Mise au tombeau

apprend la mort probable d’Hernani. Le jour des noces, un pèlerin frappe à la porte du château de Da Silva. Découvrant doña Sol en tenue de mariée, le pèlerin déchire son habit et déclare son identité : « je suis Hernani ». La tête d’Hernani est mise à prix , mais la loi de l’hospitalité étant sacrée, Don Ruy Gomez de Silva fait barricader le château et décide de protéger Hernani. Hernani et doña Sol restent seuls et dissipent tout malentendu. La jeune femme lui montre le poignard qu’elle a

réclamer l’argent qui lui est dû. Don Juan décide de le recevoir afin de lui jouer une comédie qui prouvera au public, une fois de plus, son talent et son pouvoir. Par ailleurs, pour détendre l’atmosphère après le sommet dramatique de la scène du tombeau et avant l’arrivée de Dom Louis, le père de Don Juan, Molière nous propose une scène bouffonne, au comique simple et efficace. Il nous montre comment un aristocrate endetté peut éconduire poliment un créancier, sans rien payer et sans même lui donner

cela nous permet de rester bloqué sur le texte afin de mieux comprendre ses pensées. Enfin ligne 4 on retrouve une allégorie : « Et frapper à mon coeur, c’est frapper au tombeau » qui a pour effet de persuader le lecteur sur l’intensité de la situation et qui montre la fin de leur histoire car elle compare son coeur à un tombeau. A travers son malheur qu’elle tente de nous faire comprendre elle utilise un grand nombre de phrases exclamatives qui sont une des particularités du registre tragique

colombe venue mourir près du bassin… Hyperbole. On peut également s’interroger sur le vers « Le soir tombe O sanglante mer » : le « O » est caractéristique de la poésie lyrique ; mais il est possible d'entendre aussi « le soir tombeau » : le poème devient alors un poème-tombeau, une épitaphe[1] : le poète célèbre ainsi les noms de ses amours et de ses amis dispersés par la guerre. On peut donc dire que ce poème peut être celui : - d’un oiseau blessé qui vient mourir près d’un jet d’eau qui se trouve

les papes avaient acquis une grande autorité morale et spirituelle sur la chrétienté occidentale et l'Église catholique. Ils pouvaient faire plier les rois et les empereurs, décréter des croisades, redresser les mœurs... Mais leur autorité est mise à mal au XIVe siècle par l’association des crises sociales, politiques et spirituelles. Le Grand Schisme d’Occident* altère en particulier le respect dû à l'évêque de Rome (le pape). •Au siècle suivant, le souverain pontife apparaît comme un prince

le changement a eu lieu comme le montre le passé composé «  a chassé ». · Les noms indiquant les saisons sont placés en tête des deux premiers alexandrins (le second en rejet) et mettent ainsi en parallèle les deux ennemis. · La chute du sonnet, mise en valeur par un tiret et constituant une sorte de distique, contient le triomphe du printemps : « l’Azur rit ». 2/ L’état d’âme maladif du poète · Les vers 3 à 6 décrivent l’influence  de la nature printanière sur le poète : son état d’âme se résume

imprégné par la musique et ne peut donc être dissocié de cette mort omniprésente. Aussi, comment le lien entre la mort et la musique se manifeste-t-il dans l'œuvre quignardienne ? La mort semble être à la source de l'inspiration musicale : ainsi Le Tombeau des regrets. Par cette musique, le violiste entre en contact avec le monde des trépassés et fait revivre ces êtres d'antan de courts instants. Enfin, la musique chez Quignard est pour l'homme le souvenir d'une voix perdue, celle de l'enfance, celle

peinture, le peintre fait une Héloïse habillée d’une cotte hardie, pour ainsi dire, Héloïse montre sa noblesse. De plus, elle porte une robe moulante et au plus près du corps, afin de ne rien cacher de la féminité que la cour carolingienne avait mise en faveur. Le rôle d’Abélard est celui du professeur, celui qui enseigne ma doctrine de la religion. Néanmoins, en regardant au centre du tableau, on peut apercevoir un premier signe de rapprochement, Abélard pose sa main sur celle d’Héloïse. Ensuite

fonction traditionnelle de la muse est d’inspirer le chant poétique «  Faire épanouir la rate du vulgaire » II. La muse du vulgaire A. La pauvre muse Hiver et froid «  Janvier » « chauffer» « borées »  victime tragique La misère de la muse est mise en valeur : figure de la nécessité « récolteras-tu ? » « il te faut »  verbes d’obligation, de modalité mis au début du tercet, complément circonstanciel de but «  pour gagner ton pain » « pour faire épanouir la rate du vulgaire » B. Figure de

d'Hernani est mise à prix, mais la loi de l'hospitalité étant sacrée, Don Ruy Gomez de Silva fait barricader le château et décide de protéger Hernani.Le roi pénètre dans le château et est furieux d'apprendre que Don Ruy Gomez cache ce scélérat d'Hernani. Il lui propose le choix : où il accepte de livrer Hernani ou il fera prisonnière dona Sol. Le duc hésite, mais finalement refuse de livrer Hernani.Don Carlos apprend qu'on prépare un complot contre lui. Il se retire seul dans le tombeau de Charlemagne