Matamore Plaute

Navarre) auxquels il reviendra de loin en loin (Le Festin de Pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avareet Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là (Le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron, les fabliaux3)… Cette conception originale de

au cours des fêtes données en l'honneur de Dionysos, les grandes Dionysies. Par opposition à la tragédie, qui mettait en scène des personnages de haut rang (princes et rois), elle était considérée comme un genre mineur. Aristophane, en Grèce, puis Plaute et Térence, à Rome en sont les plus illustres représentants. • En France, la farce est particulièrement présente au Moyen Âge (xiiie -xvie siècle). Elle se donne alors en plein air, à l'occasion d'une fête. L'intrigue (généralement une grossière

Le théâtre de Molière. L’école des femmes, Le Tartuffe, Le Misanthrope, Les Femmes savantes, Le Malade imaginaire I. Le théâtre de Molière A l’école, Molière avait l’occasion de connaître la comédie antique Plaute: La Marmite ( L’Avare), Amphytrian Térence : Les Frères la farce : les pièces que l’on a représentées au marché devant un public populaire  traditions du Moyen âge La farce du maître Pathelin la comedia dell’arte: la comédie du métier ou bien le métier comique origines italiennes

les masques par des personnages de son temps : comme le petit marquis, les précieuses du salon, les grands seigneurs et leurs valets, les bourgeois, les médecins et les savants. De la Comédie classique Molière il prend : L'intérêt pour l'intrigue (Plaute) L’intérêt pour l'analyse psychologique (Térence) le comique plus intellectuel qui mêle l'inquiétude à la gaieté L'extrait étudié est la tirade d'Arnolphe à Agnès qui se trouve à l'acte III, scène 2 de la pièce de théâtre intitulée "L'école des

pour un non-Athénien : plus d'allusions à tel ou tel personnage, plus d'intrigues liées à l'histoire de la cité. La comédie nouvelle s'exporte donc à Rome, où elle sera adaptée au IIIe siècle sous le nom de comedia palliata et abondamment reprise par Plaute et Térence. Il semble même que certaines pièces grecques étaient simplement traduites : ainsi du Collier de Cæcilius Statius, traduite selon Aulu-Gelle[6] du Plòkion de Ménandre.

palliata (imitation de comédies grecques) - Le mime est un spectacle de danse, mettant en scène des sujets légers. - La pantomine est un spectacle typiquement romain, au sujet mythologique, tragique. Les auteurs de comédie les plus célèbres sont Plaute et Térence et en tragédie Sénèque en est le grand auteur. 4)Les acteur et le public: Les acteurs sont souvent des esclaves ou des affranchis. Si un citoyen romain veut être acteur, il est privé de ses droits civiques et politiques.Le jeu des

fantaisie verbale. Au ~IVeme siècle, Ménandre privilégie la peinture de moeurs à visée morale, et crée des "types de personnages" (le vieillard avare, les jeunes amoureux, l'esclave rusé,etc.) qui deviendront traditionnels. A Rome, l'auteur latin Plaute (au ~IIIeme siècle avant JC) cherche surtout à faire rire par la caricature et le burlesque; mais Térence (au ~IIeme siècle) réduit le comique au profit d'une réflexion plus moraliste, dénonçant des travers de la société romaine. Au Moyen Age,

MOLIÈRE ET LA COMÉDIE ANTIQUE Pour écrire ses pièces, Molière puise dans les sources de la comédie antique : il a lu les pièces de Plaute et de Térence. Plaute et Térence sont deux dramaturges comiques de l’Antiquité romaine. Ils proposent un théâtre très différent. Le théâtre de Plaute (251-184) Plaute a mené une vie mouvementée : il a été acteur, s’est ruiné, et, après avoir exercé différents métiers, a fini par s’imposer comme auteur de comédies. Il écrit pour gagner sa vie : c’est pourquoi

cantonné à l'adaptation de pièces étrangères, principalement espagnoles et italiennes20. Placées sous l'invocation de Ménandre et de Térence (tandis que la farce et la commedia dell'arte étaient rattachées par les théoriciens à la tradition héritée de Plaute et d'Aristophane), les comédies n'avaient pas pour objectif principal de provoquer le rire - le comique y était intermittent, mêlé aux intrigues de héros de convention et aux grands sentiments10 - mais d'édifier le spectateur en suivant le précepte

Navarre) auxquels il reviendra de loin en loin (Le Festin de pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avare et Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là, notamment dans le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron et les fabliaux[n 3]… Cette conception