Monodie

Boudet et J.P. Lebrun ont recensé en 1986 1 739 espèces spontanées ligneuses, appartenant à 155 familles différentes. Huit espèces sont endémiques au Mali : Maerua de waillyi, Elatine fauquei,Pteleopsis habeensis, Hibiscus pseudohirtus, Acridocarpus monodii, Gilletiodendron glandulosum, Brachystelma medusanthemum et Pandanus raynalii7. Plusieurs arbres sont typiques de la végétation malienne, parmi lesquels on peut citer le baobab, le karité, le Néré, letamarinier, le rônier ou le balazan. La faune malienne

une période de recherche. Le rythme se précise. L'éveil de la conscience harmonique amène l'acceptation de la tierce comme consonnance. On remplace successivement les différentes voix par des instruments, c'est ainsi qu'on assiste au début de la monodie accompagnée. Comme pour l'Ars Antiqua, le motet demeure la forme de prédilection par laquelle arrivent les innovations de l'Ars Nova. Philippe de Vitry (1291- 1361) et l'Ars Nova. Philippe de Vitry est connu comme théoricien, il a eu le génie d’inventer

possibilités. Ainsi non seulement le chœur joue un rôle important dans ses pièces mais il aussi étendu le lyrisme du chœur aux personnages : les personnages chantent dans le théâtre d’Euripide. Il est friand de la monodie (cf. Eschyle dans les Grenouilles : « toi qui collectionnes les monodies crétoises ») qui est le chant d’un personnage seul (de monos et ôde), du kommos (qui est le chant de lamentation entre le chœur et un (ou deux) acteur, intégré au dialogue), et des chants alternés ou amébées

musique aussi variée que celle de Jacopo Peri, François Couperin et J.S. Bach pouvait être regroupée, de façon sensée, sous une même appellation. L’opéra nait durant l’époque baroque à l’écart de l’expérience de Florentine Camerata, les créateurs de la monodie, qui tentèrent de recréer les théâtres des arts de la Grèce antique. Effectivement, c’est exactement l’événement qui est souvent présenté comme le début de la musique baroque vers 1600. Romantisme baroque Le Romantisme Baroque est un mouvement

s’intéresse aux accords desquels naît la mélodie. Celle-ci sera enrichie à l’aide d’ornements, d’une expressivité qui s’accroît et de la division entre l’orchestre et la basse continue. A la fin de la Renaissance, la polyphonie cède sa place à la monodie accompagnée. La mélodie gagne en importance et le musicien doit alors concevoir lui-même les accords à l’aide d’une simple basse écrite. On donna le nom de « basse continue» à cet accompagnement instrumental, en partie dû à sa présence ininterrompue

qui va aller jusqu'aux divinités, ce sont les tambours. L'harmonie n'existe pas, ce qui est le cas aussi dans la musique arabe (Cf. musiques classiques égyptiennes, tous les instruments, même s'ils sont 40, jouent la même ligne mélodique) : une monodie absolue, on ne superpose pas des sons distincts → On est loin des conceptions européennes de la musique, loin des conceptions qu'ont les maîtres de ces esclaves. Les points de convergence : les musiques acceptées par les pèlerins qui

contrepoint, jugé trop artificiel et irrationnel (on ne le retrouve pas dans la nature). On va retrouver la théorie de l’éthos car la musique peut exprimer les passions humaines (mais il faut l’accorder avec les paroles). 2 concepts émergent : la monodie accompagnée (naturelle, la nature accompagne les sons) / contre la polyphonie (plaisir des sens mais irrationnel). Au début du 17ème, la musique instrumentale va se développer, mais on n’en parle pas, car pas de texte donc pas de sens (problème pour

aussi variée que celle de Jacopo Peri, François Couperin et J.S. Bach pouvait être regroupée, de façon sensée, sous une même appellation. L’opéra nait durant l’époque baroque à l’écart de l’expérience de Florentine Camerata, les créateurs de la monodie, qui tentèrent de recréer les théâtres des arts de la Grèce antique. Effectivement, c’est exactement l’événement qui est souvent présenté comme le début de la musique baroque vers 1600.

couplets séparées par un refrain puis un briolage. Chaque couplet est de même structure : deux alexandrins non mesuré puis deux octosyllabes pulsés, à une voix sur le bourdon. Le refrain arrive ensuite en polyphonie (selon Evelyne Girardon la poly-monodie). Le contrepoint à quatre voies fonctionne deux voix par deux voix, les deux plus graves à la quarte (côté modal) et les deux plus aigues à la tierce. Le « rantanplan » évoque le roulement de tambour qui annonce la bonne nouvelle du mois de mai

musique n’est plus seulement une activité, elle devient une façon de s’exprimer, de transmettre des messages, à part entière. Les compositeurs de la Renaissance s’inspirent des textes antiques, et plus précisément de la musique grecque. la Monodie qui est un passage lyrique chanté par un personnage, peut être considérée comme une rupture, et donc comme une résurrection de l’Antiquité à la Renaissance Ils les modernisent tout en inventant un style nouveau