Moins Je La Vois Maurice Sceve

éducation « moderne », influencée par le modèle italien (Pétrarque : poète italien inventeur du sonnet) et humaniste. Au XVIe siècle (siècle de la Renaissance), deux groupes poétiques se forment en France : La Pléiade et le Groupe Lyonnais. Avec Maurice Scève et Pernette du Guillet elle appartient au Groupe lyonnais. Son recueil «Œuvres Poétiques » est composé de trois élégies (poème non chanté lyrique, qui exprime les sentiments personnels du poète, il est de forme longue et avec des rimes suivies)

Anthologie Poétique La Guerre Du  XIVe siècle au XXe siècle Le Printemps des poètes Préface La guerre est un conflit armée qui subsiste entre des nations, des états, des groupes humains souvent traduit par des combats armés plus ou moins dévastateurs. La guerre peut également prendre plusieurs formes, Conflits militaires, guerre de religion, guerre civile ; Selon le théoricien Carl Von Clausewitz (1780-1831) « La guerre est le prolongement de la politique par d’autres moyens » La guerre

de ces tableaux avec minutie montre la foi qu’il avait en son art. Né en 1632, c’étais un peintre baroque assez connu dans son pays, il peignait assez lentement, d’ailleurs un livre s’intitulant « La jeune fille à la perle » a été consacré plus ou moins à sa vie. Vermeer avait une foi totalement aveugle en son art, il a consacré presque 6 mois a presque chacune de ses œuvres le temps qu’il y passait, la minutie dont il a fait preuve dans cette œuvre est belle est bien la preuve de la foi de Vermeer

|MAURICE SCÈVE – Délie, Objet de plus haute vertu (1544) | | La Femme et la Licorne | Le Phénix | La Chicorée | Le Basilic et le Miroir | Le Tombeau et les Chandeliers | |« POUR

adaptation, même partielle, par tous procédés, en tous pays, faite sans autorisation préalable est illicite et exposerait le contre- venant à des poursuites judiciaires (ref. loi du 11 mars 1957). Avant-propos On peut lire de deux manières, au moins, les Sonnets de Louise Labé. Une lecture possible est celle des candidats au bacca- lauréat de français qui se sont vu proposer le commen- taire du sonnet VIII : Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; et qui, devant ce texte abrupt, ont

de tout mal encourir / « Après la Mort. » écrit Marot dans son poème « De bien faire durant la vie ». On se rappellera que la recherche de beauté dans les sons est née des discours, dans l'antiquité. Les jeux pétrarquisants de Louise Labé ou de Maurice Scève, les auteurs de la Pléiade, sont autant de poètes qui font usage des figures de rhétorique et de références mythologiques. Cette esthétique classique est-elle à bannir? Elle fut prônée par Malherbe, puis Boileau la théorisa dans son Art poétique

DOCUMENTATION COMPLÉMENTAIRE Ballades Victor Hugo, Odes et ballades (1826) Ballade dixième : À un passant Au soleil couchant, Toi qui vas cherchant Fortune, Prends garde de choir ; La terre, le soir, Est brune. L’océan trompeur Couvre de vapeur La dune. Vois : à l’horizon, Aucune maison ! Aucune ! Maint voleur te suit ; La chose est, la nuit, Commune. Les dames des bois Nous gardent parfois Rancune. Elles vont errer ; Crains d’en rencontrer Quelqu’une. Les lutins de l’air Vont danser au clair De lune.

Moyen-Age à nos jours. Problématique Comment la célébration de la beauté est-elle l’occasion d’une inspiration poétique renouvelée ? Groupement de textes et lectures analytiques Groupement de textes : Lectures analytiques T1 : « Le front » – Maurice Scève, (1536), orthographe modernisée ar Pascale Delamarre, p. 269 T2 : « Marie, vous avez la joue » - Pierre de Ronsard (1560) T3 : Un serpent qui danse - Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, (1857). T4 : La courbe de tes yeux – Paul Eluard, Capitale

quelle mesure la poésie amoureuse de la moitié du XVIème est-elle une poésie de l’innutrition ? Etudes transversales et thématiques : Le pétrarquisme  Le mystère Louise Labé Poésie du « je » ou poésie du « jeu » ? 21 – Maurice Scève, "Moins je la vois, certes plus je la hais;", Délie dizain XLIII, 1544 22 – Louise Labé, "O beaux yeux bruns ...", Sonnets, II, 1555 23 – Pierre de Ronsard, "Ciel, airs et vents ...", Les Amours de Cassandre, LXVII, 1552 24 – Pierre

| | |Les réécritures |21 – Maurice Scève, "Moins je la vois, certes plus je la hais;", |Textes complémentaires : | |La poésie |Délie dizain XLIII, 1544