Méningite

palatine Malformations de l’oreille externe ou craniofaciales Poids de naissance < 1500 g Détresse respiratoire néonatale Infection congénitale (rubéole, toxoplasmose, cytomégalovirus, herpès, syphilis) Ictère ayant nécessité une exsanguinotransfusion Méningites bactériennes Traumatisme crânien avec perte de conscience Chimiothérapie, aminosides Antécédents familiaux de surdité À l’opposé, les répercussions des surdités bilatérales sont beaucoup plus sérieuses. Les paragraphes qui suivent concernent

En d'autres cas, la maladie se présente sous la forme d'un syndrome grippal (forte fièvre, maux de têtes, des courbatures), parfois accompagné de maux de ventre et de nausées. Dans 15 % des cas, des complications peuvent survenir : encéphalite, méningite, par exemple. Traitement Celui des symptômes, en particulier la fièvre. La plupart des malades guérissent spontanément et sans séquelle au bout d'une semaine. Prévention spécifique Elle repose sur l'application rigoureuse des mesures de protection

-Pathologies respiratoires (otites,asthme,infection pulmonaire), chirugicales (hernie, appendicectomie, fratures, orl ,brûlures non graves), gastro-intestinales (vomissement, diarrhées), maladies infectieuses (oreillons, varicelle, rougeole, hépatite, méningite), autres (convulsion, anorexie, ts, diabete...) Le carnet de santé de l'enfant est demandé lors de l'admission ainsi qu'une autorisation signée par les parents ou le responsable légal afin de prodiguer les soins nécessaires à l'enfant. Une feuille

Brucella ( fièvre de malte). 3) Listeria monocytogenes Responsable de la listériose, fait partie des 3 mo qui doivent être obligatoirement absent des aliments. Touche les immunodéprimées. Listériose= septicémie + méningite Dangereux pour les fœtus car ça passe le placenta. Présence dans le liquide gastrique, LCR chez les contaminés. Se développe à 4° ( dans le frigo donc ). Exament des selles = bactéries des parties III et IV pas le reste

la jaunisse due à l’incompatibilité sanguine, la prématurité, le manque d’oxygène à la naissance. -en période postnatale. C'est-à-dire la période suivant la naissance. Les causes les plus fréquentes sont les séquelles d’infections telles que méningite, les oreillons, la rougeole ou encore la varicelle. Il y a aussi plusieurs sortes de surdité acquises comme le vieillissement car en vieillissant, les cellules ciliées qui décodent les vibrations reçues sous forme d’ondes liquides et les transforment

sarcoïdose • Nécessité d’évoquer le diagnostic très rapidement MMWR, 2001, 50: 984-6 Anthrax respiratoire : 2éme phase • Phase d’état (dissémination de la toxine) – détresse respiratoire avec • Hémorragies médiatinales • Dissémination hématogène • Méningite (50 %) – Augmentation rapide de l’épanchement pleural (hémorragique) • Evolution – Mortalité • Sans traitement: 95 %, décès rapide en 1 à 5 jours • si traitement débuté après le début des symptômes : 80 % (45 % dans l’épidémie US) Anthrax : cas

révéler postnatale, généralement à la suite d'une atteinte infectieuse du système nerveux central (méningites notamment) ou aussi à la suite d'un traumatisme crânien ou d'un syndrome épileptique sévère. Dans les années 70 les étiologies se répartissaient en : 40 % de cause inconnue 20 % de cause périnatale ou la souffrance à l'accouchement tenait une part importante 10 % de cause postnatale (méningite, encéphalite) 30 % de cause prénatale (malformation, cause génétique) Actuellement les progrès

* Rotateq le 26/07/2010, le 27/08/2010 et le 27/09/2010 Prévention de gastro-entérite due à une infection à rotavirus * ROR le 22/03/2011 rougeole, rubéole, oreillons * BCG le 24/06/2010 tuberculose * Méningocoque le 30/08/2011 Méningite * Etat à son entrée et histoire de son adaptation * A son entrée en crèche, le 01/09/2011, c’était la première fois que S. se retrouvait en collectivité. La période d’adaptation s’est déroulée une semaine avant son entrée en crèche

nombre de cellules peut dépasser parfois 1000 cellules / mm3. Les monocytes prédominent dans un nombre important des cas (> 75%), mais il n'est pas rare d'observer des formules mixtes ou même à prédominance de polynucléaires neutrophiles. Cette méningite s'accompagne de façon constante d'une glycorachie effondrée. L. monocytogenes croît facilement en 24 h sur milieux ordinaires ou gélose au sang ou sur milieux sélectifs (acide nalidixique 40 µg/ml, colimycine 4 µg/ml, ou trypaflavine 45 µg/ml)

des sujets et se traduit dans le reste des cas par des symptômes le plus souvent bénins et non spécifiques (pharyngite, syndrome grippal, vomissements)1,2. L'infection du système nerveux central complique environ un cas sur cent. Elle entraîne une méningite et s'accompagne, dans la moitié des cas, d'une lésion desmotoneurones de la corne antérieure de la moelle épinière qui définit la poliomyélite proprement dite ou poliomyélite antérieure aiguë. Il en résulte le plus souvent une paralysie flasque asymétrique