Marceline Zazie

Commentaire français Intro Au 18e-19e siècle le thème de l’amour est fréquemment utilisé en poésie .C’est ainsi que Marceline Desbordes-Valmore dans son poème intitulé « les séparés (n’écris pas) » écrit en 1830, nous écrit sa tristesse par rapport à sa rupture amoureuse à travers 4 quintils. Nous nous demanderons en quoi le poème de MDV reflète-t-il par la forme et l’écriture les sentiments du poète. Pour cela dans une première partie nous étudierons la forme du poème, ensuite nous approfondirons

intercesseurs Tristan Corbière : portrait d'un indapté L’appellation « poète maudit » vient de Verlaine qui publie le livre Les Poètes maudits (1884). En 1888, il publie une deuxièmeédition. Il y rajoute aux côtés de Corbière, Rimbaud et Mallarmé ; Marceline Desbordes-Valmore, Villiers de l'Isle Adam et Pauvre Lélian (anagramme de Paul Verlaine). Verlaine est donc le créateur decette étiquette. Dans son Avant-Propos, il écrit que les poètes maudits sont des poètes « absolus dans l'imagination et absolus

d'avenir. Comme je t'aime en mes beaux jours, Je veux t'aimer toujours. Vers ton âme attirée Par le plus doux transport, Sur ta bouche adorée Laisse-moi dire encor : Comme je t'aime en mes beaux jours, Je veux t'aimer toujours. Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859). Le serment de l'amour Recueil : Romances (1830). 1786, Louis Roland Trinquesse Le baiser (II). Comme une ville qui s'allume Et que le vent achève d'embraser, Tout mon cœur brûle et se consume

portrait vivant.
 N'écris pas ! N'écris pas ces doux mots que je n'ose plus lire :
 Il semble que ta voix les répand sur mon coeur ; 
Que je les vois brûler à travers ton sourire ; 
Il semble qu'un baiser les empreint sur mon coeur.
 N'écris pas ! Marceline Desbordes-Valmore, Poésies posthumes,1860 Le désespoir est assis sur un banc Dans un square sur un banc
 Il y a un homme qui vous appelle quand on passe
 Il a des binocles un vieux costume gris
 Il fume un petit ninas il est assis
 Et il vous

coupe de fiel, Dieu mourant l’épuisa pour l’emporter au ciel. Adieu, sourire ! Adieu jusque dans l’autre vie, Si l’âme, du passé n’y peut être suivie ! Mais si de la mémoire on ne doit pas guérir, À quoi sert, ô mon âme, à quoi sert de mourir ? Marceline Desbordes-Valmore, Poésies inédites

s’avère être très suggestif : ce « Barbouze » par son suffixe peut bien renvoyer à « Tantouze » chez ce tonton-tant’ (la barbe n’est plus synonyme de virilité11). La dualité du personnage apparaîtra de façon flagrante durant la soirée où sont conviés Zazie et les touristes de Fédor. Dans un premier temps Gabriel se métamorphose en Gabriella : il danse alors en tutu dans une « boîte de pédales » qui transforme tout élément masculin en élément féminin12. Mais la suite de la soirée marque le retour du

Zazie, une enfant de douze ans aux manières délurées, arrive de sa province, impatiente de connaître le métro parisien. Son oncle Gabriel l'attend à la gare et, à la grande déception de Zazie, lui annonce que le métro est fermé pour cause de grève et la jette directement dans un taxi conduit par son ami Charles : direction le café Turandot, au-dessus duquel il vit. Là, Zazie fait la connaissance de Marceline, la femme de Gabriel, et de divers personnages du café : Turandot, le tenancier, Mado P'tits-Pieds

Zazie dans metro , fiche du Chap 1 à 9 Chap I Gabriel se trouve dans une gare parisienne. Se dispute avec un voyageur au sujet des odeurs nauséabondes. Zazie arrive par le train. Elle est accompagnée de sa mère, Jeanne Lalochère. Elle reste pour le week-end sa mère est occupée par son "Jules". Tout ce que veut Zazie c'est voir le métro mais elle est très déçue lorsqu'elle apprend que les "employés aux pinces perforantes" sont en grève. Ils montent dans le "tac" de Charles . visite guidée

odeur du parfum Fior), Arrivé de Zazie, Visite improviste de Paris en métro avec Charles (Beau frère de Gabriel), dispute entre Charles et Gabriel sur noms des monuments de Paris, Zazie réclame de voir le métro, Vont tous els trois au bar, commande un beaujolais et un coca-cola pour Zazie. Chap 2 : Zazie examine la maison de Gabriel. Pendant ce temps, Turandot tient le bar juste en face de chez Gabriel, avec Madopetit pied, Laverdure : Perroquet. Discute de Zazie, est-elle une prostituée ? Ceci

sœur, il amena Zazie dans le taxi de Charles qui les conduisit dans Paris. Zazie fut déçue de ne pas rester plus longtemps dans le métro : les poinçonneurs étaient en grève. Ils prirent tous les trois un verre en terrasse. Chapitre II Gabriel emmena la petite dans son appartement situé au-dessus d'un bar : La Cave, tenu par Turandot. Face à la vulgarité de Zazie, ce dernier contesta sa présence sous son toit, même pour quelques jours. Après le repas, Marceline coucha Zazie, tandis que