Maupassant Le Merveilleux

préparer le lecteur à une nouvelle tension ? Source:http://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/nouvelle.php II- Définition du conte : Le conte est un récit court, un récit de faits qui pose un regard sur la réalité par le bias du merveilleux ou du fantastique. Le conte est généralement destiné à distraire, à instruire en amusant. II- Aperçu historique : À l’origine oral, le conte passe de la tradition populaire à la tradition littéraire. On a pu reconnaître des structures semblables

autrement dit l'apparition de faits inexpliqué et théoriquement inexplicable dans un contexte connu du lecteur , ressemblant au merveilleux mais différent tout de même. Le fantastique ne serait présent que dans l'hésitation entre l'acception du surnaturel en tant que tel et une tentative d'explication rationnelle. En cela , le fantastique est situé entre les genres du merveilleux dans lequel le surnaturel est accepté et justifié car le cadre est imaginaire et irréaliste ,et de l'étrange dans lequel les

l’intérêt du lecteur. Il s’agit donc d’un récit de longueur variable (mais toujours plus court que le roman) ayant peu de personnages et de descriptions, dont l’action, d’une grande tension, est très concentrée. L’histoire en est vraisemblable (≠ Merveilleux) ; on pourrait comparer la nouvelle à « l’expression artistique d’un fait divers ». 2. Structure narrative de la nouvelle La nouvelle saisit une tranche de vie. L’action y est concentrée autour d’un événement et le rythme narratif rapide (d’où

dixit : « Il ne convient pas d’aimer celle qu’on aurait honte de désirer en mariage », en continuant sur la lignée, Martin Luther-King cite : « Il n’y a pas de plus adorable, tendre et charmante relation que celle d’un bon mariage », et enfin Guy de Maupassant affirme : « Il n’y a vraiment que le mariage pour unir deux existences. » Ceci dit, un mariage dépend surtout de la fusion entre les deux êtres qu’il unit. En effet, un mariage peut autant ne tenir qu’à un anneau, de meilleures fiscalités et des

SÉQUENCE 1 Nouvelles de Maupassant q Découvrir un auteur et son œuvre TEXTES & IMAGES OBJECTIFS • Textes documentaires sur Guy de Maupassant • Toine, EXTRAIT 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • Toine, EXTRAIT 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • La Folle TEXTE INTÉGRAL . . . . . . . . . . . . . ŒUVRE INTÉGRALE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

-> Pays catholiques * Profusion d’ornementation,liberté des formes, mélange des styles (comédie-ballet,tragi-comédie..) * Beaucoup de personnages et intrigues compliquées * Instabilité : mort,violence, précarité * Goût du bizarre/merveilleux : métamorphoses,illusions,travestis * Extrêmes : * Préciosité -> bonne utilisat° du FR pour se ≠ du peuple * Burlesque -> moqueries p/r aux usages de l’époque ± Satire < Rabelais 3.2Classicisme < France Objectif : corriger

bleue La Fontaine * * La Vénus d’Ille Perrault * * Omphale Maupassant * * La Chevelure Mérimée * * L’Homme aux quarante écus Voltaire * * Les Obsèques de la lionne 2) Vrai ou faux ? - Une utopie a toujours une visée critique. V F - Le conte philosophique a été pratiqué par les écrivains du siècle classique. V F - Les sources des Contes de Perrault sont populaires. V F - Les surréalistes ont renoué avec le merveilleux. V F - La Fontaine a inventé les sujets de ses fables.

frontière entre Grèce Dorienne et archaïque) Unique expérience de l’altérité humaine dans les pérégrinations d’Ulysse Ulysse arrive seul dans un dénuement total chez des mangeurs de pain et repart comblé de présents Univers au statut ambigu Merveilleux : caractère fabuleux qui met mal à l’aise : sentiment d’étrangeté, de non-familiarité (Cyclopie, parenté avec Phéacie) Phéaciens ni vraiment humains ni vraiment mortels : Humanité sous le signe de la merveille Transition = rite de passage, rite

musique, seule capable de transporter l’âme vers des ailleurs inconnus. Arthur Rimbaud fait de sa poésie une exploration de l’inconnu. Tout sens immédiat disparaît au profit d’hallucinations, d’« illuminations » colorées, qui créent un univers merveilleux et féérique. Stéphane Mallarmé oriente la poésie vers l’hermétisme. Pour créer et suggérer le mystère, il peint non les réalités concrètes, mais les effets qu’elles produisent. Poétique du symbolisme Le symbole : la sensation et l’idée ne sont

centré sur un seul événement, avec des personnages peu nombreux. A la différence du roman, la nouvelle est courte, d'une narration ramassée. A la différence du conte, la nouvelle met en scène des personnages vraissemblables (et non pas irréels ou merveilleux comme les ogres ou les fées.) Sa forme brève illustre en général un thème précis, ce qui n'exclut pas des messages de portée symbolique. La fin de la nouvelle, souvent tragique, est particulièrement soignée pour surprendre le lecteur et lui donner