations) peuvent rappeler l’attitude religieuse. Historiquement

trois phases de l’existence : apparition, évolution, destruction (ou transformation) ; ou naissance, croissance, mort ; ou encore, selon la tradition et l’astrologie : évolution, culmination, involution. Quant aux psychanalystes, ils voient avec Freud un symbole sexuel dans le nombre trois lorsqu'on évoque le rôle de la famille à travers le Père, la Mère et l’Enfant . 3 est alors la manifestation, le révélateur, l’indicateur des deux premiers : l’enfant révèle ainsi son père et sa mère. Ne

actuel des connaissances scientifiques, on doit bien reconnaître que le continent africain a vu naître les premiers hommes, les premières grandes civilisations, les premières sciences ainsi que les premières croyances religieuses allant du polythéisme au monothéisme. Afrique : berceau de l'humanité « L'homme anatomiquement moderne s'est développé il y a un peu plus de 100 000 ans en Afrique subsaharienne, à partir d'une lignée évolutive facile à suivre. Cet homme moderne s'est répandu dans le

présupposent que les choses puissent sanctionner ou favoriser nos désirs en fonction de nos actes. Le deuxième moment de l’état théologique est le polythéisme – croyances en l’existence de plusieurs êtres doués de volonté mais séparés des choses (ibid., §5). Le troisième est le monothéisme (ibid., §6). De la décomposition sous la pression des faits du monothéisme, dernier stade de l’état théologique, l’esprit atteint le second, celui de la métaphysique (ibid., §9) où l’esprit prétend tout expliquer avec