Mario Draghi

second rapport intermédiaire intitulé « Vers une véritable union économique et monétaire » préparée par quatre présidents : José Manuel Durao Barroso (Commission européenne), Herman Van Rompuy (Conseil européen), Jean-Claude Juncker (Eurogoupe) et Mario Draghi (Banque centrale européenne). La première version avait été examinée en juin, depuis les 4 présidents ont affiné leurs propositions, à la suite d’une série de rencontres bilatérales. Le rapport définitif devrait être adopté en décembre. Il s’agit

(vérifie les comptes des états de l’Europe et certifie leurs comptes). L’organisme émet alors des réserves sur la gestion de ce pays qui s’enfonce progressivement dans la crise et poussent les grecs à vivent à crédit. A cette même période, Mr Mario Draghi prend la tête de la banque centrale européenne, un ancien de la banque Goldman Sachs. L’empire semble à présent vouloir parier sur l’Union Européenne. Aujourd’hui ce qu‘il reste de Goldman Sachs : D’anciens salariés se retournent contre

conseil des gouverneurs prononcent des discours traitant des sujets qui intéressent le grand public. Cela implique plus de crédibilité, une certaine autodiscipline et un aspect prévisible. 3) Les organes de décisions de la BCE - Mario Draghi et sa politique Mario Draghi, l’actuel président de la BCE, commença sa carrière en tant qu’économiste, banquier et haut fonctionnaire italien. Il fut vice-président pour l’Europe de Goldman Sachs (2002-2005), puis Gouverneur à la banque d’Italie (2006-2001)

- Pour la 4 decembre : Suivre la conference de presse de mario dragui et les commentaires qui vont avec quand il parle de confiance - Quelle est la situation du marché de l’or ; les determinants de loffre/ de la demande et expliquer levolution Economie générale Introduction : L’économie étudie la façon dont les hommes produisent, échangent, consomment des biens et services en transformant des MP en vue de satisfaire leurs besoins. Il est donc important dans un 1er temps de comprendre ce

semestre 2012, avant une modeste reprise pour la deuxième partie d'année. Cette prévision n’augure rien de bon pour le chômage qui devrait continuer a augmenter tant que l’Europe ne trouve pas une solution pour faire repartir sa croissance. Même Mario Draghi qui vient d’arriver à la tête de la BCE ne semble pas très optimiste concernant les perspectives économiques de l’union européenne à court et moyen terme. Il s’agit d’une sombre projection que les indicateurs relatifs au marché du travail, désormais

Lagarde), d’un nouveau Haut représentant pour les affaires étrangères de l’Union (M. Jossep Borrell Fontelles) et d’une nouvelle Présidente de la Commission européenne (Mme Ursula von der Leyen). 1er novembre 2019 : Mme Lagarde succède à M. Mario Draghi à la tête de la BCE. 1er décembre 2019 : prise de fonctions du nouveau Président du Conseil européen, du nouveau Haut représentant et de la nouvelle Commission européenne. 12 novembre 2019 : élections législatives au Royaume-Uni 1er janvier-30

de manœuvre pour baisser les taux, stimuleraient l’économie uniquement par des mesures non conventionnelles. Seule la BCE a encore la possibilité de baisser les taux, ce qu’elle pourrait faire après l’entrée en fonction de son prochain président Mario Draghi. Mais ces mesures de soutien seraient en partie contrariées par le durcissement de la politique budgétaire qui sera également mis en œuvre au Royaume-Uni. De fait, seuls les États-Unis et le Japon auraient pris conscience des réelles menaces pesant

accommodantes aujourd'hui soient suivies demain par une consolidation. La croissance et l'inflation dans la zone euro restent beaucoup trop faibles. La dernière évaluation de la Banque centrale européenne est peu encourageante et le président de la BCE Mario Draghi n'a fait aucun secret du fait que les risques restent orientés à la baisse. La croissance du PIB nominal - c'est à dire, la croissance réelle augmentée de l'inflation - ne dépassera pas 1,5% cette année et pourrait bien finir à un niveau dangereusement

pays en déficit pour finalement remettre en question l'existence même de l'euro. Comme l'éclatement de la zone euro aurait des conséquences gravissimes, l'Allemagne fait toujours le minimum pour l'éviter. Depuis peu la chancelière Merkel soutient Mario Draghi, le président de la BCE, ce qui laisse le président de la Bundesbank, Jens Weidmann, isolé. Cela permettra à la BCE de plafonner le coût des emprunts réalisés par les pays qui adoptent un programme d'austérité sous le contrôle de la Troïka (le

convergence des économies en vue d’un passage à l’euro. C’est le conseil général prend des mesure diverses et décide si un pays peut ou non rentrer dans la zone euro. Deuxième organe : le directoire (organe exécutif). Composé d’un président (Mario Draghi aujourd’hui). C’est le directoire qui prend les décisions au quotidien. Ce n’est pas le directoire qui décide les grands axes de la politique monétaire. Troisième niveau : le conseil des gouverneurs : organe de décision politique (économique)