Monastère de Séra

groupes : le clergé séculier (archevêque, évêques, prêtres) qui est au contact des fidèles et le clergé régulier qui vit dans les monastères et les abbayes (abbé, moines ; abbesses, moniales). • La période est marquée par le développement de grands ordres monastiques (clergé régulier). Les moines (et les moniales) veulent se retirer loin du monde dans des abbayes, des monastères isolés afin de mieux prier pour le salut de leur âme et de celles des autres croyants. • Les ordres monastiques obéissent à

lignes : Argumentaire : Antithèse : «Non par des lois, statuts ou règles, mais selon leur bon vouloir et libre-arbitre» ligne 1-2 Rabelais nous montre un monastère libre, sans lois. Anaphore et parallélisme : « Quand bon leur semblait » ligne 2 « Quand le désir leur venait » ligne 3 Rabelais insiste sur la liberté donnée au monastère. Énumération de verbes imparfaits : « semblaient, buvaient, mangeaient, travaillaient, dormaient » ligne 2-3 L'auteur nous donne des exemples d'habitudes

Clunisienne 1. L'autonomie de Cluny. C'est à l’origine, un monastère qui va s'accroître grâce aux donations et qui va se trouver à la tête de différents monastères. Cluny était autonome, indépendante de toute autorité civile ou religieuse. Elle va devenir un chef d’ordre de ce qui sera le plus puissant ordre durant le moyen-âge. 2. Berzé la ville: un site clunisien. L'influence de Cluny a été déterminante et de nombreux monastères vont décider de suivre le modèle clunisien. Ils n’obéissaient

concerne des hommes qui se vouent à la prière et à l'amour de Dieu. Pour lui, tout savoir humain n'a d'importance que dans la mesure où il est ordonné à la vérité religieuse. A l’intérieur du monastère, le moine laisse tout, sa vie est rythmée par la liturgie. Sa vie intérieure de doit pas être perturbée. Le monastère a pour fonction de favoriser cet aspect de la spiritualité cistercienne. C’est pour cela que les rituels cisterciens sont codifiés dans les Ecclesiastica officia

il devient le maire de Bordeaux, donc il est toujours bien avec l’autorité et le roi de son temps. Rabelais, écrivain et médecin, étudie tout d’abord le droit puis il passe son temps dans un monastère et il devient un prêtre. Là, il étudie des œuvres grecques, à cause de cela il est chassé du monastère. Ensuite il étudie la médecine. Ses intérêts diverses forme un personnage humaniste comme Montaigne. Donc il écrit ses romans: Gargantua et Pantagruel puis les autres. IV) En quoi sont-ils des

frères du Bellay, dont l'un est évêque et l'autre capitaine. Il se fait juger favorablement par tous trois et les prévient grandement en sa faveur. Selon Bruneau de Tartifume (1574-1636), Rabelais est novice, vers la fin de 1510 jusqu'en 1520, au monastère des Cordeliers (ordre des frères mineurs, ou franciscain) de la Baumette, construit devant la Maine, près du roc de Chanzé à Angers. Il y reçoit une formation de théologie. Vie monacale: Rabelais rejoint plus tard le couvent franciscain du Puy-Saint-Martin

espéraient ainsi former de jeunes hommes selon un enseignement spécifique et développer le christianisme dans son Royaume .Charlemagne a aussi encourage la création d'écoles en dehors des monastères pour qu'un plus grand nombre d'enfants puisse apprendre à lire , écrire , compter et réciter des prières .Les enfants des monastères étaient pensionnaires et étaient confiés a des moines . Types d'enseignement : Les garçons de seigneurs sont instruit dans le château ; mais les nobles méprisent instruction

aussi montrées par des associations d’images: le plan du premier baiser de Gloria et Francisco est suivit par un plan montrant une explosion qui libère des trombes d’eau; ainsi que a la fin du film, quand Franscico se dirige vers un tunnel dans le monastère, totalement noir. La principal fil conducteur du film est la folie de Francisco, qui augmente au long du film et atteint son apogée a la fin. Aussi, le réalisateur augmente certains effets au long du film: quand Gloria commence a être seule a cause

Latran III sanctionne cette évolution en imposant à chaque évêque d’en tenir une dans sa cathédrale. Il en découle une amélioration du niveau culturel des élites. c) La mission d’assistance Aux pauvres, aux malades, aux lépreux – même si les monastères (puis les ordres mendiants au XIIIe s.) les supplanteront toujours dans cette tâche. 3) Un clergé paroissial bien peu repris en main 1a) Une vie spirituelle indigente Le Décret de Gratien, tout comme les trois premiers conciles du Latran, ont voulu

lieu inhabité, pour y établir un monastère où on reviendrait strictement la règle des bénédictins. Robert de Molesme critiquait ce qui se passait alors dans les monastères bénédictins réformés par l'abbaye de Cluny. Chez les clunisiens, l'accent était mis sur la prière et le travail intellectuel ; le travail manuel était en grande partie délaissé par les moines. La richesse, créée par les paysans cultivant les domaines des abbayes, s'accumulait dans les monastères clunisiens. La vie des cisterciens