Mathématiques pures

SOMMAIRE INTRODUCTION 2 I- ÉTYMOLOGIE DU MOT MÉTAPHYSIQUE 3 II- CONCEPTION PREMIERE DE L’ETRE 3 1- Parménide 3 2- Platon 4 III- LA METAPHYSIQUE ET LES AUTRES SCIENCES 4 1- Les mathématiques 5 2- La physique 5 3- La biologie 5 IV- LES 4 CAUSES PREMIÈRES DE L’ETRE CHEZ ARISTOTE 6 V- LA MÉTAPHYSIQUE SCIENCE DE L’ÊTRE EN TANT QU’ÊTRE 7 La subdivision de la métaphysique 7 1- La métaphysique dite spécial 7 1.1- La Théologie 7 1.2- La Psychologie 8 2- La métaphysique dite générale se subdivise

d’envisager des événements qui surviennent en dehors de sa propre vie. Il commencer à conceptualiser et accède aux raisonnements logiques qui nécessitent encore un rapport direct au concret. Un certain degré d’abstraction lui permet de commencer les mathématiques et de résoudre des problèmes au sujet de choses observables. Il fait des classifications, des sériations. Il devient capable de distinguer à travers le changement ce qui est invariant : - 7-8 ans conservation de la quantité de matière -

sommes confrontés à des jugements différents, de deux sortes, ceux relatifs à ce que l’on pourrait qualifier de juste et d’injuste et ceux qui concernent le vrai et le faux dans un tout autre domaine, à savoir, le domaine des sciences pures comme les mathématiques, la géométrie. Le penseur avance que les premiers sujets sont souvent objet de discordes par opposition aux seconds pour une raison bien précise, il y va de l’intérêt de ce qui est juste ou non relativement aux premiers jugements. Au contraire

références scientifiques (Galilée, Torricelli, Stahl). Qu’entend-il démontrer, y parvient-il ? -Par cette allusion aux mathématiques, ce retour à la généalogie de cette matière et de son arrivée dans les esprits comme sciences, Kant tente de démontrer que son raisonnement est correct, et qu’il est même une des uniques voies de réussite. -Qu’entend-il démontrer ? (Pr expliquer les mathématiques : Thalès). Toujours la même ambition que dans la question précédente, à savoir trouver un principe aussi parfait

respect de certaines normes, précisées par Chervel (1988). Elles différent cependant par la nature même de leur constitution. Ainsi Prairat (1996), isole trois groupes de disciplines : les disciplines instrumentales ou procédurales (français, mathématiques), les disciplines discursives (biologie, histoire, technologie), les disciplines praxiques (musique, arts plastiques, éducation physique). Cette distinction essentielle interroge la nature des savoirs scolaires et leur mode de constitution. L'éducation

égyptiennes, notamment la musique et les mathématiques. Fasciné par l’ancienneté immémoriale de la société égyptienne, il en conclut qu’une tradition solide et stable est nécessaire à la force de toute société. De retours à Athènes, Platon se servit de sa fortune pour construire l’Académie, la première grande école de philosophie. À l’entrée de celle-ci se trouvait l’inscription suivante : Nul n’entre ici qui n’est géomètre. Pour Platon, la géométrie et les mathématiques étaient le meilleur moyen de poursuivre

savoir si j’avais les préalables requis. En effet, pour pouvoir être admis en sciences de la santé, il faut se soumettre à certaines restrictions. Soit : • Être détenteur d’un DES (diplôme d’études secondaire); • Avoir suivie et réussi les mathématiques en séquence TS (technico-sciences) ou SN (sciences naturelles) de la 5e secondaire; • Avoir suivie et réussi le cours de chimie de la 5e secondaire; • Avoir suivie et réussi le cours de physique de 5e secondaire. Ensuite, j’ai voulu savoir

capital en commun .Ce capital majoré des intérêts .était réparti entre les survivants à l’échéance prévue .Cette pratique fut condamnée en Italie et trouvera un intérêt limité en France. Pascal avec la géométrie du hasard inventa la théorie mathématique des assurances(1654) .L’assurance Vie prenait sa forme scientifique. Les premières tables de mortalité apparaissent au XVIIe siècle, la première compagnie d’assurance vie est créé en 1788 C’est la compagnie royale d’assurance .Mais sous la

la vérité. I. (1-12) D expose les fondements de sa philo, ce sans quoi sa philo ne pourrait pas exister. Ses médiations et rflexions sont exposées : "elles sont métaphysiques", au delà du sensible & du matérielles. Méditations : connaissances pures. Distinctions entre ordre de l'action et de la théorie pure. Quant on cherche le bien ou le vrai: moeurs. Dans ce domaine il parfois inévitable de ne pas douter, pas de sureté, on ne peut rester dans le doute, on doit agir, ne pas rester dans un doute

épars, il recompose, selon des lois qui ne sont plus celles de la vraisemblance, le tableau, objet gratuit et neuf. Regard scientifique Comme la science moderne, l’artiste remplace la véracité des apparences par des rapports d'harmonie presque mathématiques : « Il n'est pas nécessaire, écrit Gleizes, que la peinture évoque le souvenir d'un pot à eau, d'une guitare ou d'un verre, mais une série de rapports harmonieux dans un organisme particulier au moyen même du tableau. » À partir du cubisme, l'œuvre