Mégalomanie

Huysmans : élitiste comme jamais. C – Corruption et perversion des âmes : le plaisir de mal faire La suprême délectation vient de générer la perversion par le mal. Le plaisir pour l’esthète décadent est de pervertir la création, par orgueil, par mégalomanie, par sentiment de toute-puissance. « Fais aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’ils te fassent ». II – Régir des Esseintes comme nouveau démurge A – De l’égotisme au solipsisme Reconfiguration d’un monde selon les exigences de la gratification

(Picrochole, figure du mauvais souverain impulsif, belliqueux (≠ Grandgousier souverain modéré et pacifiste)). « Ce détroit sera nommé la mer Picrocholine. Passé la mer, voilà Barberousse qui se rend votre esclave. » (Chapitre 33) (Mégalomanie et délire conquérant de Picrochole. Critique de la soif de conquête. Caricature de Charles Quint). 10. Parodie de l’épopée dans le massacre par frère Jean:« Les uns mouraient sans parler. Les autres parlaient sans mourir. Les uns mouraient

Définition du plaisir par D.J : « le plaisir de l’amour est dans le changement » II – L’autoportrait d’un libertin 1) Instinct du conquérant Champ lexical de la conquête : « conquête », « combattre », « victoire » D.J = un conquérant. Mégalomanie de D.J qui se compare à Alexandre le Grand « et comme Alexandre » Négation exceptive « ne… rien… que » : mettre en avant le plaisir. Le plaisir de la conquête prend alors une autre tournure car celui-ci devient indispensable. « ne peuvent se

plus flous. Lorsqu'il regarde la foule, le vue plongeante nous fait percevoir celle ci comme une nuée d'êtres dociles et anonymes. Hynkel placé sur un piédestal semble démesuré face à elle. Chaplin insiste bien sur le culte de la personne et la mégalomanie de Hynkel. -Le son : La bande son mélange les paroles du dictateur, celles du commentateur/traducteur et le bruit de la foule. Le son est appelé « IN » lorsque sa source est visible à l'image (ici Hynkel, la foule), « OUT » quand on ne voit

de frère Jean (XXV) - la rêverie de Picrochole (XXXI) c) outrances du discours - absurdité et formalisme de la scolastique - les conseillers de Picrochole - mécanique absurde du discours de Janotus (XVIII) - la mégalomanie : un imaginaire incontrôlé (XXXI) II/ Mesure A/ Un roman d’apprentissage a) prendre la mesure de l’homme : - des prouesses révélatrices - le privilège du langage - loin de l'animalité primitive (X), Gargantua

Né le 26 février 1802 Décédé le 22 mai 1885 (à l'âge de 83 ans) Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo est, certes, un auteur d’une stature incomparable et inégalée. Sa devise «!Ego Hugo!», qui traduit son orgueil légendaire (sa mégalomanie, selon ses détracteurs), a poussé Jean Cocteau à écrire que «!Victor Hugo était un fou qui se croyait Victor Hugo.!». Il n’en reste pas moins qu’à l’âge de trente ans, Victor Hugo, à la tête du mouvement romantique, avait révolutionné le théâtre

mental ( sentiment d'être sous influence )  Illusion ( perception déformée )  Interprétation ( donne un sens faux à un fait réel : paranoïa )  Imagination ( pas de différence entre fantasme et réel )  Intuition Thème :  expansif ( mégalomanie, mysticisme, … )  négatif ( culpabilité, persécution,...)  complexe ( érotomanie, jalousie, cosmique,...) Organisation:  Systématisé ( ordonné, logique, auquel on peut adhérer, ex : paranoïaques )  Non-systématisé ( illogique, bizarre

intellectuel engagé français, considéré comme l'un des plus importants écrivais romantique de langue française. Victor Hugo est, certes, un auteur d’une stature incomparable et inégalée. Sa devise « Ego Hugo !», qui traduit son orgueil légendaire (sa mégalomanie, selon ses détracteurs), a poussé Jean Cocteau à écrire que « Victor Hugo était un fou qui se croyait Victor Hugo !». Il n’en reste pas moins qu’à l’âge de trente ans, Victor Hugo, à la tête du mouvement romantique, avait révolutionné le théâtre

les symptômes ne peuvent se ramener à une quelconque lésion physique ou physiologique identifiable. Du point de vue théorique, elle suppose que l'on admette que le "moi n'est pas maître dans sa maison ». 8- "Un troisième démenti sera infligé à la mégalomanie humaine par la recherche psychologique de nos jours qui se propose de montrer au moi qu'il n'est seulement pas maître dans sa propre maison, qu'il en est réduit à se contenter de renseignements rares et fragmentaires sur ce qui se passe, en dehors

exalter exagérément son pouvoir : il renomme peu à peu toutes les institutions, et change le nom des mois et renomme même Rome Colonia Lucia Annia Commodiana. De telles nouveautés doivent être jugées très sévèrement par les sénateurs. Sa mégalomanie lui a pourtant attiré les faveurs de la plèbe, lorsque, organisant en de nombreuses occasions des jeux, il descend dans l'arène pour y vaincre des gladiateurs et des fauves. Ce goût pour les jeux morbides de l'amphithéâtre explique la thèse avancée