Mario Draghi

à y remédier. Lorsque les politiques monétaires traditionnelles (taux d’intérêt) risquent de ne plus avoir d’impact, les politiques budgétaires ont un rôle accru à jouer pour stimuler la demande et la croissance (cf. discours de Jackson Hole de Mario Draghi le 22 août 2014 : trois leviers doivent être activés dans la zone euro, le levier monétaire, le levier budgétaire pour les pays qui en ont la possibilité, le levier des réformes structurelles). Chapitre 6 : La politique

bancaire. C’est un nouveau record après la première opération de ce type, en décembre. A l’époque, 523 banques avaient emprunté pour 489 milliards d’euros grâce à la première «Grosse Bertha», comme l’a surnommée ironique­ ment le président de la BCE, Mario Draghi. Les conditions étaient les mêmes hier: des prêts à 1% sur trois ans. Les banques italiennes en ont pris pour 139 mil­ liards d’euros. MILLEFEUILLE. Cette inflation bureaucratique est en tête de liste des monstres à éradiquer. Sous les auspices

rachat de la dette publique, au cours des mois de mai 2010 et août 2011. Mais suite à ces interventions, le président de la Bundesbank, Axel Weber, a démissionné, suivi par son économiste en chef, Jürgen Stark, mettant fin à l’exercice. Lorsque Mario Draghi a été nommé président de la BCE, il a mené une politique de crédit massif aux banques, dans l’espoir que celles-ci prêtent aux États… Il eût suffi qu’il puisse leur prêter directement pour étouffer la crise. Faute d’intervention, la pression exercée

à la tête de sa banque centrale un autre ex-responsable de Goldman Sachs, Mario Draghi. Devant cette incohérence européenne, la défiance des populations vis-à-vis de l’intégration communautaire risque de prendre des proportions dangereuses, notamment si le mouvement des indignés venait à se radicaliser. 1 Mario Monti en Italie et Lucas Papadémos en Grèce travaillait pour la banque d’affaire américaine, Goldman Sachs. Mario Dragui était même directeur de sa division en Europe entre 2002 et 2005

cabrioles de Silvio Berlusconi, laisse les Allemands loin derrière elle. Après avoir occupé il y a quelques années la présidence de la Commission européenne [Romano Prodi], Rome pourrait désormais occuper la présidence de la BCE en la personne de Mario Draghi [actuel gouverneur de la Banque d’Italie]. On peut naturellement s’interroger sur le sens de la nationalité en pareil cas. Tout candidat hautement qualifié ne dispose-t-il pas de l’indépendance nécessaire pour exercer ses fonctions dans le respect

les ministères des Finances), des institutions financières internationales, des autorités normalisatrices et s’y attachent des comités d’experts provenant des banques centrales. Il est actuellement présidé par le gouverneur de la Banque d’Italie, Mario Draghi. Fonctionnement Le mandat assigné au FSB est d'évaluer les vulnérabilités affectant le système financier, d'identifier et de superviser les actions nécessaires pour les traiter. Le FSB a mis en place les instances internes nécessaires pour s'acquitter

D. Papademos Vice-président de la BCE Lorenzo Bini Smaghi Membre du Directoire de la BCE Michael C. Bonello 2 Gouverneur, Bank Ċentrali ta’ Malta/Central Bank of Malta (depuis le 1er janvier 2008) Vítor Constâncio Gouverneur, Banco de Portugal Mario Draghi Gouverneur, Banca d’Italia Miguel Fernández Ordóñez Gouverneur, Banco de España Nicholas C. Garganas Gouverneur, Bank of Greece Mitja Gaspari Gouverneur, Banka Slovenije (du 1er janvier au 31 mars 2007) José Manuel González-Páramo Membre du Directoire

et célébrèrent sans rire en 2013 l’« année de la citoyenneté européenne ». Jean-Claude Trichet n’était plus alors gouverneur de la Banque centrale. Il avait laissé son trône à un Italien retors, une sorte de cardinal Mazarin de la Finance : Mario Draghi. Un brillant diplômé du MIT et d’Harvard ; mais aussi un ancien de Goldman Sachs, cette puissante et sulfureuse banque d’affaires américaine, qui avait permis au gouvernement grec de dissimuler à l’Union européenne l’énorme déficit de ses finances

Oublions un instant les querelles politiciennes françaises : le processus s’est engagé à la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy et s’est accéléré sous François Hollande. Cet été, pressée par le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, et le chef de l’État français, la chancelière Angela Merkel a décidé que la Grèce resterait dans l’union monétaire. La perspective d’un Lehman Brothers de l’euro s’est enfin éloignée, et tout s’est enchaîné, un peu comme par miracle : la BCE a