Mix-Cité

comme le familistère de l’industriel Godin, à Guise (1858-1877), influencé par la pensée de Charles Fourier. - l’habitat individuel en accession à la propriété, préconisé par Frédéric Le Play et dont Dollfuss est le précurseur en France avec la cité ouvrière de Mulhouse en 1853 (on peut devenir propriétaire en un peu plus de 10 ans : 4 maisons faisant chacune 40m2 avec un jardin partagé, but : faire comprendre le sens de l’épargne). Emile Cheysson justifie la propriété « la possession de sa maison

influencé par le retour de la cité-état. L'organisation urbaine et la question de la " société idéale " devient l'un des principaux sujets de réflexion. Les villes médiévales aux ruelles tortueuses et incommodes apparaissent comme une forme dégénérée de la cité antique aux larges avenues rectilignes et aux perspectives majestueuses. Elles ne répondent plus aux exigences stratégiques et économiques de leur temps. Se pose aussi la question de l'organisation politique de la cité. Le thème du bon gouvernement10se

a César et à Dieu ce qui est a à Dieu » (Mathieu XXII, 21) § 1- Tentatives théocratiques • Theos kratein : le gouvernement de Dieu A) Les aspirations 1) Fondements théoriques o Saint Augustin (IVe s) o Évèque d’Hippone (Annaba) o La Cité de Dieu 2) Une doctrine pour l’Eglise • Les moines vivant en idéal • Le clergé séculier avec évêques et Pape. • L’augustinisme politique : le pape Grégoire VI (590-604) rappelle la finalté du pouvoir de l’Empereur : « pour que le royaume

CITÉ-JARDIN CITÉ-JARDIN : « Ville de dimension limitée, construite dans un cadre rural et qui vise à offrir une alternative aux grandes villes et aux banlieues industrielles. » « Cité-jardin » est la traduction littérale de Garden City, expression introduite par l'Anglais Sir Ebenezer Howard en 1898 dans son ouvrage To-morrow : A Peaceful Path to Real Reform. Dans cet ouvrage Howard propose une réforme politique, économique et sociale de la société anglaise du XIXe siècle. Le résultat formel de

With close reference to the text and to historical, social and literary background compare Blake’s “London” to Wordsworth’s “Composed upon Westminster Bridge”. The poems “Composed upon Westminster Bridge” by William Wordsworth (1770-1850) and “London” By William Blake (1757-1827) have the same subject: London. Although both poems cover the same subject, the subject’s approach is totally different: while Wordsworth shows the appearances and gives a positive view of London, Blake shows the hard

LA CONCIERGERIE: La Conciergerie est le principal vestige de l’ancien Palais de la Cité qui fut la résidence et le siège du pouvoirdes rois de Fance, du xe au xive siècle et qui s’étendait sur le site couvrant l’actuel Palais de justice de Paris. De nos jours, l’édifice longe lequai de l'Horloge sur l’ile de la Cité, dans le Ier arrondissement de Paris. Origine du mot Conciergerie: La Conciergerie désigne d’abord le logement du concierge, puis par extension la prison dans laquelle il maintenait

vie siècle avant Jésus-Christ, avec l'affirmation définitive de la cité comme mode d'organisation de la société, que la pensée poli­tique prend son ampleur. En effet, la vie politique des Grecs et, à travers eux, de toute l'Antiquité classique, est conditionnée par l'existence de la cité : pour eux, il n'y a de civilisation que de cité; c'est elle qui fonde la distinction entre Hellènes et Barbares. C'est dans le cadre de la cité qu'évolué la pensée poli­tique grecque, et celle-ci ne peut guère être

Beijing, ou Yuan Ming Yuan. Alors que la Cité Interdite fut la résidence officielle de l’empereur, notamment les jours de cérémonie, le Yuan Ming Yuan fut pendant deux cents ans, le lieu de villégiature du souverain. Construit par plusieurs générations, le palais est un complexe de plusieurs centaines de bâtiments dispersés parmi des lacs et montagnes artificielles dont le but est de représenter toutes les provinces de l’empire. Similairement à la Cité Interdite, le Yuan Ming Yuan en tant que résidence

on y retrouve cent fois les mêmes banalités, cent fois les mêmes lacunes ou les mêmes erreurs[1]. » . Son histoire (du XVIe au XVIIIe siècle) . De la renaissance au classicisme : Entre 1602, date de parution de la première version de la cité du soleil de Campanella et l’édition, en 1699, des aventures de Télémaque de Fénelon, on dénombre, en ne comptant que les titres principaux, plus de trente textes utopiques. Publiés en France, en Angleterre, en Italie et ces utopies sont souvent inspirées

tous doivent répondre à des critères communs, et tous sont soumis à des mêmes règles et à un seul type d'organisation. L'une des caractéristiques de l'utopie est également l'entente et l'harmonie entre tous les individus: toute réflexion sur la cité idéale suppose cette approche d’un homme bon, c’est à dire tel qu’il devrait être non pas tel qu’il est. Effectivement l'Homme peut être considéré comme naturellement méchant, mauvais, et se préoccupe souvent plus de son bonheur personel plutôt que