Monocle

fondées sur des visions angoissantes et pécimiste. b) description détaillée Cette œuvre caricature les »piliers de la société ». Le personnage en bas a droite représente l’élite intellectuelle, le bourgeois militariste et revanchard. Il porte un monocle et a une cicatrice sur la joue, ce qui prouve qu’il fait partit d’une corporation d’étudiants, le svastika sur sa cravate démontre qu’il appartient au parti nazi. Dans son crane vide on peut constater un cavalier, rappelant l’idéale prussien, ajouté

carreaux rouge et noir courte, mais avec des manches longues et un col roulé, un de ses bas tombant légèrement, elle est maquillée et coiffée à la mode des années 20-30 (fond de teint blanc, rouge à lèvres vif et coupe à la garçonne). Elle porte un monocle, mais pas de corset, contrairement aux usages de l'époque.Esthétiquement parlant, cette œuvre se rattache au mouvement de la Nouvelle Objectivité : Sylvia Von Harden est peinte telle qu’elle est, Otto Dix a presque « accentué » ses défauts (cernes

Louis Gassion et Annetta Maillard ont eu un second enfant, Herbert Gassion, né le 31 août 1918 à Marseille. À propos de sa mère, Herbert a dit : « Une grande artiste, mais qui n'a pas su forcer sa chance… Elle a chanté au Chat noir, au Mikado, au Monocle… », puis part à la dérive « la dérive, le mot est gentil… »16, et Arletty raconte : « c'était pas la mère qui avait la voix de la fille, c'était la fille qui avait la voix de la mère »17.

sourcils épilés et redessinés. Elle se pare de tailleurs, voire de pantalons, de chapeaux et fume la cigarette à l'aide du fameux porte-cigarette. Le sautoir est également l'accessoire incontournable de l'époque. Il peut lui arriver de porter le monocle et même la canne. Les silhouettes sont longilignes, élancées, la poitrine s’efface, les jupes raccourcissent et les robes sont droites. Le soir, la fête est de mise, et les femmes adoptent alors le style Charleston, subtil mélange de dentelles

bouc, moustaches épaisses, fines, frisées, collier de barbe, duvet, pattes, favoris,…). o Regard ( œil mort, borgne, aveugle, strabisme, chassieux, fuyant, doux, émouvant, farouche, yeux globuleux, larmoyant, triste, sourcils tombants, vif, Monocle, lunettes, regard éteint, absent, fatigué, désabusé, sourcils épais, sourcils broussailleux, sourcils fins, sourcils montants, œil au beurre noir, arcade sourcilière ouverte, orbites creusées,… 3. Les membres : o Les épaules (larges, étroites

monde grâce à l’automobile et l’avion, aiment les activités de plein air pratiquées par des femmes qui n’ont plus peur d’avoir le teint hâlé. Figure emblématique, la "garçonne" porte des tenues et des accessoires masculins (chapeau melon, cravate, monocle...) le jour, et des vêtements ultra-féminins la nuit. Une vitrine est consacrée à cette femme jeune, à la silhouette androgyne et aux moeurs libres qui préfigure la femme moderne. L’exposition met en lumière le contraste entre la garde-robe du soir

champ lexical de la guerre et mutilation, hôpital, panique font partie de son réseau lexical. Le champ lexical et le réseau lexical sont repérables dans les métaphores filées. Ainsi, dans ce passage, Proust file la métaphore guerrière : [Le] monocle du général, resté entre ses paupières comme un éclat d’obus dans sa figure vulgaire, balafrée et triomphale, au milieu du front qu’il éborgnait comme l’œil unique du cyclope, apparut à Swann comme une blessure monstrueuse qu’il pouvait être glorieux

saillants, gros, petits, injectés de sang, exorbités, globuleux, vitreux, qui louchent, pétillants de malice, gais, tristes, brillants, flamboyants, vifs, larmoyants, glauques, fardés, Autour des yeux : lunettes rondes, de soleil, ...lorgnons, monocle, lentilles de contact, cils longs, noirs, ... sourcils épais, minces, ... Le nez : long, en trompette, tordu, retroussé, poilu, crochu, large, cassé, proéminent, gros, petit, aplati, écrasé, rouge, Les oreilles : pointues, poilues, décollées

on défini le méchant : ceux qui le font le mieux ce sont les comédies (Charly Chaplin). Caricature : moustache, uniforme, gestuelle et discours brutal, message antisémite. L’image des allemands qui sont brutaux, tous la même apparence, ils ont un monocle, ils parlent anglais avec un accent germanique (on hésite pas à embaucher des allemands qui ont fuit l’Allemagne nazie et qui savent parler anglais). Noirci aussi les japonais. Propagande F. Capra. Ensuite, on utilise des stars pour encourager à

passe dans un bar car l'un des personnage tient un verre à la main. • Les différents plans. Cette œuvre contient 6 plans Premier plan : C'est le plus grand homme (le plus important) tenant un sabre et un verre à moitié remplie, il possède un monocle. Il porte un blouson kaki et une cravate bleu avec la croix gammée dessus. Il a une cicatrice à la joue et la tête coupé. Second plan:On suppose que c'est un journaliste il tien une plume et des journaux taché de sang. Sa tête est comme recollé