Merleau Ponty Il N Est Pas Plus Naturel

distinction entre sacré et profane L'aspect collectif ou social de la religion La diversité des religions Le premier est l'« état théologique » qui dure jusqu'à la fin de l'Ancien Régime. Dans cet état, l'homme explique l'origine de toute chose naturelle par une entité extranaturelle (par exemple, Zeus est la cause de la foudre). Le deuxième est l'État métaphysique, où l'on cherche les causes des phénomènes réels dans les qualités ou la volonté de la nature. Par exemple, la nature a « horreur du

 Merleau-Ponty Un scientifique a une vision quantitative des choses, alors qu’un artiste a une approche qualitative. Du coup, l’un nous permet de prévoir, d’agir du le monde, et l’autre de lui donner du sens, d’y trouver notre place. Donc l’art et la science ne sont pas aussi éloignés que cela, dans le résultat et le point de départ,  même si la démarche n’est pas la même, ni le but. Car la science vise la connaissance vraie, l’art la délectation. L’art cultive, ce que la science cherche à détruire :

le verbe, le son articulé. Il définit ensuite le langage comme étant « tout système de signes pouvant servir de moyen de communication ». Cette deuxième définition présente l’avantage d’être moins limitative que la première car, le langage n’y est plus défini en référence seulement au verbe, mais il caractérise tout système de signe. En ce sens le signal, le symbole, etc.… sont autant de moyen de communication.  Langage humain et langage animal Selon certains penseurs, il existe un langage animal

l'action humaine? Nous savons que le monde est ce qu'il est grâce à l'évolution de l'homme au cours du temps, cependant le monde est aussi la base de nos savoirs et de nos actions. Merleau-Ponty explique : « Le monde n'est pas un objet dont je possède par devers moi la loi de constitution, il est le milieu naturel et le champs de toutes mes pensées et de toutes mes perceptions explicites. La vérité n'habite pas seulement l'homme intérieur, ou plutôt il n'y a pas d'homme intérieur, l'homme est au

Daniel Liotta, a été consacrée à Histoire de la Folie à l’âge classique de Michel Foucault. Elle a donné lieu à de fertiles échanges. Une seconde séance, sous la conduite de Ronald Bonan, a présenté un extrait de la préface de Signes de Maurice Merleau-Ponty. Hannah Arendt, Pierre Bourdieu, Jean-Paul Sartre, Nelson Goodman, etc., constitueront l’objet de futurs séances. A l’issue de la première séance, l’auditoire a manifesté le désir de prolonger la réflexion sur Foucault. Le cercle essaiera donc

ne renvoie qu’à soi-même, plus la manifestation de Dieu ou du pouvoir royal. Proust : « planète Rembrandt » Primauté du morceau sur le sujet représenté : peintre Maurice Denis : le tableau est « surface plane recouverte de couleurs » avant d’être femme nue etc. Rupture entre chose représentée et représentation (Picasso : l’art est « une somme de destructions », art abstrait). Rompre avec la représentation du monde et s’adresse à la « sensibilité incarnée » (Merleau-Ponty) Tout peut-il être considéré

immuable?) l'art nous éloigne deux fois de la vérité. Et si penser c'est contempler l’Être, les Idées, si penser c'est penser la vérité qui se donne comme présence de l’Être, alors la philosophie ne peut que condamner l'art qui nous éloigne d'autant plus de la vérité que ses artifices nous séduisent. Notons que l’Être ne se dévoile qu'à l'intelligence contemplative et non à nos sens. Pour nos sens l’Être est invisible et si les réalités sensibles sont une imitation des Idées alors ce sont les réalités

chapitre 2 Renaud Barbaras : Introduction à une phénoménologie de la vie, Paris, Vrin, Problèmes et Controverses, 2008 (suppose les lectures préalables de Husserl, Heidegger, Merleau-Ponty, Henry) L’énergie spirituelle, in ibid., première section sur « La conscience et la vie », pp. 813-836 Sur Bergson : - Maurice Merleau-Ponty La nature. Notes. Cours du Collège de France, Paris, Seuil, traces écrites, 1995, p. 86sqq. « La Nature comme Vie » Paul-Antoine Miquel : Bergson ou l’imagination métaphysique

par le vocable commun de « constructivisme » toute une galaxie de travaux qui s’efforcent de dépasser des couples d’opposition traditionnels en sciences sociales comme idéel/matériel, subjectif/objectif ou individuel/collectif en recourant de manière plus ou moins marquée au schéma analogique de « la construction sociale ». Cet essai de classification est d’ailleurs parfois mal accepté par certains des auteurs concernés, notamment quand ils discernent dans le qualificatif de « constructiviste » un défaut

pertinent pour la philosophie de se livrer à des critiques ponctuelles et systématiques, ou encore à l'analyse épistémologique des théories et des discours. J'orienterai ici cependant mon propos dans une autre direction et, prenant les choses d'un peu plus haut, je risquerai des « mises » en déroulant une réflexion qui se relie à notre présente conjoncture. Il s'agit de se demander d'abord comment placer la philosophie dans la configuration d'aujourd'hui, et, par exemple, dans un contexte où les problèmes