Mise au tombeau

émouvante exclamation tragique « O tombeau ! O lit nuptial ! O ma demeure souterraine ! », le garde se répand en considérations sur son avancement ou sur la « drôle de corvée » que constituera la faction devant le tombeau d’Antigone. Enfin, la noblesse empreint le langage de la jeune fille où domine le champ lexical de la mort : « mon dernier visage d’homme », « je vais mourir », « Tu crois qu’on a mal pour mourir ? », « Comment vont-ils me faire mourir ? », « O tombeau ! O lit nuptial ! O ma demeure

relations se manifeste aux vers 19 et 20 : « L’amoureux pantelant incliné sur sa belle/A l’air d’un moribond caressant son tombeau ». La soumission de l’amant est suggérée par l’adjectif « incliné » ; sa faiblesse et sa mort prochaine apparaissent dans l’épithète « pantelant » et dans le substantif « moribond ». Son masochisme est révélé par l’expression « caressant son tombeau » puisque le moribond semble éprouver une réelle jouissance à l’idée de sa propre mort. La beauté est liée à la mort. Sa cruauté

ignorent la cause. Benvolio réussit à obtenir des confidences de Roméo : il aime la trop belle Rosaline qui ne l'aime pas mais il est incapable de s'en détacher et de l'oublier.Cette première scène est une scène d'exposition partielle puisque n'est mise en place que la haine entre les deux familles. la mélancolie de Roméo nous entraîne vers une fausse; la véritable intrigue prendra place dans la scène 5. Capulet père assure à Paris qu'il pourra épouser Juliette, si elle est consentante, mais pas

Orphée, après avoir perdu sa dulcinée à jamais, erra dans les bois, jouant sur sa lyre pour les rochers, les arbres et les rivières. Par conséquent nous remarquons trois étapes successives en relation avec la quête d’identité : Affirmation (vers 1), mise en question (vers 9) et redécouverte de soi-même (vers 12). - Jeux de lumières, trait commun du romantisme Fidèle au romantisme, Nerval joue pleinement avec les contrastes et les oppositions. Certes le poème entier s’inscrit dans un cadre plutôt

monarchie cour de heb-sed (renouvellement des forces physiques de pharaon lui permettant de poursuivre son règne): symbolise la continuité éternelle du pouvoir royal. Pyramide à 6 degrés: « escaliers vers le ciel » et « tertre originel ». tombeau sud: 2ème sépulture royale reconstitution de la porte principale du complexe mur d'enceinte à redans. Les pyramides de Snéfrou: Snéfrou: souverain bâtisseur au long règne 3 pyramides: pyramide à degré (Saqqara – IIIe dynastie

disparition de son épouse en se réfugiant au fond du jardin, dans une cabane où il compose ses œuvres. Il compose pour son épouse, pour leur amour toujours vivant, pour une peine toujours vive, pour une vie qui s'est arrêtée avec le départ de l'aimée, le Tombeau des Regrets. Sans cesse, il manie l'archet sur la viole, sans cesse, il est à la recherche du geste parfait qui fera sortir de l'instrument le son parfait, dans la plénitude d'une gestuelle créatrice. Sans cesse, il joue dans le souvenir de l'être

Quelques pistes pour la réponse organisée 1. L’encadrement et le conditionnement de la masse ¢ Un encadrement « du berceau au tombeau » - école sous tutelle - organisations diverses pour encadrer la jeunesse (Balillas, Jeunesses hitlériennes, komsomols) - travail (pas de syndicats, corporatisme, stakhanovisme) - loisirs encadrés (ex Dopolavoro) - dans la famille (place de la femme) Žendoctrinement des masses passe par l’embrigadement de la population et, en particulier, de la jeunesse,

ronde-bosse (dont on pourrait faire le tour) Appelée « Vierge Marie douloureuse », « Mater Dolorosa » ou Piéta Elle représente la Vierge Marie recevant dans ses bras le christ descendu de la croix avant sa mise au tombeau. Composition en triangle symbole de la Trinité (le Père, le Fils et le Saint Esprit) avec mise en valeur du visage de la Vierge. Comparaison avec le monument aux morts de Péronne. Aucune tristesse, aucune douleur ou colère sur le visage de la Vierge qui accepte la volonté divine. Points communs :

troisième : « La boucherie héroïque » * Chapitre sixième : « Le bel auto-da-fé » * Chapitre dix-neuvième : « Le nègre de Surinam » * Extrait de l’excipit (Chapitre trentième) Etudes d’ensemble Les cibles de la satire dans ce récit La mise en scène des utopies La structure du récit Parodie, mélange des genres et des registres dans ce récit Origines et caractéristiques du conte philosophique Lectures complémentaires Lectures d’œuvres et études d’extraits : Zadig, L’Ingénu, Memnon

d'appliquer la sentence de mort à Antigone. Après un long débat avec son oncle sur le but de l'existence, celle-ci est condamnée à être enterrée vivante. Mais au moment où le tombeau va être scellé, Créon apprend que son fils, Hémon, fiancé d'Antigone, s'est laissé enfermer auprès de celle qu'il aime. Lorsque l'on rouvre le tombeau, Antigone s'est pendue à sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, s'ouvre le ventre avec son épée. Désespérée par la disparition du fils qu'elle adorait, Eurydice