Marchiennes

droit »… = tout est « à ras du sol », même le village aux toitures « basses et uniformes » qui forment une « masse lourde » ; impression d’être écrasé par ce paysage. = Réalisme de cette description avec précisions spatiales (noms des villes Marchiennes, Montsou, droite, gauche…) et temporelles (mars, deux heures…) Description motivée et construite autour du motif de la marche du personnage : on suit cet homme qui souffre. Cet incipit nous fait compatir avec un héros souffrant. C’est un vagabond

prouve la souffrance du personnage. L’incompréhension du personnage fait alors apparaitre une dimension hostile et mystérieuse. Zola nous fait découvrir de la ligne 1 à 9 le paysage hostile grâce à « plaine rase », « grande route de Marchiennes à Montsou », « des kilomètres de pavés », « champs de betteraves », « immense horizon plat », « terres nues » ce qui nous montre l’immensité du paysage, le vide, un itinéraire du personnage et ce sont des indications spatiaux. De la ligne 13 à

habitants se préparent à défendre leur ville contre les français et Louis XIV. 5 juin 1667 : prise de Bergues  1667 : siège de Douai  2 juillet 1667 : stratégie à la prise de Douai : D’Artagnan et d’autres bataillons franchissent la Scarpe à Marchiennes. Ils bloquent ainsi tout passage du côté de Valenciennes et de Condé.  6 juillet 1667 : prise de Douai Le 7 juillet 1667 : traité des conditions de la capitulation de Douai   8 juillet 1667 : entrée solennelle du roi par la porte Notre Dame pour  y

Notre-Dame de Paris (1831), Peau de Chagrin (1831), Le rouge et le Noir (1830) -> ni question de nourriture ni d'argent. Tout ce qui était considéré comme pas très noble était passé sous silence dans le roman, sauf chez les romanciers réalistes. Marchiennes est une ville qui existe (près de Lille), alors que Montsou n'existe pas (univers du romancier). ..1. La plaine du Nord Le début de la description est fait d'un point de vue externe, objectif. C'est un paysage ingrat (insistance sur l'obscurité

ouvrier chargé de remplir les berlines de charbon au fond de la mine et de les pousser jusqu'à l'accrochage. Genres : un roman de mœurs qui analyse la société plus que l'individu. Résumé : Un homme, Étienne Lantier est parti des Forges de Marchiennes après avoir frappé son patron. Il arrive dans la mine de Montsou où il rencontra Vincent Maheu. Les Maheu habitent dans le coron du Voreux. Lorsque E. descend dans les galeries de la mine il fit la connaissance de Chaval et se fit embauché par le

les jambes raidies par des rhumatismes ». Il y a tout de même quelques indications d’espaces temps, on sait donc que l’homme se déplace de nuit, « sous la nuit sans étoile », et qu’il se trouve sur une route de transition, « la grande route de Marchiennes à Montsou ». L’extrait et principalement écrit au passé, nous permettant de situer l’époque exacte, mais en associant avec le champ lexical on peut vaguement la situer. Un champ lexical pour renforcer le sentiment réaliste, celui du « matériel »

-Au début, le cortège est décrit de façon objective comme s’il s’agissait d’un documentaire : « Les femmes avaient paru […], les hommes […] ».- Mais, au fur et à mesure, le tableau reflète le regard de l’auteur, puis celui, très subjectif, de ses « vrais » spectateurs : les bourgeois cachés derrière la porte d’une grange, implicitement désignés par le pronom impersonnel « on » (« on ne distinguait que… », « on voyait seulement… ») ; les termes péjoratifs qui qualifient les mineurs révèlent leur

avant par l’auteur. Le personnage reste tout le long de l’incipit un héros anonyme et solitaire, anonyme par l’utilisation de l’auteur du mot « l’homme » par quatre fois « un homme suivait seul la grande route »,  « L’homme est parti de Marchiennes vers deux heures », « L’homme avait à droite une palissade » et « L’homme reconnut la fosse ». Il y a aussi l’utilisation dans tous le texte  du pronom « il », « il ne voyait même pas le sol », « il marchait d’un pas allongés » ou «  il fit environ

auteurs de ce corpus nous font entrer dans leur roman. Le texte Germinal, qui appartient au naturalisme, commence par la description d'un endroit, "Dans la pleine rase...". L'auteur nous fait suivre le personnage à travers "la grande route des Marchiennes à Montsou" à la manière d'un travelling. La description du lieu laisse imaginer un lieu désertique, dépourvu d'âme

serait moins vif après le lever du jour ». II) Un héros confronté à un univers agressif : le monde de la nature et celui de l'industrie. A)L'hostilité de la nature Un homme confronté à l' immensité de la Nature : Lexique géographique : « de Marchiennes à Montsou » . « Dans la plaine rase », «  l’immense horizon plat » ; « à travers les champs de betterave »,« des lieues de marais et de terres nues » /  lignes horizontale donnant un effet de perspective ;  Un homme face à la violence des éléments :