Monocle

Dans ce tableau de 1926, Grosz dénonce les « piliers de la société » que constituent l'élite intellectuelle, le bourgeois militariste et revanchard ? le personnage au monocle, avec la cicatrice sur la joue qui démontre qu'il fait partie d'une corporation d'étudiants1, qui a un sabre à la main et la croix gammée sur la cravate. Un cavalier, rappelant les joutes médiévales et l'idéal militaire prussien, surgit de son crane vide ? il rêve du temps où les militaires faisaient partie de l'élite de la

1925. À Hanovre, il publie divers papiers sous cette signature dans des journaux et hebdomadaires. Le 14 octobre 1925, il épouse Ilse Jutta Jeanne Zambona (née le 15 août 1901 à Hildesheim et morte en 1975). Il s'habille alors avec élégance, porte monocle et rêve de s'intégrer dans la société bourgeoise. En 1926, il achète le titre de Baron de Buchenwald pour 500 Reichsmarks à un noble ruiné, Hugo von Buchenwald, qui l'adopte afin de lui transmettre le titre[2].

devient de plus en plus soutenu et les femmes prennent soin de leur apparence. Certaines femmes prennent l’habit masculin entièrement : chemise, haut de forme, boutons de manchettes, nœud papillon ou cravate et même jusqu’aux accessoires comme le monocle, le fume-cigarette ou la canne. C’est la célèbre créatrice de mode, Gabrielle Chanel, plus connu sous le nom de « Coco Chanel » qui est à l’origine de cette nouvelle mode, elle diffuse un nouveau look à la garçonne et crée le blazer pour femmes

doreur sur cuir. Il fut tué à Bus. Robert était quelqu'un de très excité. Il était fasciné par la poitrine de sa sœur. Il trouva la mort en Angleterre. Ségouana était son ami, il était érotomane. Il avait le teint plombé, l'œil vague, portant un monocle du côté droit, au sourire figé. C'était un jeune vieillard de vingt-cinq ans, le meilleur fusil de la compagnie, malgré ses tics et ses manies incessantes. Il était plein aux as et était amoureux de la sœur de son ami Robert. Il fut tué à la ferme

Dans ce tableau de 1926, Grosz dénonce les « piliers de la société » que constituent l 'élite intellectuelle , le bourgeois militariste et revanchard  le personnage au monocle, avec la cicatrice sur la joue qui démontre qu'il fait partie d'une corporation d'étudiants 1 , qui a un sabre à la main et la croix gammée sur la cravate . U n cavalier , rappelant les joutes médiévales et l'idéal militaire prussien , surgit de son c rane vide  il rêve du temps où les militaires

toile s’appel «La journaliste Sylvia von Harden» et représente donc, une femme -assise à une table de bar au coin d’une pièce rouge- représentative des années 20, habillée d’une robe style écossaise rouge, fumant une cigarette, buvant, portant un monocle et de surcroits ayant les cheveux courts. C’est presque la «caricature» de la garçonne libérée que Dix représente ici, mais il l’a peint laide, l’a caricaturise (comme son model caricaturé de la femme des années folles): un corps trop grand, une

......................................................................................... 11 V - TRIER LES DONNEES D'UNE REQUETE.........................................................................................................11 V-A - Tri monoclé................................................................................................................................................. 11 V-B - Tri multi-clés..............................................................................

écouté au garde-à-vous, ce discours, en regardant les arbres d’un genre qu’on n’avait jamais vu, les oiseaux dans ces arbres commençant de s’accorder, s’apprêtant à sonner la fin du jour. Ce capitaine, nommé Vayssière, était un jeune homme chétif à monocle, curieusement rouge et doté d’une voix molle, qu’Anthime n’avait jamais vu et dont la morphologie laissait mal distinguer d’où et comment avait pu naître et se développer, chez lui, une vocation combative. Vous reviendrez tous à la maison, a notamment

s’affranchi des dogmes de l’esthétisme tout comme ces femmes des années 30 qui se libèrent peu à peu des mœurs de leur époque. Sylvia Von Harden est une journaliste allemande et une figure emblématique pour Otto Dix, avec sa coiffure à la garçonne, son monocle et ses cigarettes, car tels sont les attributs des femmes émancipées aussi appelées les « Garçonnes » que l'on peut voir attablées au célèbre Romanischen Café, point de rendez-vous des intellectuels et des artistes de Berlin dans l'entre-deux-guerres

la Concorde. Nous rentrions de souper après le spectacle. Nijinsky boudait, à son habitude. Il marchait devant nous. Diaghilev s'amusait de mes ridicules. Comme je l'interrogeais sur sa réserve (j'étais habitué aux éloges), il s'arrêta, ajusta son monocle et me dit : « Etonne-moi » ». Cette discussion sert de révélateur : Cocteau décide alors d'arrêter son existence superficielle : « Cette phrase me sauva d'une carrière de brio. Je devinai vite qu'on n'étonne pas un Diaghilev. De cette minute, je