Matisse Hda

Dufy prend des cours du soir aux Beaux-Arts du Havre. En 1900, il obtient une bourse pour les Beaux-Arts de Paris. L'exposition de 1905 au Salon des indépendants est pour lui une véritable révélation : le peintre est émerveillé par l'oeuvre de Matisse 'Luxe, calme et volupté'. Le fauvisme chez lui est lancé, Raoul Dufy s'y engouffre, ouvrant une fantastique période de production, de travail sur la palette : les couleurs sont vives, retranscrivent les émotions, éclairent le tableau selon le principe

des artistes comme Alexej Von Jawlensky par ses figures colorées et vulgaire, grossière, comme nous le montre sa peinture Tête de femme 1911 qui se trouve à la Galerie nationale d’ Ecosse à Edimbourg et elle est en lien avec des peintures de Henri Matisse par les arabesques de fleurs de l’ arrière plan et l’ aplat de couleur rouge de la robe comme dans les arabesque et l’ aplat de rouge de La desserte rouge 1908 huile sur toile 180cm sur 220cm, musée de l’ Ermitage de Saint-Petesbourg, Russie. Malgré

cours à l'Ecole municipale des beaux arts. En 1902, il s installe à Montmartre et se consacre entièrement à la peinture. I 1907-1914 1- le fauvisme L'entrée véritable de Braque en peinture se fera par le fauvisme, influencé notamment par Henri Matisse qui est le pionner de ce courant artistique. Ce passage parmi «  les fauves » ne sera que de courte durée pour Braque qui se fondera très vite après le cubisme. Ce courant artistique ne durera que de 1905 à 1907 , il va toutefois influencer d'autres

d'intérieur, décorateur d'espaces publics et décorateur de théâtre français. En 1900, il entre à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Sa première exposition a lieu en 1901. Influencé par le fauvisme et en particulier par l’œuvre de Matisse, il travaille avec Friesz, Lecourt et Marquet sur des tableaux de rues pavoisées de drapeaux, de fêtes de village, de plages. En 1908, prenant conscience de l'importance capitale de Cézanne au cours de la grande rétrospective de1907, il abandonne

Il est surtout trop lié au mimétisme, à l’imitation de la réalité. Portrait du Dr Dumouchel, 1910 : ce tableau semble s’inscrire dans des tendances picturales du début du siècle. C’est assez marqué par des peintres plus âgés que lui, tels Henri Matisse : la couleur n’est plus liée à la réalité (la raie verte), une des grandes caractéristiques du fauvisme. Les fauves vont abandonner la perspective (système conventionnel) en utilisant la juxtaposition de deux plans colorés afin de montrer la profondeur

La femme au chapeau    art et modernité    I. Sources:                                                        Henri Matisse  1869­1954  La femme au chapeau  1905  Huile sur toile  80,65x59,69 cm  Musée d'Art Moderne, San Francisco, Etats­Unis    II. Biographie de l'artiste    Henri Matisse est né à Cateau­Cambrésis, en France, le 31 décembre 1869 et est mort à  Nice, en France, le 03 novembre 1954. Il suit d'abord des études de droits, avant de  s'orienter vers la peinture. Il intègre les Beaux­Arts et étudie dans l'atelier de Gustave 

contact@centrecolombier.org www.centrecolombier.org Le Petit Musée fiche enseignant Histoire de la couleur Pure Henri Matisse, La tristesse du roi, 1952 Histoire de la couleur Pure La couleur dans l’art «Le tableau doit avoir un pouvoir de génération lumineuse. Si le ciel est bleu, on peut ne pas le faire bleu. Si on le fai bleu, il s’agit de penser au bleu avant de penser au ciel.» Henri Matisse L’histoire des couleurs dans le monde occidental à la Renaissance jusqu’à la periode contemporaine, a été

Gogh: La maison bleue, 1888 Van Gogh: Tournesols, 1889 Van Gogh: L’Arlésienne, 1888 André Derain: Effets de soleil sur l’eau, Londres, 1906 Kees Van Dongen: La Princesse de Montmartre, 1911 Henri Matisse: La Gitane, 1906 Henri Matisse: Nature morte en rouge de Venise, 1908 Henri Matisse: La desserte rouge, 1909 Kees Van Dongen: La Danseuse rouge, 1907 Kees Van Dongen: Chevaux, 1904 Egon Schiele, Homme nu assis (Autoportrait), 1910 Edvard Munch: Attraction, 1896. Lithographie Léon

Madrid entre 1902 et 1904, période pendant laquelle il contribua par des dessins à des journaux locaux. En 1904 et 1905, il étudia la peinture avec l'artiste académique José Maria Carbonero. En 1906 il s'installa à Paris où il deviendra l'ami d'Henri Matisse, Georges Braque, Fernand Léger, et en 1915 il fut peint par son copain Amedeo Modigliani. Il y retrouva et se lia d'amitié avec son compatriote Pablo Picasso. Son portrait de Picasso de 1912 est l'un des premières peintures cubistes réalisées par

Parmi les premières grandes compositions de Matisse, cette toile témoigne d'une préoccupation qui parcourt toute son œuvre, la réconciliation de la tradition et de la modernité. Dans un décor de paysage qui hérite de la peinture impressionniste moderne, les trois baigneuses du Luxe I illustrent sa fidélité au genre académique du nu. L'aspect massif du corps de la femme debout et son expression figée témoignent aussi de l'intérêt du peintre pour les arts primitifs et en particulier l'art africain