Marguerite de Navarre

grand renfort de légendes et psaumes nullement par eux entendus [= compris]. Ils content force patenôtres entralrdées de longs Ave Maria, sans y penser ni entendre. Et ce[la] j’appelle moque-Dieu et non oraison. » La sœur de François Ier, Marguerite de Navarre, dans la plus ancienne version manuscrite de l’Heptaméron, met en scène un curé « des environs de Riom » (sans doute Riom-ès-Montagne, donc au fin fond du royaume), encore plus fat qu’ignorant, fier de déclarer que lorsqu’il célèbre la messe

Elisabeth de France  : fille d’Henri II Marie Stuart  : reine d’Ecosse mariée à François II frère de Henri II appelée la reine dauphine nièces des de Guise Roi de Navarre  : excelle dans la guerre Duc de Guise  : soutien de de Navarre possède de grandes qualités Cardinal de Lorraine  : frère du duc de Guise ambition démesurée esprit vif défend la religion catholique frère du chevalier de Guise Duc de

valeur la lecture de la Bible, des Evangiles plus specialement, pratique d'une religion interieure soutenue par quelques dogme stres simples, le respect de l'enseigment du christianisme dans la vie quotidienne du croyant... Clement Marot, Marguerite de Navarre, Francois Rabelais diffisent ces idees a travers leurs oeuvres. - Neoplatonisme: les poetes trouvent dans sa philosophie et lecture une inspiration poetique et nouveau regard sur la conception d'amour (comme Petrarque) – l'idealisation de

désir de dominer l’autre. Le personnage de Mathilde s’oppose à celui de Madame de Rênal, A la mort de Julien Mathilde va prendre sa tête et l’enterrer elle-même. Ce geste est dramatique et spectaculaire et fait revivre le geste romanesque de Marguerite de Navarre. Madame de Rênal quant-à elle va se laisser mourir de chagrin Axes de lecture : - l’importance du statut social (Julien) - l’envie de réussite (Julien) - l’envie de domination (Julien et Mathilde) - l’amour passionnel (Mathilde)

externes Biographie Jeunesse Pierre est le fils cadet de Louis de Ronsard (chevalier qui accompagna les enfants de François Ier lors de leur captivité en Espagne en qualité de maître d’hôtel) et de Jeanne de Chauldrier. Il a étudié au collège de Navarre à Paris en 1533. En raison d'une surdité précoce, il doit abandonner la carrière des armes. Carrière en tant que diplomate Il est page auprès du dauphin, François, puis de son frère Charles, duc d’Orléans. Quand Madeleine de France épousa le roi

dans tous ses exercices, une manière de s’habiller qui était toujours suivie de tout le monde, sans pouvoir être imitée, et enfin un air dans toute sa personne qui faisait qu’on ne pouvait regarder que lui dans tous les lieux où il paraissait. » Marguerite de Valois (1523-1574), fille de François Ier, roi de France et de la reine Claude de France : « Cette princesse était dans une grande considération par le crédit qu’elle avait sur le roi, son frère ; et ce crédit était si grand que le roi en faisant

Père Etienne : Moine d’une abbaye des alentours, il va aider Blanche à se libérer des griffes de Puits-Herbault. Chap 2. Geoffreoy d’Estissac vient à la Devenière pour tenter de convaincre Rabelais de se mettre sous la protection de Marguerite de Navarre. Rabelais est en danger car ses écrits ne plaisent pas et il risque le bûcher. Mais François est têtu et refuse, convaincu qu’il saura toujours s’en sortir car il maîtrise l’art des mots. Justus entend que son protecteur doit sauver sa peau

faire admettre un dogme comme c’est le cas dans les Evangiles. On peut tout de même retrouver l’apologue dans la nouvelle et dans le roman. L’exemple le plus probant illustrant sa présence dans la nouvelle reste Le Décaméron de Boccace dont Marguerite de Navarre s’inspirera plus tard pour rédiger son Heptaméron. La fable La fable, du latin fabula signifiant « propos et récit » est un petit récit, le plus souvent rédigé en vers, terminé par une morale et qui mêle divertissement et réflexion critique

Jean de La Fontaine, Fables,  Livre VII, fable 9 Source : L'origine de la fable semble être la nouvelle XIV de Bonaventure des Périers (secrétaire de l’auteur de l’Heptaméron, Marguerite de Navarre, sœur de François 1er ) : « Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portait une potée de lait au marché ». La comparaison avec les alchimistes n'a pas été reprise par La Fontaine. Fable double avec « Le curé et le mort » qui suit dans le recueil. LA LAITIÈRE ET LE POT AU LAIT Perrette,

I – Histoire : 1) PREMIERE MOITIE DU XVIIème SIECLE : période tumultueuse * 1610 → 1617 : régence de Marie de Médicis - Elle accéda au trône de France après qu'Henri de Navarre se fut converti au catholicisme, qu'il a été couronné roi de France et qu'il a fait annuler son mariage avec Marguerite, fille de Catherine de Médicis, pour épouser Marie de Médicis en 1600. Le lendemain du couronnement de Marie en mai 1610, Henri IV est assassiné et Marie exerce la régence pour son fils Louis