Mégalomanie

la paralysie générale ou Maladie de Bayle. Symptômes : Troubles psychiques : • Troubles mnésiques • Troubles de l'humeur. • Troubles du comportement, de l'euphorie (hypomanie, dépression). • Délire de grandeur à type de mégalomanie[11]. • Troubles de l'intellect (perturbations primitives de la cognition) dont l'évolution se fait vers la démence. Troubles moteurs : • dysarthrie[12]  • des tremblements essentiellement des mains, des lèvres, de la bouche et

personnage retient. Cependant, si cette métaphore du nouvel Eden peut servir a représenter la puissance de la grandeur et de la création, elle n’est pas un exemple d’ambigüité. Le héros semble en effet perdre toute sa lucidité, modestie et humanité. Sa mégalomanie ne laisse pas d’inquiété.  Si l’artiste est un démiurge, un créateur, il agit ici par frustration, pour se venger par l’imagination de sa situation subalterne. Or, le dieu qu’il prend pour modèle, apparaît au contraire très inquiétant et la scène

Emploi de phrases injonctives (l10) + impératifs (l4,23,31) Ne supporte ni critique , ni objections (l41) : « merdre » Point de vue scénique = nobles passent réellement à la trappe (didascalie) b) Un tyran égocentrique, avare - Egocentrisme , mégalomanie : emploi de déterminants possessifs « MA » , « MES » + emploi de majuscule Opposition entre « moi »/ »je »/ « les nobles » = emploi du pluriel Avarice : enrichissement perso Tyran qui prend toutes les décisions « je » + se fait justice lui-même

le Château de Versailles Le Château de Versailles résume les sentiments et les caractéristiques du style de Louis XIV et de son règne monarchique: l'orgueil, la puissance, la supériorité, la mégalomanie, l'égocentrisme. Le plan d'ensemble, symétrique par rapport à un axe de 14 km reliant l'avenue Royale au Grand Canal, en passant par la statue du Roi, la Chambre du Roi, et le bassin de Latone, est celui de l'ordre et de l'autorité. Le plan, des décorations extérieures et intérieures rappèllent

prend à sa propre famille, méprisant son épouse, sa complice dans le meurtre, et punissant sa belle-fille Electre. Le roi mourant de Ionesco, s’il est dépossédé de son pouvoir et par là-même pitoyable, n’en demeure pas moins inquiétant dans sa mégalomanie et son autoritarisme absurde. Les dramaturges ont donc à leur disposition toute une série de moyens pour représenter les tyrans que ce soient les genres théâtraux, les registres et les variétés de mise en scène. Dans la tragédie

refusa toujours d'exprimer des regrets ou des excuses, estimant que les artistes n'avaient rien à voir avec la politique. Il semble qu'il n'ait jamais adhéré à l'idéologie raciste National Socialiste mais ait accepté ce régime par « opportunisme et mégalomanie ». Il est intervenu en faveur de nombreux artistes poursuivis par les nazis. À Paris, il a protégé Pablo Picasso alors communiste des officiers de la Kommandantur. Arno Breker permit également de sauver l’éditeur allemand Peter Suhrkamp arrêté

limiterait pas à quelques régions frontalières l'Autriche, la Tchécoslovaquie mais menaçait la paix mondiale. La scène où l'on voit Hynkel jouer avec une mappemonde montre bien la mégalomanie du personnage, c'est-à-dire sa folie consistant à croire qu'il peut devenir le maître du monde. Un dernier détail trahit également la mégalomanie de Hynkel/Hitler, sa volonté de toute-puissance : la démesure de son palais où il est obligé d'appeler sa secrétaire avec une trompette! La folie des grandeurs de Hitler s'est

on est très fort)  En apparence le Roi est puissant mais viendra un jour ou il sera déraciné par le peuple  A chaque circonstance, un comportement adéquat et approprie doit apparaitre  Démesure du Chêne le conduit a l’aveuglement : Mégalomanie (folie de la grandeur) La Fontaine = Un Visionnaire - Œuvre classique = atemporelle et universelle - Facon indirecte de s’adresser aux gens de la cour, au Roi - Tout homme puissant arrivera a sa fin et connaitra son abolition

de LORENZO : confidence du tyrannicide « il m’est impossible de dire comment cet étrange serment s’est fait en moi » Evocation du passé étudiant de Lorenzo : « j’étais bon, et, pour mon malheur éternel, j’ai voulu être grand. » : Une sorte de mégalomanie ? Lorenzo présente ses convictions comme qqch qui le dépasse (« la Providence m’a poussé »), qu’il ne contrôle pas. Il parle aussi de son « orgueil » ; son engagement est quasi inexplicable : il dit « exaltation fiévreuse » Il utilise le récit

le 1er ministre garde toute sa dignité et emporte avec lui toute la paix qu’il avait pu distribuer. Cet acte d’empoisonnement montra a la fois son honnêteté et ces valeurs morales. A contrario, Caligula lui se refugie dans la démence et dans la mégalomanie : il n’accepte pas son sort et en devient fou : « A l’histoire Caligula, à l’histoire ». Il est complètement déshumanisé jusqu’à en devenir fou. Cette œuvre est en opposition avec la mort du roi d’Ionesco qui n’accepte pas la réalité fatidique de