Mistress

women’s sport The development of sport was not limited to men; women were also part of this movement. Indeed through the new expensive girls’ schools like Wycombe, Roedean or Abbey, young girls discovered sport with the help of games’ mistresses who believed the virtues of sport and physical exercise should also be accessible to them. Although on a smaller scale than for boys, upper middle-class girls enjoyed many sports and even had their own competitions organized for them. At the time

opinion, “The passage may well allude to the story of Orpheus and Eurydice, a husband losing his wife at the gates of Hell”[342]. Goldman considers that “Mr. Ramsay also seems to have learnt the lesson of Andrew Marvell’s carpe diem in To His Coy Mistress: “The grave’s a fine and private place, /But none, I think, do there embrace.”’[343] Goldman[344] considers that, as well as overriding Mrs. Ramsay’s wishes, Lily is seen to override Mr. Ramsay’s wishes and his philosophy. In Goldman’s[345]

--Roméo, je te souhaite une bonne nuit; moi, je vais gagner mon alcôve. Ce lit de camp est trop froid pour que j'y puisse dormir.--Eh bien! partons-nous? [Note 34: Il a fallu passer ces cinq vers: _Now will he sit under a medlar tree And wish his mistress were that kind of fruit As maid call medlars, when they laugh alone. O Roméo, that she were, ah that she were An open et cætera, thou a propin pear._ Ces deux derniers vers, dont les commentateurs ne sont pas trop parvenus à saisir le sens, leur

près de son mari, ancien douanier, une blanchisseuse enrichie dans les lavages de San Francisco, qui buvait du Clicquot à trois dollars la bouteille. Deux ou trois jeunes misses, frêles et pâles, dévoraient des tranches de bœuf saignant. De longues mistresses, à défenses d’ivoire, vidaient dans leurs petits verres le contenu d’un œuf à la coque. D’autres dégustaient avec une évidente satisfaction les tartes à la rhubarbe ou les céleris du dessert. Chacun fonctionnait avec entrain. On se serait cru dans

près de son mari, ancien douanier, une blanchisseuse enrichie dans les lavages de San Francisco, qui buvait du Clicquot à trois dollars la bouteille. Deux ou trois jeunes misses, frêles et pâles, dévoraient des tranches de bœuf saignant. De longues mistresses, à défenses d’ivoire, vidaient dans leurs petits verres le contenu d’un œuf à la coque. D’autres dégustaient avec une évidente satisfaction les tartes à la rhubarbe ou les céleris du dessert. Chacun fonctionnait avec entrain. On se serait cru dans

shortly before Partition. Divakaruni, Chitra Banerjee. The Unknown Errors of Our Lives. New York: Random House, 2001. Short stories dealing mostly with Indian women, displaying considerably more sophisticated writing than her popular 1998 novel The Mistress of Spices. Ghosh, Amitav. The Glass Palace. New York: Random House, 2001. Although overly ambitious (the plot rather falls apart at the end), this sweeping historical novel of life among Indians in Burma and Maharashtra from 1885 to the 1990s depicts

contrariée que vous refusiez de passer quelques jours à l’hacienda. Le bank-note était un billet de cinq cents dollars. – Je suis confus de vos bontés, – s’écria Dadd, avec une émotion réelle, ou, tout au moins, fort bien jouée, – mistress, permettez-moi de vous embrasser. Marianna s’exécuta de bonne grâce et dut aussi subir l’accolade de Toby qui tenait à se montrer à la hauteur de son compagnon. Quand la porte du jardin se fut refermée sur la généreuse mulâtresse

19-21 septembre 2002. Piau (C.), « Lʹécriture féminine », in Dix-Huitième Siècle, n°16, 1984. Pieretti, Marie-Pascale. ʺDʹun échange unilatéral à un autre : variations sur un choix stylistique dans les Lettres dʹune Péruvienne et les Lettres de Mistress Fanny Butlerdʺ, Colloque Françoise de Graffigny : Nouvelles Approches, Trinity College, Oxford, 19-21 septembre 2002. Rivara, Annie. “Traduire la Péruvienne en Angleterre ou en France : Mrs. Roberts (London, 1774), anonyme (Avignon, 1818)”, Colloque

continued for many decades if Smith hadn't filled his body with tequila three nights before his THE BROOKLYN FOLLIES 43 fortieth birthday and jumped off the roof of his house. His wife insisted it was a prank that had gone wrong; his mistress claimed it was suicide. One way or the other, Alec Smith was dead, and the S.S. Harry Dunkel was about to sink. Enter a young artist named Gordon Dryer. Harry had given him his first show just six months before the Smith catastrophe— not because

britanniques de l’archipel, dont le nom fut alors prononcé pour la première fois par M. Ardagh. – 11 – Que l’on juge si ce nom fut salué par les hurrahs de l’assistance et avec quel entrain ces cris retentirent : « Hip !… hip !… hip !… pour mistress Seymour ! » Toutefois, si le directeur d’Antilian School avait révélé le nom de la bienfaitrice, de quel voyage s’agissait-il ? Ni lui ni personne ne le savaient encore. Mais, avant vingt-quatre heures, on serait fixé à cet égard. Le directeur allait