Monocle

Les piliers de la société. Un personnage attire notre regard, au premier plan. De part la perspective, c’est le plus grand personnage (plus important). Il possède un monocle, il a une cicatrice sur la joue, un sabre à la main et porte la croix gammée. La cicatrice et le sabre montrent qu’il faisait partie d’une corporation d’étudiants : on y montrait son honneur en se battant au sabre. De son crâne coupé surgit un cavalier, rappelant les joutes médiévales, donc ce personnage rêve de l’honneur

 Ce que je vois, lis ou entends Cette toile s’appelle « La journaliste Sylvia Von Harden », assise a une table de bar au coin d’une pièce rouge, habillée d’une robe style écossaise rouge, fumant une cigarette, buvant, portant un monocle, mâchoire chevaline et ayant les cheveux court (coupe de cheveux très masculine). Une dentition trop visible du visage, un corps trop grand, un nez presque crochu… La toile est dans les tons rouges, la table en marbre et les parties découvertes de cette femme

des bourgeois qui font allusion aux congés payés obtenus par les ouvriers qu’ils méprisent d’où les termes « salopards » ou de « bolcheviks » prononcés à leur égard. Ils appartiennent à la grande bourgeoisie. Le porte-cigarette de l'homme, son monocle, les lunettes de la femme, ainsi que l'emploi du vouvoiement soulignent la position sociale de ces deux personnages. La dame au premier plan qualifie de « bolcheviks » les baigneurs qui représentent les masses populaires. Ils bénéficient de leurs

le blazer dans sa collection de 1926 ; la robe d'intérieur est remplacée par un pantalon fluide et ample, le pyjama. Certaines femmes endossent même l'habit masculin6 - avec cravate ou nœud papillon, boutons de manchette, chapeau melon, canne et monocle — incarnant ainsi une garçonne subversive et tapageuse, féministe, parfois lesbienne, dont Georgel fait la caricature dans sa chanson La Garçonne en 1923. Le terme garçonne qualifie un courant de mode du xxe siècle qui s'est manifesté pendant les

soldat de profil. Ce soldat à l’air d’être un haut gradé , au passage cette tenue qui n’est pas celle de combat, a été désigné et proposé par Hugo Ferdinand Boss, le dirigeant et fondateur de l’entreprise de mode du même nom. On peut voir dans le monocle du général un pendu. L’affiche fait un mélange de couleur sombre et claire (du vert foncé, du rouge, du jaune, du beige, du gris claire et du noir) Cette affiche pour nous use de l’humour noir, parce qu’il se moque du général qui voit un pendu devant

Chanel introduit le blazer dans sa collection; la robe d'intérieur est remplacée par un pantalon fluide et ample, le pyjama. Certaines femmes andossent même l'habit masculin -avec cravate ou noeud papillon, bouton de manchette, chapeau melon, canne et monocle- incarnant ainsi une garçonne subversive et tapageuse, féministe, parfois lesbienne. Des vêtements spécialement conçus pour le sport apparaissent, le maillot de bain en particulier.

qui voulaient contester la société). C’est une œuvre abstraite qu’on peut aussi qualifier de caricature. Unpersonnage attire notre regard, au premier plan. De part la perspective, c’est le plus grand personnage (plus important). Il possède un monocle, il a une cicatrice sur la joue, un sabre à la main etporte la croix gammée. La cicatrice et le sabre montrent qu’il faisait partie d’une corporation d’étudiants : on y montrait son honneur en se battant au sabre. De son crâne coupé surgit un cavalier

de Caldas de Montbuy, Barceló excipait d’une loin- taine parenté avec lord Byron. Peut-être dans le but de faire res- sortir ce lien, il était toujours habillé à la manière d’un dandy du xixe siècle, portant foulard, souliers vernis blancs et un monocle parfaitement inutile dont les mauvaises langues disaient qu’il ne le quittait jamais, même dans l’intimité des cabinets. En réalité, la seule parenté dont il pouvait se targuer était celle de son géniteur, un industriel qui s’était enrichi par

représente la machine de guerre qu'est devenu le IIIeme Reich -Tout en bas on peux distinguer des ouvriers fabriquant des obus pour l'armée allemande. -Au milieux des autres personnages on peux distinguer un banquier vêtu de son chapeau et d'un monocle, un juge avec le symbole du Mark, la monnaie allemande, qui indique que beaucoup d'entre eux était corrompus. Et enfin des personnes liés plus ou moins a l'armée comme le SS et le prisonnier qui a la bouche en croix, elle représente la censure et

voulaient contester la société). C’est une œuvre abstraite qu’on peut aussi qualifier de caricature.   Un personnage attire notre regard,   au premier plan. De part la perspective, c’est le plus grand personnage (plus important). Il possède un monocle, il a une cicatrice sur la joue, un sabre à la main et porte la croix gammée. La cicatrice et le sabre   montrent qu’il faisait partie d’une corporation d’étudiants : on y montrait son honneur en se battant au sabre. De son crâne coupé surgit un cavalier